Stéphanie Leclerc

Ce livre s'apparente à une tranche de vie mais doublé de quelque meurtre. Sans les apparition paranormal et le mystère du criminel, le livre est long et ennuyeux. Les personnages vulgaire et la fin arrive d'un coup sans réel explication.

Je crois que je suis passée complètement à côté de ce livre.

Dommage parce qu'il avait l'air d'être bien sympa..

Captivant de poésie, Grand-Passage mérite bien son titre de “pépite” glané au salon de Montreuil. Sans lourdeur, voire même parfois un peu trop familier, le roman parlera parfaitement aux ados à travers ses moments de deuil, de premiers émois, ou tout simplement de tranches de vie, le tout sur fond de fantastique.

Toutefois, la narration (ou devrais-je dire les choix narratifs) se montre de temps en temps inégale, la faute à de grands enjeux pas toujours très bien exploités, et à un Lauris en demi-teinte dans les moments de flottement.

Qu’à cela ne tienne, Grand-Passage est une véritable bonne surprise et permet d’ajouter Stéphanie Leclerc à ma liste d’auteurs à suivre.

Bon pour ce livre ça a été un véritable flop. Je n’ai pas apprécié très clairement, ma lecture a été laborieuse, très laborieuse. Le personnage principal n’est pas fameux il m’a dégoûté, je n’ai jamais été comme ça à l’âge de 14 ans. Il est hypocrite avec son ami, il commence à fumer ect et il croit déjà que la fille la plus jolie du collège va finir sa vie avec lui. Le début m’a paru bien avec un peu sa part de fantastique suspense mais après ça se dégrade. C’est dommage car le résumé me donnait envie.

Alors oui j ai bien aimé l'ambiance, les personnages, le cadre, la plume de l'autrice... Mais je trouve que la fin est trop précipité et c'est vraiment dommage...

Sentiment un peu mitigé.

Y'a une ambiance assez particulière plutôt plaisante mais à part ça, je suis passée à côté de ce livre.

Déjà, sur le gros du livre, on est sur une tranche de vie adolescente tout ce qu'il y a de plus classique, et je suis pas forcément le public, j'ai trouvé ce roman plutôt ennuyeux.

On ajoute à ça des apparitions de fantômes-animaux morts et des meurtres mais qui sont finalement assez secondaires. Le récit est plutôt longuet, et l'intrigue traîne en longueur. L'enquête sur les disparitions et meurtres des filles est inintéressante, et sa conclusion bien trop vite expédiée.

Et c'est aussi le cas avec la touche de fantastique présente tout le long du récit. C'en est même frustrant : la fin arrive, bien trop brutale ; le motif du tueur est plutôt nébuleux, sans nuance, (juste on avait besoin d'un tueur en série psychopathe et c'est tout). Son identité n'est d'ailleurs même pas très étonnante.

Et surtout ça se finit sans qu'on ne comprenne pourquoi le personnage principal voit des fantômes, parce qu'il faut dire que ça n'apporte pas grand-chose à l'histoire en elle-même. C'est finalement perturbant, on conclut ce roman avec l'impression qu'il n'est pas terminé.

Grand Passage est dépeint comme un conte fantastique avec une enquête que la quatrième de couverture.

Pour ma part, je ne suis pas sûre de ce que j'ai lu... Nous avons un mélange de Fantastique/Fantasy très légère, un thriller tout aussi léger, et le récit d'une tranche de vie d'un adolescent. La thématique du deuil est abordée, comme la recherche de soi et de son identité, et plutôt finement, il faut le dire.

L'action se déroule à l'époque moderne, dans la région Centre de la France, même si peu d'indications sont données sur la géographie de cette communauté de Grand Passage.

C'est là l'un des points qui m'a fait sortir du récit. Les personnage sont modernes... Et leur langage aussi. Voir écrites des phrases telles que "t'es chi**t Lauris, vraiment !" ou "Cette fille est une bombe.", ca m'a fait grimacer plus d'une fois. Et ce langage vulgaire et très familier est présent tout le temps; tout au long du roman.

Le scénario tourne autour du mystère de la disparition d'une adolescente, amie du narrateur, mais aussi autour du choc de ce meurtre. Dans cette petite communauté perdue dans les montagnes, où tout le monde se connait, le deuil est très présent. Les questionnements de Lauris sur le sujets, les émotions qu'il ressent, sont bien abordés, sans en faire trop.

Seulement, ce n'est là qu'une partie du roman. Rapidement, on tourne sur la tranche de vie. La disparition de Lali n'est pas oubliée, elle reste en fond... Mais c'est tout. Et j'avoue que les atermoiements d'un adolescent sur sa relation avec une nana du collège, s'ils sortent vraiment ensemble ou pas, et le détail de la fête à laquelle il participe... Je n'en ai pas grand chose à faire.

Cette partie, de la moitié à 80%, m'a clairement fait décrochée.

La relation qui se créé avec Colin ou le mystère autour du père jamais évoqué par sa mère ne m'ont pas permis de raccrocher vraiment. C'est encore une fois une tranche de vie contemporaine... et ce n'est pas les lectures que j'apprécie.

La fin est résolument plus fantasy. Et je n'y ai rien compris. Ou plutôt si, j'ai compris le pourquoi Spoiler(cliquez pour révéler)avec le cerf de 8h15., mais absolument pas ce que Lauris faisait là. Spoiler(cliquez pour révéler) Alors, juste parce que son futur lui le guide à cette cabane? On a aucun indice vraiment de qui est le coupable avant... ça sort de nulle part, juste sur le guide d'un fantôme. Deus Ex Machina, quand tu nous tient...

La fin tombe un peu comme un cheveu dans la soupe, et laisse plein de questions en suspens. Plusieurs personnages sont utilisés au cours de l'intrigue (je pense notamment à Nicole, la mère de Lali), pour ensuite disparaitre simplement.

Bref, un roman qui me laisse sur ma faim, et surtout qui ne racontait pas du tout ce à quoi je m'attendais. Il y a pourtant de beaux moments, bien écrits, sur un sujet qui va parler à des adolescents.

Les romans contemporains ne passent pas chez moi, les tranches de vie non plus, et Grand Passage coche toutes ces cases.

Dommage, car pour le coup, c'est moi qui suis passée à côté.

Je n'ai pas du tout accroché avec l'histoire mêlant le "fantastique" à de pseudos enquêtes de meurtres.

Le langage des ados est beaucoup trop fleuri pour moi. Les "connards" dans les dialogues à tout bout de champs, moi, ça me soûle.

Au final, pourquoi Lauris a--il ses visions, on ne nous en dis pas plus, son père ? Et bien vous comblerez les trous par vous même et la fin et bien...même chose, il faut deviner le pourquoi du comment.

Roman en compétition pour le Prix Ado.

L’ambiance de ce roman en fait son principal atout. L’autrice a créé un univers immersif, mystérieux et angoissant.

Au cœur de cette ambiance, on aborde beaucoup de sujets de société plus ou moins développés : les conflits familiaux, l’amour, la scolarité, la mort, les secrets… Finalement, c’est plus un roman tranche de vie qu’un thriller. On suit Lauris à un moment donné de sa vie et tous les éléments ne se résolvent pas dans cette période.

J’ai trouvé qu’il y avait quelques facilités scénaristiques qui, tout compte fait, sont contre-balancées par de bons gros retournements de situation inattendus.

Si vous aimez les romans d’ambiance, les romans fantastiques ou les romans de société, vous y trouverez votre compte !

J'ai vraiment eu de la peine à finir ce livre. L'idée de base (les fantômes, les morts) était captivante, mais quelque chose dans l'écriture m'a gênée et les personnages ne m'ont absolument pas touchée. C'est comme si les mots étaient vide de sens, creux.

J'ai eu l'impression que le roman ne s'arrêtait que sur des détails sans importance en passant complétement à côté de choses beacoup plus intéressantes Spoiler(cliquez pour révéler) par exemple: le père de Lauris, est-ce vraiment Éric ? Que s'est-il passé avec le grand-père de Lauris? Et pourquoi voit-il tous ces fantômes ?

La fin reflète bien le style dans lequel est écrit ce livre, c'est-à-dire que là encore, tout va beacoup trop vite et on ne sait presque rien sur le coupable. Désolée mais ça sort vraiment de nulle part. (Et bon, je n'ai pas du tout été surprise, j'avais cette théorie depuis le début c'était assez prévisible😭)

En bref, j'ai été un peu déçue.