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Hugo Meunier

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7.63/10
Nombre d'évaluations : 8

0 Citations 4 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Hugo Meunier

Sortie France/Français : 2021-05-27

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Melodie-28 2019-11-06T21:32:08+01:00
Walmart: journal d'un associé

Difficile de lire cet essai.C'est révoltant de voir qu'une compagnie aussi riche exploite ses employés ainsi. Ne serait-ce qu'en mentionnant fièrement quel montant le magasin a accumulé en un jour, versus le salaire qu'il offre.... Disons que ça fait réfléchir sur nos choix de consommations.

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Commentaire ajouté par Shaynning 2021-12-13T22:10:40+01:00
Jimmy Diamond est une merde

Mention "Olibrius" Jeune Adulte 2021*

Version courte:

Un roman atypique qui semble à la fois tenir du roman policier, des intrigues de crime organisé et des tribulations d'adolescents, sous un épais verni d'humour à plusieurs visages, "Jimmy Diamond est une merde" n'est pas ce qu'on pourrait attendre de lui au premier coup d’œil. C'est pourtant un lecture réellement divertissante, addictive, comique, ludique et même ...éducative?! Avec quatre ados qui sont plus que le cliché qu'on leur colle, des chefs de gang de et de mafia colorés, un policière en quête d'émancipation et une ordure notoire dont le nom est connu de toutes les grandes pointures, la table est mise pour le huis-clos partiel le plus déjanté et jubilatoire de son genre! Et comme il est un peu seul dans son genre, ce roman, difficile de contester cette dernière phrase...

Version exhaustive:

Si je devais vous expliquer mon ressenti global face à ce roman, je vous raconterais cette courte anecdote: Un jour de grande chaleur, nos parents nous ont offert une "slush" ( Barbotine). Entre la rouge et la bleue se trouvait une slush NOIRE. Je vous laisse imaginer notre expression de dégout à nous, enfants, devant cette masse mouvante couleur goudron, dont on flairait l'ignoble goût de réglisse noire en grimaçant. Plus téméraire que les membres de ma fratrie, j'ai tenté cette sorte, qui a un goût de...limonade?! Wouah! Mais en fait, c'est vraiment original ce truc! Et j'en ai prit un verre complet. Donc, moralité: Ne vous laissez pas berner par cette couverture aussi laide que mal adapté à son lectorat, les ados et jeunes adultes, en plus du nom un peu foireux, parce que ce roman est en réalité original ( et étonnamment rafraichissant)!

Autant être honnête avec vous, quand j'ai vu, avec mes collègues ce roman, avec un titre pareil et cette couverture peu esthétique, on s'est tous interrogé sur ce dernier. Sorte de blague pas claire, roman peu crédible, on l'a jugé assez rapidement, en fait. Néanmoins, comme je craque souvent pour les romans atypiques et qu'en tant que libraire, je voulais être fixé, je me suis mis sur son cas. À l'origine, ce roman devait porter le titre : "Jimmy Diamond est une ordure", que je préfère, personnellement, avis partagé par mes collègues jeunesse.

Si je devais donner un comparatif via la littérature adulte, je vous dirais que je lui trouve plusieurs similarités avec la populaire série pince-sans-rire et déjanté du "Bourbon kid". Moins violent, mais aussi explosif: les évènements s'enchaînent joyeusement comme une ligne de dominos qui s'écroule. Il y a aussi les nombreuses allusions ou appellations à connotation infernale, comme les noms des gangs, par exemple, ou la chanson "Highway to Hell", d'AC/DC. En outre, on a plusieurs références cinématographiques , comme dans la série d'Anonyme, avec lui aussi des références de films de Série B ou de mafia. Un petit gang de jeunes à la moralité douteuse qui se retrouve mêlé aux affaires d'un gang criminalisé ( des motards et des mafieux), ça fait aussi très Anonyme. Par contre, il n'y a aucune dimension fantastique dans cette débâcle. On a aussi un langage cru, beaucoup de jurons ( dont des "sacres", ces jurons typiques du Québec inspirés de termes chrétiens et plusieurs vilains mots anglais). On ne censure pas en littérature Jeune Adulte, c'est un de ses grands privilèges! À sa décharge, le milieu criminel n'est en effet pas un modèle de langage raffiné. Néanmoins, le tout n'est pas mal écrit non plus et certains personnages s'expriment très bien.

Alors qu'avons nous côté scénario? Un groupe de quatre vieux ados entre 16 et quasi-18 qui veulent faire de l'argent, tout en conservant une certaine forme "éthique", une sorte de code "Arsène Lupin", si on veut . C'est ainsi qu'ils ont commencé à enlever des personnes âgées ( que des hommes), les garder "au frais" dans leur entrepôt le temps de leur soutirer deux fois 1000$, un peu avant minuit, puis juste après. Pas de violence, toujours polis, presque courtois, ils les redéposent ensuite dans le quartier avec assez en poche pour appeler un taxi. On a aussi une policière qui veut faire carrière en tant que SD ( Sergent Détective), mais est confrontée au fait que son père est une Légende du corps policier dont l'Ombre porte loin. Nous avons également Raymond Leduc, équivalent du "Parrain" pour son gang de motards criminalisés, les "Satan's disciples" ( Référence manifestement aux "Hells Angels", un gang de motard criminalisés qui ont fait régner la terreur dans tout l'Amérique du Nord, dans les années 80). Ce dernier devait être la dernière victime des quatre ados, parce qu'il devenait évident qu'ils ne pourraient pas continuer à être chanceux ad vitam æternam et que tôt où tard, ils feraient une gaffe ou seraient trop confiant. Et bien, disons que ces possibilités étaient tout-à-fait plausibles, mais c'est finalement le fait d'être tombé sur LA mauvaise personne, un poisson qui s'avère être un grand requin blanc. Bref! Ça va barder! Littéralement.

Dans les romans jeunesse, j'observe deux façons de traiter les clichés. Il y a les auteurs pas très inspirés qui reprennent de vieux clichés doublés de stéréotypes en se croyant vainement originaux ( hélas, très nombreux chez les auteurs américains, je constate), et il y a les auteurs/autrices qui s'amusent à reprendre des clichés pour mieux les malmener. Ici, on est dans cette dernière logique. On nous présente d'emblée les personnages avec leur "archétype" type, pour mieux constater par la suite qu'ils ne s'y prêtent pas tant que ça au final. Voici:

Édouard, l'archétype du Boy scout beau bonhomme nés avec un surplus de qualités , d'ailleurs au centre d'un triangle qu'il ne soupçonne pas ( entre un gars et une fille, ce qui est somme toute rare), qui au final n'est ni le meneur, ni le plus intelligent. Charismatique, certes, mais pas très stoïque ni très courageux. Il a en outre la particularité de bégayer quand il a peur.

Liam, la grande perche à chevelure rousse en pétard, qui est supposé être le "geek" de service à lunettes, a en fait un côté sombre et téméraire qu'on ne lui soupçonne pas à priori. Pour une fois qu'on a un personnage qui a l'air d'un Intello, mais qui tire vers le "Bad boy". Il a aussi le béguin pour Édouard et il a un frère qui est "du côté obscure de la force", disons.

Will ( Nom complet), surnommé le Kid ( Référence à Billy the Kid et Charlie Chaplin) est le petit jeune du groupe, qui se régale volontiers de briser les règles et a une petite propension aux comportements à risque, développe une certaine admiration pour Liam. Il me fait surtout l'impression du jeune qui aime le risque et la violence sans en avoir l'expérience.

Enfin, notre personnage féminin, Vanessa, est pour sa part une rare représentante du port du hidjab ( on lui suppose donc une confession musulmane) et à mon sens, elle est à la fois la Cheffe et l'Intello, bien qu'on aura pu la caser au début comme la fille qui suit juste pour avoir le beau chef, ce qui n'est pas totalement faux non plus. Mais, elle est plus rusée, songée et a un meilleur sens pratique que tous les autres de son groupe, en plus d'être stoïque et pragmatique. Elle a d'ailleurs le mérite d'avoir impressionner le Chef du gang criminalisé Raymond Leduc. Ce qu’elle voulait faire de l'argent gagné est également louable - bien que gagné de manière questionnable.

Nous avons également ce vieux bonhomme, Raymond Leduc, chef des Satan's disciple, est un homme très intelligent et observateur. Un homme d'expérience, quoi! Pas le genre vieux débris grabataire à moitié sourd, il a également un côté fleur bleue.

Petite mention spéciale au personnage Vincenzo Ivaldi ( 3e du nom), le chef de la mafia calabraise, surnommé très justement "Il Insegnante" ( L'enseignant/Le prof), qui a un esprit cartésien, un côté veille école très élégant, assez de principe pour un représentant du crime organisé et un physique terre-à-terre et intellectuel qui a plus en commun avec le prof de science que le sanguinaire parrain caricatural. Je l'aime bien ce personnage!

On a aussi une jeune policière qui cherche à sortir de l'ombre parentale d'une sommité de la Police, un chef de gang rival albinos sans pitié et complexé, un jeune Chef Mafioso calabrais qui ressemble plus à un professeur de sciences à QI élevé, un gardien de sécurité perfectionniste et trop jovial, avec en prime un vieux libraire zélé amateurs de vieux classiques littéraires.

Enfin, on ne peut contourner Jimmy Diamond, dont la légendaire réputation de parfaite raclure de l'humanité n'est plus à faire, mais qui étonnamment, pour un personnage dont le nom figure dans le titre et abondamment cité par les autres personnages comme la dernière des ordures, est aussi le plus incroyablement absent du décor. On ne le verra que durant quelques minutes, mais c'est en même temps ce qui est drôle: on en attends parler, très négativement, mais on ne le croise pas. Un personnage absent à la manière de Légende, dans le premier tome de "Caraval" ( S.Garber).Bref, une sacrée palette de personnages. Si on reste sur certains clichés, on sort des stéréotypes.

Le traitement des personnages se veut féministe ( égalité des sexes, je rappelle), ce qui est quand même excellent si on tient compte du machisme du milieu criminel et on y trouve une certaine diversité ethnique avec les personnages de Vanessa, le SD Massoud et la policière Garon.

À propos des thèmes, sachez que monsieur Meunier a été journaliste durant une dizaine d'année sur le sujet des gangs criminalisés, ce qui explique les nombreuses explications sur ces groupes, sur leur mœurs, leurs différences, leur codes, leurs enjeux et les rivalités entre elles. J'ai réellement trouvé cet aspect intéressant. Toute la question entourant l'intouchabilité des femmes, du code d'honneur familiale et des différences entre générations étaient souvent ramenées pour expliquer le contexte ou les actions des divers personnages.

J'observe une fâcheuse tendance de répétition sur les mots "milieu interlope" ( Franchement monsieur Meunier, en tant que journaliste, un petit emplois de synonymes n'aurait pas fait de mal), mais que je peux facilement pardonner vu la diversité des formes dans le roman, dont un court acte de théâtre, des clin d’œil au lecteur, des bas de pages assez tordants ( qui me rappelle ceux de "Félicratie") et des commentaires sur les références, quant à elles nombreuses, d'ailleurs. Il y a une petite préférence pour Harry Potter, mais on a aussi des références à Star Wars, Indiana Jones, Le Hobbit, Le seigneur des anneaux, plusieurs films cultes, un bon nombre de livres classiques, etc. Je note aussi - comme l'auteur nous invite à le faire d'ailleurs - la présence de nombreux faits scientifiques, des Lois de physique, entre autre ou même des personnages historiques, comme Fibbonacci. Effectivement monsieur Meunier, on en apprend avec vous, c'est presque subtile! ( notez le sarcasme sympathique ici).

Côté fin, elle est aussi explosive qu'on peut l'imaginer, avec quelques hasards commodes en surplus, très "Hollywood", comme l'étaient les films de Mafia et de gangsters états-uniens. Une fin en clair-obscure, où les notions de Bien et de Mal se partagent la vedette.

Je conçois toutefois que ce genre de roman à versant humoristique et volontairement absurde sur certains points ne sera pas aux goûts de tous. L'humour est un élément très personnel en lecture comme dans les autres domaines culturels, il faut donc, à mon avis, avoir une certaine "inclinaison" pour ce genre,

Au final, ce roman aux figures de styles très imagés, est un drôle de mélange décapant entre un roman policier, un demi huis-clos criminel, sur fond d'humour tantôt ironique, tantôt trash, tantôt pince-sans-rire, le tout agrémenté de sauce tabasco. Il devient le premier roman jeunesse Jeune Adulte a recevoir ma mention ( très peu officielle) d'"Olibrius", parce que c'est une sorte de roman inclassable qui sort des conventions, moqueur à sa façon et hautement divertissant.

Et en toute franchise, avoir enfin ce genre de roman en jeunesse, c'est un soulagement. Oui, c'est parfois cru, c'est rempli de sacres, mais ça reste un bon roman qui nous sort des conventions, qui est féministe ( égalité des sexes) et qui ne se prend pas au sérieux! Et en ces temps difficiles de pandémie, ça fait du bien au moral. Oh, d'ailleurs, il y a une allusions aux masques, on est donc dans le contexte de la pandémie le temps d'une scène.

Pour un lectorat Jeune Adulte, 17 ans+.

Pour les bibliothécaires et profs: Oui, je le redis, il y a des "f**k", des sacres, du joual, des vilains mots de temps à autre, mais côté violence, rien de bien méchant sauf une fusillade entre gangsters, et rien côté sexe. Si ce n'est du langage injurieux, c'est très accessible, même aux 13-16 ans.

** Qu'est-ce que cette mention? Une petite nouveauté personnelle de libraire qui aime mettre de l'avant les romans atypiques, originaux et inclassables ( ou presque). Ça n'a donc rien de très "glorieux", mais ça vous donne une idée du genre de roman présent ici.

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Commentaire ajouté par Shaynning 2023-07-23T05:41:45+02:00
Walmart: journal d'un associé

La vie n'est pas rose au royaume du bonhomme sourire des chutes de prix. Derrière ces temples de la surconsommation vantés pour "améliorer la qualité de vie des gens", les gens oublient de se demander si la qualité de vie de ses propres employés peut être qualifiée de meilleure? Cette entreprise a des réussites, entre autre d'avoir créer un empire immense basé un modèle qui fait niveler toujours vers le bas les prix, mais à quel prix? Le prix pour les gens des pays misérables qui produisent des biens, de l'essentiel au totalement superflus; les prix des salaires minimums qui carburent néanmoins à toujours plus d'efforts, à grand renfort d’infantilisation et d'anti-syndicalisme; le prix que les petites entreprises paient pour ne pas être capable de survivre à ce gigantesque Pac Man qui les engloutie une à une, impitoyablement.

Mais cet essai se veut d'abord une incursion dans le monde de l'employé moyen québecois, grâce à un journaliste d'investigation, Hugo Meunier, qui a passé trois mois dans la peau d'un de ces employés. Avec humour, parfois noir parfois léger, Monsieur Meunier nous fait voir de l'intérieur un petite pan de cette entreprise vorace et puissante qui exploitent aussi bien les gens outre-mer pour sa production que ses propres "associés", ce terme d'une grande ironie qui qualifie les employés. Si au début le journaliste semble fasciné par le cadre atypique de son travail ( notamment avec des séances de chansons dignes des camp de jours et de renforcements digne de mauvais livres de psycho-pop) , il découvre qu'il est somme toute facile de se laisser engloutir par cette immense machine, où la pression, la délation et une absence de déontologie donnent l'impression d'en devenir un rouage. Et derrière ce gros smiley qui leur sert de logo, une seule réalité importe: Faire du cash. Pas "rendre la vie meilleure", pousser les gens à toujours plus dépenser, en leur rappelant sans cesse qu'ils économisent. S'est-on déjà demandé combien "d'économies" nous aurions fait si on allait simplement pas dans un Wal Mart dépenser pour plus encore que nos besoins?

Bienvenus dans les rangs de Wal Mart, là où les chutent de prix justifient de piler sur l'éthique et la dignité, parce que l'humain a bien moins de valeur que le produit, finalement.

La question qui se pose: Que faisons nous contre ça? Wal Mart n'est-il pas le navrant constat de notre débauche financière et de notre dépendance au matériel? Il y a matière réflexion sur nos propres comportements de consommation, en songeant au fait que chaque achat est politique et duquel résulte une conséquence bien réelle dans notre univers capitaliste. Consommer c'est avoir du pouvoir et c'est ce pouvoir qu'exploitent les entreprises mammoutesques et sans vergognes comme Wal Mart et autres industries du genre. Mais tout pouvoir peut se renverser. À vous de voir.

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Dédicaces de Hugo Meunier
et autres évènements

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Editeurs

Stanké : 2 livres

Editions Les Malins : 2 livres

Lux : 1 livre

Éditions Stanké : 1 livre

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