Paul Watson

Je suis vraiment admirative du travail qu'accomplissent Paul Watson et tous les bénévoles, de Sea Shepherd en général et je suis vraiment de tout cœur avec eux. C'est grâce à eux, à leurs combats perpétuels pour préserver la vie marine que j'ai pu comprendre la réelle importance de celle-ci et c'est aussi grâce à eux si j'ai pu ouvrir les yeux sur les atrocités, les horreurs que l'homme peut faire, dont j'étais loin de m'imaginer.

Mon but n'est pas de me lancer dans un débat, ni de critiquer ce qui est (au début) une critique de la société, du monde. Pour moi, c'est plus un cri du cœur, un état de fait, une mise au point. Ce petit livre a été fait pour interpeller les gens et les gouvernements à l'aube de la Cop21 sur ce qu'il se passe réellement dans le monde. Un cri d'alarme des écologistes pour l'océan. Et donc Sea Shepherd n'a pas peur de dire les choses, l'organisation utilise des mots forts parce qu'il le faut, il faut dire la vérité et interpeller le plus grand monde. Sea Shepherd insiste sur le fait que ce n'est pas que l'océan dont il est question, c'est la Nature toute entière, la Terre qu'il faut à tout prix protéger et donc on nous démontre l'importance de chaque espèce, de la biodiversité, des végétaux, des animaux, du microorganisme jusqu'à la baleine.

On y retrouve des chiffres, des données scientifiques, des faits réels, des explications, plein d'expressions imagées pour nous faire réaliser et comprendre.

On nous livre des solutions, tout ce qui est souhaitable, beau, magnifique, qui serait parfait mais... c'est un bien grand rêve, surtout à l'heure actuelle (certaines choses voulues sont un peu extrêmes à mon sens) mais c'est bon de les poser, de les émettre.

Ce n'est pas une lecture indispensable sans compter que chacun peut avoir son propre avis sur la question mais elle a le don de nous faire prendre conscience de l'importance des océans.

Je terminerais par ceci. On dit que les forêts sont les poumons de la Terre. C'est vrai. Mais ce sont les océans qui fournissent la plus grande majorité de l'oxygène. Alors imaginez un peu un monde sans océans... (indice: tout est dans le titre!)

Triste réalité, s'il n'y a plus de vie dans les océans, petit à petit il n'y en aura plus sur terre, mais beaucoup ne veulent pas le comprendre, ou même le croire, certains politiques ... devraient réfléchir.

Pour les abeilles, c'est la même chose, si elles meurent à cause de toutes ces substances qui sont dispersées, qui pollinisera ? Plus de pollinisation, plus de fruits, ni de légumes, donc ... Calmons nous un peu

c'est un livre très intéressant, tout en n'étant pas un roman, mais qui mérite sa place dans la bibliothèque de chaque personne un tant soit peu concernée par la sauvegarde de ce petit bout de caillou que l'on appelle Terre, très belle préface de Madame Ferney, je recommande vivement,

Surpris dès la vue de ce livre. En effet, je m attendais à un livre assez épais. Mais je ne me suis arrêté à ce détails négligeable sachant que ce qui pouvait être dit pouvais être admiratif non pas forcément par le réalisme des propos mais par le message envoyé par ceux-ci. Et ce fut le cas. A la fois encore un message d'alerte, ce livre m'a permit de mieux comprendre le combat mené non pas par cette homme mais par ca volonté de vivre dans un vrai monde. Alors certes il s'agit surement non pas seulement de son intervention personnelle qui pourra bouleverser ce monde, mais il n'empêche qui est un GRAND et qui rentre dans le cercle des écologistes que nous sommes théoriquement tous mais que le système dans lequel nous vivons empêche de le dévoilé et qui a pour but l'ignorance. Je ne suis pas ici pour remettre en cause les blablas des influents de cette planète, mais il faudrait que plus de personnes lisent cette ouvrage même s'il ne s'agit d'une œuvre littéraire mais plutôt écologique si je puis m'autoriser l'emploi de ce terme. Par ailleurs, je tenais à remercier la ou les personne(s) qui ont pensé à imprimer ce livre sur papier 100% recyclé. Ce combat à l'égard de l'ignorance humaine est loin d'être fini, nous avons fait quelques progrès mineur mais le plus grand reste à faire: tel est le message de cette lettre. Alors qu'attendons-nous?

Un livre écrit lors de la cop21 à Paris en 2015. Il est volontairement synthétique (50 pages) et va droit au but. Le message est fort, il peut paraître provocant, mais il n'est que hurlant de vérité.

Si vous souhaitez approfondir + la pensée de Paul Watson, je vous conseille ses autres livres qui détaillent + l'ampleur du combat à mener actuellement.

Glénat Jeunesse lance la collection « Moi... ». Chaque ouvrage brosse le portrait de passionnés, aux métiers et aux convictions fascinantes. Le premier opus parle du Capitaine Paul Watson : écologiste, éco terroriste, berger des mers, militant, personnage médiatique, activiste, marin... Paul Watson a reçu bien des qualificatifs et des surnoms? A travers cet ouvrage il nous raconte comment il est devenu un « pirate des océans », défenseur de la faune marine.

Composé de 32 chapitres (de quelques pages chacun), ce livre se lit comme un roman.

A mi-chemin entre récit d'aventures, documentaire et biographie, ce témoignage permet de mieux connaître ce grand activiste : sa jeunesse et sa décision de préserver la nature, ses premières expéditions, ses engagements, la création de Greenpeace - qu'il quitte en 1977 suite à des désaccords, la fondation de la Sea Shepherd Conservation Society (en 1977), sa rencontre avec Brigitte Bardot, ses révoltes et emprisonnements (son engagement lui vaut d'ailleurs d'être recherché par Interpol depuis 2012) mais également ses peurs et ses doutes...

On apprend également que, lors d'une intervention en pleine mer face à un baleinier soviétique en 1975, Paul Watson croise le regard d'un cachalot harponné. Persuadé que l'animal comprend ce qu'il fait, il est bouleversé par cette « rencontre » qui marquera le départ de son militantisme.

Entre poursuites en pleine mer, jets de fumigènes ou de beurre rance, abordages et surtout sabordages, l'association Sea Shepherd peut se targuer d'avoir coulé des dizaines de baleiniers mais c'est avant tout le nombre de baleines, phoques et autres espèces marines sauvées qui est mis en avant dans ce récit.

On ressent l'implication et la passion de cet homme qui souhaite éveiller les consciences. Paul Watson alerte, comme il le dit : « si les océans meurent, nous mourrons ».

C'est un récit émouvant, touchant que nous livrent les éditions Glénat. Les nombreuses illustrations colorées de Hédi Benyounes, issues de photographies, se marient parfaitement à ce témoignage et retracent, elles aussi, la vie passionnante du Capitaine Paul Watson.

Un ouvrage intéressant et prenant.

Depuis plusieurs années, j'ai changé mon regard sur le monde. Je ne peux plus fermer les yeux. Je sais qu'il se passe des choses horribles par la faute de l'Homme (en général). J'ai à cœur la protection des mers et océans et j'ai eu un énorme choc lorsque j'ai découvert ce contre quoi se battait l'organisation Sea Shepherd.

Sea Shepherd est une organisation que j'admire énormément car elle œuvre vraiment et est très souvent sur le terrain pour lutter contre toutes les atrocités, les malheurs provoqués par l'Homme. Ils ont eu des démêlés avec la justice, se sont mis en danger mais bravo! Ce qu'ils font est important et nécessaire. C'est grâce à la série Les Justiciers des Mers que je les ai découvert il y a quelques années, où ils luttaient contre les baleiniers japonais en Antarctique qui violaient la Commission baleinière internationale ainsi que la réserve protégée. Bref, je suis assidûment toutes leurs campagnes, j'essaie de me tenir informer et de contribuer à ma manière.

Paul Watson est le fondateur de Sea Shepherd. C'est un homme incroyable, qui force le respect, qui a dédié toute sa vie à la protection et sauvegarde des mers et océans. Il ne lâche absolument rien et ne recule devant aucun obstacle. J'avais donc envie de connaître un peu plus son parcours et je me suis donc procurée cet ouvrage.

Cet ouvrage est un témoignage, son autobiographie où il nous raconte son histoire qui est découpée en plusieurs événements importants dans le temps d'une ou deux pages. Il y a plein d'anecdotes très sympas à savoir. Il m'a fait ouvrir les yeux et j'ai appris qu'il n'a pas œuvré que pour les océans, c'est la sauvegarde de la Nature en général, de notre planète qui lui tient à cœur. C'est en 1975 qu'il a vraiment pris la décision de consacrer sa vie à à la protection des créatures marines mais pas que!, à devenir un berger des océans (sea shepherd). J'avais oublié qu'il avait fait parti de l'association GreenPeace qu'il aurait quitté suite à des désaccords pour créer sa propre organisation activiste car selon lui, GP n'avait pas assez d'impact, n'allait pas au cœur des choses, n'agissait pas assez. Il s'agit d'un débat, beaucoup dénigrent Paul Watson mais il a raison, il faut agir! Aux grands mots, les grands moyens, même les plus extrêmes! Toutes les victoires comptent, même les plus petites. Le combat est long et difficile mais il faut continuer à se battre pour Mère Nature.

Il y a des illustrations qui accompagnent chaque chapitre, vraiment superbes. J'aime beaucoup les effets apportés, le style de la dessinatrice. C'est très réaliste et certains plans m'ont fait beaucoup de mal car ils étaient durs.

Son témoignage prend aux tripes, c'est éprouvant tellement les descriptions sont crues. J'en avais mal au cœur, j'avais les larmes aux yeux mais c'est un mal nécessaire. Je suis admirative de son courage, de son culot, de sa volonté de fer. En bref, ce fut une lecture intéressante, enrichissante et importante.

Petit livre très accessible permettant de prendre conscience de l'enjeu du changement que nos sociétés doivent effectuer. Paul Watson nous partage ici simplement sa pensée, en tant que marin expérimenté et activiste, sur l'urgence d'agir pour le vivant.