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Marie Charrel

Auteur

73 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par CompOte-444- 2012-04-25T10:09:16+02:00

Biographie

Journaliste à Capital (groupe Prisma) et au magazine musical Longueur d’ondes, Marie Charrel, 27 ans, a grandi à Annecy et Grenoble. Diplômée de l’IPJ, elle a déjà remporté trois prix décernés par la profession : les prix Prisma, Bayard et Ajis. Elle vit à Paris, dans le quatrième arrondissement et Unefois ne compte pas est son premier roman.

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7.94/10
Nombre d'évaluations : 33

0 Citations 14 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Marie Charrel

Sortie France/Français : 2024-01-05

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par katerina_brrz 2022-03-20T15:33:00+01:00
Les Danseurs de l'aube

livre très passionnant et très addictif

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Commentaire ajouté par PerrineP99 2023-03-17T18:10:13+01:00
Qui a peur des vieilles ?

Cet essai interroge l’invisibilisation des femmes vieillissantes et des vieilles femmes dans sa globalité. Histoire de la vieillesse et de son acceptation, male gaze et représentations, sororité et place accordée dans la société, le vieillissement est abordé sous bien des angles… tout le monde devient vieux, personne ne vit sa vieillesse de la même façon et pourtant, ce que cet essai montre clairement, c’est que la vieillesse des femmes pose problème à la société. Un essai très intéressant complété par des témoignages de tous milieux !

Lu conjointement avec Et si les femmes avaient le droit de vieillir comme les hommes d'Amanda Castillo, l'approche axée sur le sexisme qui entoure le vieillissement des femmes de Castillo vient détailler les théories avancés par Charrel, notamment en ce qui concerne le male gaze, la recherche du corps "parfait", etc.

Et ces deux essais sont aussi passionnants que désespérants. On aimerait pouvoir se dire que la société évolue, mais en vérité, à l’aune de ce que ces essais démontrent, c’est loin d’être le cas… après tout, selon certains sondages, l’âge idéal des femmes serait de 22 ans !

J’avoue tout de même avoir été semblablement déçue de cette lecture comme je l'avais été de la lecture de Castillo sur ce point que l'européocentrisme présent dans les essais se fait trop ressentir comme un universalisme. Or, si toutes les femmes en Europe occidentale ont déjà des expériences diverses de la vieillesse, comment n'en serait-il pas de même sur d'autres continents ? Une telle ouverture en conclusion aurait été agréable et porteuse de recherches...

Malgré cela, c'est aussi un essai qui se laisse lire très facilement !

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Commentaire ajouté par Blandine1 2023-04-07T23:31:16+02:00
Les Mangeurs de nuit

Premières pages : une jeune femme se fait attaquer par un ours blanc en Colombie Britannique. Il sera mis en doute plus loin que les ours blancs n'existent pas dans cette partie du monde. L'explication ne viendra jamais. Ormis cette petite contrarié, le reste m'a bien plu et surtout cette belle rencontre, sans sexe, de deux êtres si différents, une chinoise et un amérindien, une soignée et un soigneur. Deux êtres qui ont souffert du racisme et de l'exclusion. Ces deux taiseux vont s'ouvrir en se côtoyant. Révoltant de découvrir ce pan de l'histoire où on a fait venir des nippones au Canada par l'intermédiaire de lettres pour les exploiter puis les persécuter. De belles légendes amérindiennes nous sont contées. La nature y est sublimée. À découvrir.

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Commentaire ajouté par Mimosa06 2023-05-02T09:27:13+02:00
Les Mangeurs de nuit

On entre lentement dans le roman mais une fois vraiment commencé ce n'est pas prenant ni instructif. On n'apprend pas grand-chose sur les relations entre canadiens et japonais , sur la vie sauvage au canada, les légendes des amérindiens, bref plus que décevant...Cela ne m'a pas du tout intéressée.

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Commentaire ajouté par cinhre 2023-06-05T09:57:40+02:00
Les Danseurs de l'aube

Magnifique roman.

J'ignorais absolument tout de ces danseurs, de ce morceau d'histoire.

J'ai eu un peu de mal à m'imprégner du récit au tout début, mais plus j'avançais dans l'histoire, et plus il m'était difficile de m'en détacher.

Très jolie plume qui sublime ce roman.

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Commentaire ajouté par Kiki1744 2023-06-18T18:11:27+02:00
Les Mangeurs de nuit

Marie Charrel donne le départ à plusieurs feux simultanément. L’histoire part dans toutes les directions : une jeune fille, Hannah, attaquée par un ours ; une jeune adolescente japonaise, Aïka envoyée par sa famille en Colombie Britannique au Canada pour se marier à un immigré japonais et Jack celui qui sait écouter la forêt du Grand Nord canadien pour s’y ressourcer et surtout s’éloigner des hommes.

Forcément, Marie Charrel tisse les liens passés ou à venir entre ces trois personnages.Mais elle fait de Jack et Hannah les personnages centraux du roman passant de l’un à l’autre, d’une époque à l’autre, continuant de dérouler l’histoire dans la suite d’un précédent chapitre. Elle nous révèle leur dénominateur commun : l’Histoire funeste du Canada. Ce pays a écrasé les populations amérindiennes jusqu’à les anéantir physiquement sinon spirituellement en les assimilant de force par un enseignement des bonnes valeurs chrétiennes.Au début du XX° siècle, ce pays a concentré l’immigration japonaise de travail, en Colombie Britannique jusqu’à la parquer dans des endroits hostiles, profitant de sa faiblesse fatale à résister et l'obligeant à subir l’humiliation d’un racisme ordinaire : la crise de 29 et la deuxième guerre mondiale sont passés par là.

Hannah est une jeune fille, dont les parents sont japonais mais elle née au Canada et se revendique canadienne. Par conséquent, elle ne comprend pas l’humiliation qu’elle subit quotidiennement et la colère et la révolte montent en elle.

Jack, dont les racines sont amérindiennes, est creekwalker, compteur de saumons pour le gouvernement car la surpêche menace l’économie de la pêche. Jack y voit surtout une menace tant pour les animaux : les prédateurs des saumons mais aussi ceux dont ils se nourrissent que pour les végétaux des bords des rivières et des forêts.

De manière improbable, mais c’est ce que le roman permet, ces deux là se rencontrent. Ils sont au premier abord si différents. Mais très vite, ils s’aperçoivent que tout les réunit. D’abord, leur solitude et le pacte qu’ils ont passé avec la nature, leur donnent une paix intérieure et leur offrent une vie en harmonie avec elle et la possibilité d’être eux. Ensuite, le rejet des blancs à leur égard est récurrent et persiste de l’être. Enfin, les contes nippons comme les légendes amérindiennes apaisent les esprits, renforcent la sagesse par leur morale, donnent à rêver et connectent au vivant, à la nature dont cette forêt du grand nord ou encore ces lucioles : « ces mangeurs de nuit », les étoiles, les ours blancs, les corbeaux, les aigles… ; mais aussi tous « ces mangeurs de nuit » incarnés par les effets pervers de la modernité. A aux deux, ils nous rappellent que nous vivons collectivement déconnectés de cette nature qu’on spolie, insensibles à la destruction de notre planète et de notre Humanité.

Naturellement, tout s’emboîte et se recoupe car Hannah, devient, celle qui fixe la mémoire par les mots et raconte l’étrange histoire de cet ours blanc qu’elle a rencontré….et répond aux questions irrationnelles ou métaphysiques ? des hommes …car tout ne s’explique pas mais tout s’écrit.

L’écriture est somptueuse et lyrique renforcée par une description lente de ces espaces sauvages. Les contes nippons racontés par son père à Hannah ; les légendes amérindiennes, racontés aux enfants à leur coucher, au lecteur pendant sa lecture et parsèment le roman comme pour nous apaiser de cette folie irraisonnée des hommes.

Encore une autrice à lire et un remerciement tout particulier à la Librairie Coiffard de Nantes qui me l’a fait connaître.  

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Commentaire ajouté par soizig 2023-08-12T12:42:26+02:00
Les Mangeurs de nuit

Grandiose, époustouflant, ce livre est tout simplement magnifique

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Commentaire ajouté par LaureG 2023-08-28T09:24:29+02:00
Les Mangeurs de nuit

Ce roman se situe au fond de la forêt, là où naissent les légendes, et propose une histoire qui a tout d'une légende, l’apprivoisement d'un Amérindien et d'une Japonaise.

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Commentaire ajouté par Jackylebook 2024-01-27T16:30:41+01:00
La Fille de Lake Placid

Je rédige cette chronique en écoutant la magnifique voix de Lana Del Rey sur une ballade envoûtante et repense au texte, lumineux, grisant, de Marie Charrel dans son roman « la fille de Lake Placid ».

Comment vais-je pouvoir résumer la complexité de la personnalité de cette chanteuse avec mon pauvre vocabulaire ?

Ce roman, c’est aussi la rencontre de Lana avec Joan Baez, l’icône folk, deux femmes amoureuses de la nature, éprises de liberté mais désenchantées face au chaos et la folie de notre monde et du rêve américain déchu.

1996, Lake Placid, la petite Elizabeth Grant se sent recluse dans cette petite ville bourgeoise. Elle aime fuir dans la forêt avoisinante : « Dès qu’elle le peut, elle gagne les tourbières, teste jusqu’où ses pieds s’enfoncent dans la fange spongieuse. Elle s’allonge sous un orme et se concentre sur l’odeur puissante de la terre humide, le chant des parulines masquées, la dispute des corneilles et, au loin, la rumeur de la circulation automobile rappelant que les hommes sont partout. Elle laisse la forêt entrer en elle pour y dissiper son angoisse » où elle retrouve son ami Parker. Au retour d’une de leurs escapades, ils feront l’étrange rencontre d’une femme dévêtue, la bouche barbouillée de rouge, la peau diaphane, cadavérique qui d’une voix plaintive s’interroge why are we here? why are we here? Cette vision de la femme écarlate la hantera à tout jamais. N’est ce pas le monstre des villes qu’elle cherche à fuir ?

Son entourage lui reconnait des dons pour le chant et elle aime se réfugier dans la poésie. Elle passe une adolescence compliquée, un peu trash, s’adonne de plus en plus à la boisson pour trouver l’inspiration. Cette addiction découverte l’éloignera de Lake Placid. Etudes à la Kent School, petits boulots, Elizabeth-Lizzy est hébergé par son oncle Mike qui l’oriente sur des lieux mythiques des concerts de son enfance et renforce son idée de faire carrière.

Lizzy devient bientôt Lana Del Rey, mais quel parcours tortueux, il faut qu’elle fasse preuve d’une grande résilience et passe outre les critiques des réseaux sociaux. Son physique agréable et ses lèvres pulpeuses la desservent, elle est cataloguée comme bimbo, femme superficielle. Mais, bientôt, la profondeur de ses textes, ses mélodies nostalgiques prendront le pas sur son allure sexy.

2019 : Lana enfin reconnue, cherche à rencontrer son idole, la charismatique Joan Baez. Celle-ci, presque octogénaire, vit retirée dans son ranch californien, loin des engagements et des luttes de sa jeunesse et ne se consacre, désormais, qu’à la peinture. La première demande de Lana de se produire en duo avec elle pour interpréter le fameux succès de Joan « Diamonds and rust » se solde par un échec. Mais sur l’insistance de ses petits-enfants Gabriel et surtout Jasmine, inconditionnelle de Lana, les deux femmes se retrouvent sur scène et nait une complicité entre-elles basée sur des valeurs communes. Joan lui propose, même, de poser pour un portait, troublée par sa timidité, ses fêlures, les émotions que cette jeune femme a fait ressurgir, cette fougue joyeuse, exaltation relevant de la pure joie enfantine.

Je termine en dégustant le fameux « Diamonds and rust ».

Je vous engage à redécouvrir la discographie de ces deux grandes dames aux voix fabuleuses et pour les plus courageux à lire la traduction des paroles de leurs chansons que mon anglais scolaire n’avait fait qu’effleurer. Bien sûr, je vous conseille la lecture de ce roman solaire, limpide, cristallin de Marie Cherrel.

Merci aux Editions Les Pérégrines pour ce moment de rêve.

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Commentaire ajouté par Coetseslivres 2024-02-12T15:04:42+01:00
Les Mangeurs de nuit

Une lecture dont je ressors un peu mitigée.

Ce qui pour moi est un point faible sera possiblement pour vous un point fort.

Le thème est intéressant (difficultés d’intégration des Japonais exilés au Canada et celles des amérindiens), mais j’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire, qui est en fait celle de deux personnes, des « exclus » que le destin va faire se croiser.

C’est joliment écrit, mais le style ne me correspond pas vraiment. Les descriptions sont jolies et pleines de poésie, mais un peu trop pour moi.

On va naviguer sur différentes époques jusqu’à ce que tout se rejoigne. On passe de l’une à l’autre sans vraiment de fluidité, de continuité. J’ai par moments été obligée de revenir en arrière, parce que je ne savais plus où j’en étais.

Le départ est un peu long. On a d’abord, à une date inconnue, une femme qui se fait agresser par un ours. Puis on passe en octobre 1945 avec Jack, puis en juillet 1956 avec Hannah, après en 1926 avec Aika, la mère d’Hannah, qui quitte son pays pour un mariage arrangé au Canada. Elle n’a que 17 ans.. Un peu trop dispersé pour moi, d’où ma difficulté à m’attacher aux personnages. Il m’a fallu du temps pour les « apprivoiser ».

Et puis il y a ces légendes, nippones et amérindiennes. C’est un plus mais en même temps ça m’a coupée de l’ambiance.

La lecture n’a pas été désagréable, mais elle ne m’a pas convaincue. Ce roman se lit assez bien, mais la façon d’écrire n’est pas faite pour moi.

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Dédicaces de Marie Charrel
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Editeurs

Plon : 2 livres

Pocket : 2 livres

Fleuve Éditions : 2 livres

Le Livre de Poche : 2 livres

Les Pérégrines : 2 livres

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Druide : 1 livre

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