Laure Manel

Continuez m'intime-t'il.

A chaque peur, chaque échec, il faut recommencer où l'on s'est arrêté.

je n'ai vraiment, vraiment pas aimé l'histoire.

Si vous avez l'intention de vous marier bientôt, ne lisez surtout pas ce livre !

Au bal des cocus, je voudrais le mari !

C'est l'histoire d'une jeune femme qui le jour J du mariage, ne sait pas si elle doit dire " oui" ou "non". Il est bien temps de se décider !

Elle imagine donc trois scénarios de vie possible si elle décidait de dire " oui" . Et bien ce n'est pas joli -joli ! Elle ne doute pas de l'amour de son futur époux, mais bien de sa capacité à lui rester fidèle. Le ton est donné tout de suite ! Les 3 histoires sont celles ( qu'elle imagine) de son couple à 7 ans, 14 ans et 24 de mariage.

J'ai détesté qu'elle prenne son mari, à chaque fois, comme un pauvre bougre idiot qu'elle va tromper sous son nez. Tout au long de ma lecture, je disais, ouvrée , " non mais c'est une blague" ? ça m'aurait limite filé la nausée.

La chute du livre, bien que prévisible, est sans doute le meilleur moment.

Un roman doux et prenant !

Une histoire romantique avec son lot de tourments. La plume est pleine de sensibilité et de délicatesse. Le récit est foisonnant.

Nous sommes face aux bouleversements d'une rencontre ainsi qu'aux prémices d'une histoire d'amour. Ces bouleversements qui entrainent de nombreuses afflictions : interrogations, angoisses, jalousies…

Mais aussi la douceur et la joie d'aimer et être aimé qui pour un temps nous fait oublier les désillusions et les peines de la vie.

Nous traversons avec Romain sa reconstruction personnelle et ses doutes dont je ne m'étalerai pas ici afin de ne pas vous spoilez le deuxième sujet de ce roman.

Les chapitres sont courts, la lecture est fluide, on s'attache à Romain et Alba. On se prend même à rêver avec eux...

Une belle lecture.

Antoine perd sa femme le jour de son accouchement. Comment se relever et faire face à cette immense perte ? Comment élever sa fille alors qu'il lui en veut ?

L'arrivée de Rose, engagée pour s'occuper de Lou, va lui permettre de redécouvrir les petits bonheurs de la vie et, enfin, de nouer une belle relation avec sa fille.

Je me suis beaucoup attachée au personnage de Rose, jeune fille solaire, pleine de vie. Elle croque la vie à pleine dents et cela pousse le lecteur à faire de même.

Au fur et à mesure du récit, j'ai su deviner la fin vers laquelle l'auteure nous mène. Le fait qu'il y ait un second tome est plaisant car cela signifie que d'autres beaux moments sont à passer auprès de ces personnages attachants.

On suit un noyau familiale soudé composé des parents Catherine et Marc ainsi que de leurs enfants Anaïs et Florian. Une famille traditionnelle jusqu’au jour où ce noyau explose. Ce jour est le jour où Catherine assassin e Béatrice. Cette dernière faisait du yoga avec Catherine. On suit la mise en examen de Catherine ainsi que le quotidien de la famille.

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J’ai dévoré ce livre. Impossible de le poser !

Je ne peux que vous recommander ce livre !

Mathilde et Cyril deux anciens amis qui se retrouvent par email après des années sans nouvelles, mais plus les jours plus les mois passent et plus Mathilde se sent perdue dans sa vie dans ses sentiments... Puis vient le jour où ils se (re)voient enfin après ça tout devient différent entre eux. Sincèrement, j'ai adorée l'histoire, mais encore plus la façon comment c'est écrit, je pense que c'est la première fois que je lis un livre comme ça et je regrette absolument pas cette découverte. Et le lieux où vit Mathilde m'a donnée envie d'aller là-bas pour des vacances.

J'ai enchaîner la mélancolie du kangourou et celui-ci et j'ai pleuré à la fin.

Ce livre m'a beaucoup parlé de par la maladie évoquée.

Bravo à cette auteur sont j'ai plusieurs livres d'elle dans ma PAL. J'ai hâte

Certaines dernières fois sont tristes, d'autre c'est la dernière fois avant la future prochaine....

lecture facile, les chapitres sont courts et variés

Ce roman a été une très belle lecture.

Laure Manel nous y confie son expérience personnelle de la maladie. Elle revient sur son combat contre le cancer, sur les violences gynécologiques qu'elle a subies et le délicat statut de patiente. On ne parlera jamais assez de ces sujets difficiles et je tiens à saluer le courage dont elle a dû faire preuve pour les aborder avec autant de détails.

En se basant sur sa propre histoire, qu'elle nous raconte avec des flashbacks, l'autrice a créé le personnage d'Amélie.

À présent en rémission, et comme beaucoup de gens qui ont frolé la mort, Amélie ressent une grande urgence de vivre. Elle remet soudain tout en perspective : son couple, sa vie de famille et ses envies.

Après son combat contre la maladie, vient celui contre ce qu'on attend d'elle, l'opinion de son entourage et la culpabilisation que la société fait ressentir à une épouse ou une mère qui voudrait penser à elle et se montrer rien qu'un peu égoïste.

Laure Manel faire référence à Nietzsche : "Deviens qui tu es." et aux "Lettres à un jeune poète" de R.M. Rilke aussi belles qu'inspirantes pour illustrer ce cheminement. Elle aborde avec beaucoup de délicatesse le courage qui est nécessaire face au changement et aux peurs et incertitudes qui l'accompagnent.

Les personnages secondaires sont intéressants. J'ai particulièrement aimé celui de Jacques et l'amitié qu'il noue avec Amélie. Tout deux s'écoutent et s'épaulent avec bienveillance.

Le lecteur est inévitablement poussé à l'introspection par les thèmes forts de ce livre.

Loin des romans feel-good trop prévisibles, celui-ci dégage beaucoup de lumière. Mais aussi de l'espoir et une grande douceur vis à vis du caractère précieux de la vie.

Lecture douce et dramatique.

On y fait la connaissance d'Antoine, qui devient le même jour père et veuf, puis de Rose, engagée comme fille au pair par ce dernier pour s'occuper du nouveau-né.

Dès le début, je n'ai pu m'empêcher de faire le rapprochement avec « La vie en chantier » de Pete Fromm, roman magnifique sur la reconstruction d'un homme qui apprend à devenir père en même temps qu'il doit faire le deuil de sa femme. Et je dois dire que ça m'a perturbée un certain temps, n'arrivant pas à y faire abstraction, et surtout rien ne pouvant égaler la sublime plume de Pete Fromm. Pourtant, ici, l'intrigue prend un tout autre chemin. Là où l'on voyait le héros de Pete Fromm s'accrocher à son bébé comme à une bouée, négligeant tout le reste, on voit totalement l'inverse chez celui de Laure Manel : tenant sa fille en partie responsable de la disparition de l'amour de sa vie, c'est à peine s'il la regarde, la prendre dans ses bras n'en parlons même pas, au point de la confier presque H24 à une jeune étudiante.

On assiste ainsi, petit à petit, à la transformation d'une relation entre le père et la fille d'abord compliquée et douloureuse en une relation de moins en moins maladroite et de plus en plus touchante. Rose y sera pour beaucoup évidemment. Malgré son jeune âge, elle saura transmettre et partager des souffles de vie, des petits bonheurs, qui aideront le papa à sortir la tête de l'eau, à réapprendre à vivre, et ainsi à aimer son enfant.

La plume de Laure Manel n'étant absolument pas comparable avec celle de Pete Fromm, je ne m'y essaierai même pas. Elle écrit plutôt bien, simplement, sans envolées particulières. Je déplore un peu le temps au présent et les phrases d'un style peut-être un peu trop scolaire, mais ça se laisse lire agréablement.

L'histoire est plutôt émouvante, certains passages ont même parfois failli me mettre la larme à l'œil. Elle coule doucement, sans précipitation, nous laissant le temps d'apprivoiser les deux protagonistes principaux, qu'on finit par s'attacher. On en devine assez tôt le dénouement, on s'en doute tout du moins, mais là encore il faut attendre que les nœuds au cœur et à l'âme se défassent un à un pour qu'il ait lieu. J'ai aimé cette douceur et cette tendresse dans cette douleur de moins en moins insupportable.

Le temps fait son œuvre et c'est joliment retranscrit ici.

Je n'étais pas très à l'aise au début, et ça a mis un peu de temps à se dissiper. J'ai finalement été très touchée par cette histoire de résilience. J'entame d'ailleurs la suite sur le champ.