Nicolas Le Breton

https://lessortilegesdesmots.blogspot.com/2017/09/sherlock-holmes-aux-enfers-de-nicolas.html

J'aime beaucoup l'univers de Sherlock Holmes. Alors forcément, quand j'ai vu ce livre, j'étais contente. Est-ce que ça vaut un Sherlock Holmes? Non. Je n'ai pas retrouvé le Sherlock Holmes qu'on aime tant. J'ai retrouvé une ébauche. Ça ne m'a pas gêné plus que ça.

Concernant l'écriture, l'auteur a une belle plume mais je crois qu'à force de faire de la rétention d'information, on finit par s'y perdre. Je peux me tromper mais par moment, je devais relire une phrase ou reprendre un passage sans être sûre d'avoir bien compris les sous-entendus ou quoique ce soit. Au final, je dirais que par moment c'était quand même confus.

Le sujet que je vais aborder est purement personnel : c'est quand même bien glauque le roman. En même temps, c'est les enfers. À quoi s'attendre d'autres? J'avais un peu zappé. Pour y être on y est. Donc ceux qui n'aiment pas les scènes glauques ou malsaines, passez votre chemin. J'ai eu quand même du mal parfois. Je visualise tout ce que je lis donc pour moi les scènes de ce genre, c'est compliqué.

Concernant l'enquête, elle est faite sans être faite. On va de fausses pistes en fausses pistes. C'est pour ça que Sherlock m'a un peu déçu. En parallèle, il y a l'histoire de Mary a résoudre. J'avoue que cette partie m'a surprise et au final, on s'attarde plus sur ça que sur l'enquête. Peut-être l'une des raisons pour lesquelles je me suis sentie perdu.

Un point fort tout de même : les réflexions sur le comportement humain. On s'en prend plein la tête mais à juste titre. Il y a même un passage qui m'a rappelé la chanson de Soprano "le diable ne s'habille pas en prada". On arrivait même à un discours parfois philosophique. On n'est pas sûr de tout suivre mais on avance.

En bref, une lecture qui m'a déçu par rapport à ce que j'en attendais. Je ne sais pas si je le recommande ou non. Je pense être passé à côté de quelque chose mais quoi?

Voilà une bien étrange lecture. J'ai beaucoup apprécié l'histoire et les personnages, mais le style d'écriture m'a souvent stoppé dans ma lecture. C'est bourré de descriptions complexes et assez lourdes. J'ai malgré tout apprécié ce livre, même si j'ai mis du temps pour le lire.

Sympa, oui, mais pas totalement ...

Un petit prologue nous lance directement dans l'action et le sujet de ce roman. 28 avril 1912, dans le ciel de Paris, Louis Lépine, préfet de police du département de la Seine (de Paris donc, si vous préférez), procède à l'arrestation de la fameuse « bande à Bonnot ». Les bandits meurent au cours de l'opération de police, mais leurs cadavres sont habilement subtilisés et emportés vers d'autres cieux. À partir de cette affaire normalement définitivement réglée, le débrouillard Louis Lépine va devoir sortir de sa retraite quatre ans plus tard, alors qu'une Guerre mondiale fait rage, que les Allemands semblent bien en avance du point de vue technologique, que des sociétés secrètes se font bizarrement jour, que d'éminents savants disparaissent et surtout que les morts reviennent à la vie pour son plus grand déplaisir ! Quel programme, me direz-vous.

Les âmes envolées, c'est ainsi un grand voyage des hauteurs de Paris à celles de l'Himalaya avec des incursions à Evian et au fin fond de l'Inde colonisée.

Tout cela ne pouvait que me donner l'eau à la bouche, surtout que je suis une grande fan du style Steampunk et des zombies. Or là, il y a un gros point noir qui vient assombrir le tableau : les fautes.

Ce premier roman est bourré de coquilles, de fautes, d'erreur de syntaxe et j'en passe. C'est dommage, car cela a complètement gâché ma lecture. Rien que pour ça, j'ai eu un mal fou à en venir à bout.

Une bonne relecture s'impose.

Un deuxième tome mieux écrit que le précédent.

Dans Les Coeurs enchaînés, nous sommes projetés en 1925, dans un monde où l’Allemagne du Kaiser domine. Sa flotte, dotée de puissants überzeppelins, fait régner la terreur. Nous retrouvons une partie des personnages présents dans le premier tome, notamment la truculente baronne Léontine de Laroch, embarquée, avec d’autres rescapés et résistants, sur le dirigeable Fin’Amor du capitaine Armand Boucicaut de Bricqueville. Ils sont poursuivis sans relâche par un obscur sous-lieutenant de l’armée Allemande : Heinrich Himmler. Ce dernier veut plus particulièrement s’approprier les dernières découvertes du professeur Auguste Piccard, recueilli à bord… Au fil de leurs péripéties, les aventuriers du Fin’Amor vont sillonner les airs, des rives de la Méditerranée (principalement l’Égypte) jusqu’à Berlin pendant qu’Albert Einstein se retrouve séquestré dans une Chine en pleine guerre civile…

C'est une suite vraiment originale, il n'y a pas à dire et malgré quelques erreurs de frappe et quelques fautes, l'ensemble est plus fluide que dans le tome précédent.

15 nouvelles imaginaires sur le thème de l'exil et de l'immigration, par des plumes réputées du genre nous apporte ce recueil créé via une cagnotte en ligne communautaire au profit d'une association.

Chaque nouvelle, signée d'un auteur différent apporte à ce livre un souffle d'humanité dans ces récits, parfois ancrés dans notre monde, qui traitent de thèmes difficiles. Chacune de ces nouvelles propose une approche différente de la problématique de l'immigration, tout en la mettant en scènes avec de la SFFF. Le recueil en ressort extrêmement humain, parfois pessimiste, parfois optimiste, mais dans l'ensemble juste et écrit très finement.

J'ai dû hausser les sourcils plus d'une fois durant cette lecture. Je les ai aussi froncés de temps à autres. Et quand j'y repense, je me demande même si j'ai compris l'histoire tant elle m'a semblé... bizarre ? décousue ? capillotractée ?

Je ne m'attarderai pas sur le style d'écriture qui ne m'a pas envoûtée, ni même sur les coquilles et erreurs typographiques qui ont pu gêner ma lecture.

Les personnages ? Holmes n'est qu'une pâle copie de lui-même qui prend forme après une décalcomanie ratée. L'intention était là, mais le résultat est loin d'être satisfaisant. Mary ne m'a pas convaincue, et que dire des êtres surnaturels qui les accompagnent tout au long du roman ? J'ai eu l'impression de me retrouver dans une série humoristique.

L'intrigue ? Comme je l'ai d'emblée souligné, j'ai vite décroché. Je n'arrivais pas à deviner où l'auteur voulait en venir et aujourd'hui encore, je suis perplexe. Comme d'autres lecteurs avant moi, j'ai la sensation d'avoir loupé quelque chose. Est-ce ma faute ? Ai-je manqué d'attention ? Ou bien l'auteur s'est-il égaré ?

J'ai vu Sherlock Holmes sur la couverture, j'ai tergiversé quelques secondes, puis je l'ai acheté...

Et... J'ai du comprendre moins de 50% de ce qui se passait dans ce livre. Holmes n'est pas au mieux de sa forme, Mary non plus, et ça part dan tous les sens, à tel point que je me suis demandé s'il n'y avait pas une lecture ésotérique à faire. C'était intriguant tout de même et plutôt original, mais je n'ai pas accroché.

Cadavre exquis racontant une histoire faussement sinistre et pleine d'humour (noir), avec des éléments fantastiques et même d'horreur. A chaque fin de chapitre, on se demande comment l'auteur suivant va rebondir... Le résultat est très surprenant, mais parfois, et c'est normal, manque aussi de cohérence, notamment du côté des personnages qui changent de caractère ou de façon de parler, chaque auteur n'ayant connaissance que du chapitre précédent le leur... C'est donc à la fois amusant à lire, et frustrant pour cette raison.

Roman jeunesse.

J'avais commencé la lecture par le tome 4.

Là, il s'agit du tome 1. Hugo, Iassine et Laura font la connaissance de Thaïs et de sa lampe, où elle se retrouve prisonnière. Pour l'aider à se libérer, les trois amis vont devoir retrouver toutes les perles de la lampe.

Ils vont être téléportés dans le passé, pendant la seconde guerre mondiale, où ils retrouveront la première perle.

Roman jeunesse. La lampe des siècles. Tome 5. Le nez de l'astronome.

Les trois amis sont repartis dans le passé ; cette fois, ils étaient accompagnés une partie du chemin de Johannes Kepler, astronome. Il est également question de Tycho Brahe et de son nez et de Alexis Bouvard. Nous parlons à nouveau de l'Etrusque qui leur met des batons dans les roues ; c'est lui qui a enfermé Thaïs dans la lampe et qui veut absolument l'empêcher d'en sortir.