Shigemitsu Harada
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Note moyenne : 7.38/10Nombre d'évaluations : 52
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Un tome qui se concentre sur le cancer et ses traitements. Comme à chaque fois les cellules se battent pour accomplir leurs missions, ont parfois peur de mourir mais le sacrifice des uns apportent l'espoir aux autres. La mission avant tout.
Afficher en entierCe tome nous montre la difficultés des cellules à reconstruire un corps sain dans un bon environnement et les conséquences du combats ("après-guerre") du cancer et de son traitement. Il aborde aussi les risques de rechutes et les moyens de les prévenir mais démontrent qu'avec une bonne hygiène de vie, il est toujours possible d'améliorer sa santé ~et les conditions de travail des cellules ;)
Bref un bon huitième tome, une bonne fin !
Afficher en entierChronique complète :
https://sunread26.wordpress.com/2023/09/15/le-bateau-usine-tome-1/
Extrait :
Petite curiosité quand tu nous tiens… Je n’ai pas lu le roman, ou la première adaptation manga de celui-ci. Je me suis donc laissée tentée quand même, par cette deuxième adaptation, qui d’après ce que j’ai vu, prends de la hauteur pour traiter le même sujet. Ainsi, l’auteur nous place dans un monde futuriste, le monde se retrouve sans eau et les animaux marins se retrouvent dans le ciel. Pour le reste, je suppose que le titre est assez proche du roman, puisqu’il revendique les mêmes points. C’est peut-être même d’autant plus alarmant dans un monde aussi dangereux, et sûrement sans pitié, de considérer la vie humaine comme remplaçable, sans valeur.
Comme je n’ai pas lu les autres formats de l’œuvre, je ne vais pas comparer celles-ci entre elles, surtout qu’au final, cette nouvelle série n’a pas vraiment de liens autres que les thèmes de bases. Il serait donc assez maladroit de comparer le reste, mais il est toutefois possible de parler du traitement des thèmes importants. Le roman et l’autre manga sont des one shot, je pense donc qu’il ne faut pas comparer non plus avec cette série qui comporte déjà 5 tomes. Le rythme sera clairement différent et il en sera sûrement de même pour le traitement des thématiques. En outre, il n’y a pas besoin d’avoir lu les autres formats pour comprendre les événements de ce titre, il est bien à part entière, pas de soucis là-dessus. Il est même possible de découvrir et apprécier la série pour autre chose que ses raisons là, il s’agit d’un bon SF d’action et avec un pas mal d’injustice.
Le ton de la série est assez vite donné, la chef n’est pas là pour plaisanter, et se fiche complètement que son équipage meurt, puisqu’il sera remplacé rapidement. Or, le meilleur moyen d’éviter les pertes, c’est de faire en sorte que l’équipage survive, car ils auront l’expérience. Pour cela, il faut aussi du repos, des repas, etc… Comme vous l’aurez sans doute deviné, tout ça ils l’ont, mais à un niveau tellement précaire que s’en est idiot. En plus de ne pas pouvoir toujours tenir les quotas (ce qui impact tout le monde au final), les nouveaux ne font que se succéder et meurent parfois aussitôt. Cette explication donne toutefois une information importante : malgré la pénurie d’eau, l’humanité est toujours aussi nombreuse. Tout l’équipage du bateau sont des personnes avec des dettes, ou bien vendue, et c’est le cas de notre protagoniste, Luca. Pour pouvoir être libre et quitter le navire, il faut qu’il rembourse sa dette (qui doit correspondre à son prix de vente ? puisqu’il a été vendu). Comme toujours dans ses cas-là, la dette est démesurée par rapport aux gains engrangés par l’individu. Il pourrait très bien travailler toute sa vie, sans jamais avoir sa liberté.
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Afficher en entierC'est le concept le plus DÉBILE et le plus IMPENSABLE que j'ai jamais vu. C'est du vrai délire!
Afficher en entierSi on est déjà à la moitié du compte à rebours. Les autres volumes vont nous offrir quoi?
Afficher en entierElyse a retourné sa veste assez vite. Elle a beau dire, on sait ce qu'elle pense.
Afficher en entierWoah... si même un simple flan tout bête fait fantasmer Kota...
Afficher en entierSi on peut accorder quelque chose à Kota, malgré que ça soit un gros vicelard, il a beaucoup d'endurance.
Afficher en entierSpoiler(cliquez pour révéler)Je crois que ce qui m'a le plus surpris à la fin est que Satan se soit mise avec Michael.
Afficher en entierChronique complète :
https://sunread26.wordpress.com/2023/11/25/le-bateau-usine-tome-2/
Extrait :
Si le premier tome vous semblez déjà dur, vous allez être encore plus surpris avec cette suite. Depuis ma lecture du premier tome, j’ai aussi lu le one shot, manga, qui était apparu chez Akata. Cette nouvelle série a beau aborder le même thème via de la science-fiction, elle en reste bien plus « choquante » que le one shot. Il faut aussi dire, qu’avec un seul tome, il allait à l’essentiel. Du coup, je me demande jusqu’où peut aller le roman original…
TW : Viol, Violence Sexuelle, Suicide, Torture…
Après la destruction d’un navire suite à une mutinerie, Luca a sauvé l’un des derniers passagers du navire. Celui-ci est alors rapatrié sur le leur, et interrogé (torturé), par la petite qui se croit grande. Après tout, comme il y a eu une mutinerie liée au « communisme » (qui est pas mal évoqué comme une solution dans cette série, alors que bon… suffit de voir les pays communiste pour savoir que c’est aussi bien que le reste) et que la société en a peur. Elle demandera aussi sa relation avec Luca, sans doute parce qu’elle lui cherche encore des noises, et la suite de la lecture le confirme… Le côté « tordu » de la série commence à partir dans de sacré extrêmes de violences, psychologique et physique. Ainsi, la lecture peut ne pas être très agréable pour tout le monde. Mais d’un autre côté, ça rajoute, malheureusement, un côté réaliste au titre. Après tout, les travailleurs ne sont pas vraiment considérés comme humains, donc leur traitement est en conséquence…
Outre le côté un peu gore et malsain qui commence à bien émergé, je tenais à souligner le design des animaux présentés dans ce tome. Entre un manchot bodybuilder et un crabe lanceur d’oursin géant (ayant des ventouses cheloues), on peut dire qu’il y a de l’originalité. Je me demande même si le coup du pingouin n’avait pas un léger but humoristique. En tout cas, ça dénote vraiment avec ce que l’on connait de l’animal. Les difficultés, mais aussi, la situation dans laquelle se trouve l’humanité est également expliquée. Visiblement, une grande guerre est à l’origine de la disparition de l’eau, mais aussi d’une grande partie de l’humanité. Les survivants se regroupent autour des derniers points d’eau, où les riches ont la facilité, comme toujours, et là où les pauvres triment comme pas permis. Au final, cette vision est une représentation de la réalité, où les riches ne sont jamais embêtés et vivent leur meilleur vie sur le dos des autres. Si bien que quand ils commencent à s’intéresser à la réalité de la majorité, ils ne comprennent rien ou sous-estime celle-ci (on rappellera un politique incapable de donner le prix d’un croissant…).
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Afficher en entierDédicaces de Shigemitsu Harada
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