Nicolas Arthur

En somme, c’est un roman très prenant. Il est difficile de le lâcher une fois commencé. Même si je n’ai pas adhéré à toutes les pensées du démon, je n’en demeure pas moins séduite par cette histoire aussi sombre que lumineuse. Un roman qui mérite de trouver son lectorat, car il vaut le coup !

Ma chronique : http://april-the-seven.weebly.com/science-fiction/demgel-les-cercles-du-pouvoir-nicolas-arthur

Un roman fantastique à l'univers très complet, qui nous fait vivre une aventure formidable !

Avis complet : http://elo-dit.over-blog.fr/2015/11/demgel-les-cercles-du-pouvoir-nicolas-arthur.html

Je ne serais dans quelle catégorie placer cet ouvrage. Est-ce du Fantastique ? Est-ce une dystopie ? L’auteur nous présente son récit en le plaçant dans le futur. Un futur dans lequel les hommes, toujours en quête de « vie éternelle », se retrouvent à absorber un sérum qui, au fil du temps, transforme leur corps. Ainsi on peut se retrouver avec un nez en forme de truffe de chien (je dois dire que je n’ai pas trop saisi ce concept). On peut croiser des médiums et des sorciers. Et des êtres humains, nouveaux, ayant des capacités extraordinaires, appelés GREATANS. Voilà qui nous place dans un récit dystopique. Mais (il y a un mais), au fil du récit je retrouve des êtres mythiques : des démons et des anges, ce qui fait placer sur la balance, la catégorie du fantastique.

Dès les premières pages j’ai accroché au récit. L’auteur se lance directement dans le vif du sujet et dans l’action. Shalimar, désirant se débarrasser d’un spectre hâtant son appartement, fait appel à son amie Xian. Ensemble, elles tenteront de pratiquer la cérémonie de l’ange-gardien, qui va mal tourner. Résultat : ce sera un démon du nom d’Hatred qui répondra et qui se retrouvera lié à Shalimar. Et là surprise ! Alors que je m’attendais à suivre le récit au travers du regard de Shalimar, je me retrouve avec Hatred ! Je pensais que l’intrigue ne tournerait qu’autour d’eux puisque Hatred connaît la jeune femme (ou l’a connu de son vivant alors qu’il était humain) mais, elle ne voit pas qui il peut être ! J’avoue que ça m’a un peu perturbé mais au final, l’auteur m’a surpris et c’est formidable de plonger dans l’inconnu et les surprises. Car, l’auteur ne nous ménage pas en rebondissements. Hatred est un démon mais il a encore une âme (d’où le surnom de Demgel). Il est haï autant qu'il est aimé !

Les personnages sont attachants. Hatred va se retrouver entouré d’amis qui, eux, le reconnaitront ! Dom, Xian, Kylie, Jessica, Gaya etc… Quant à Shalimar, elle peut être forte énervante. Franchement agaçante ! Elle met le temps avant de se réveiller !!

Le seul reproche que j’aurais à faire sur ce livre, c’est bête, je sais, mais c’est le surnom de « peluche » donné par l’auteur lorsqu’il fait parler son personnage, par exemple. J’avoue que je n’imagine pas du tout Hatred en peluche ! Enfin, j’aurais apprécié avoir les notifications en bas de page, c’est plus pratique lors de la lecture.

Demgel est un ouvrage surprenant. La bataille qui fait rage n’est pas seulement du point de vue terrestre (avec l’humanité à sauver) mais aussi à l’intérieur du démon (qui au final n’a de démoniaque que l’apparence). L’auteur a réussi grâce à sa plume précise, son imagination et son travail de développement de ce monde crée de toutes pièces, à écrire un livre sortant de l’ordinaire !

Ce fut une bonne lecture ! Ouvrage à conseiller pour les amateurs de l’imaginaire !

Avec un début difficile qui m'a paru un peu décousu, j'ai finit par m'accrocher à Nila, que j'ai trouvé très mystérieuse et qui fût un peu mon point d'ancrage.

J'ai eu beaucoup plus de mal avec Indy qui pour moi était insupportable. Cat, en revanche à été un personnage que j'ai beaucoup apprécié. Et puis, le héros, Rick, qui possède une palette d'émotions, de sentiments, qui finalement peut parfois se relevé énervante mais aussi touchant. Un personnage qui nous en fait voir de toutes les couleurs, mais avec un cœur énorme et une humanité qu'il faudrait attribuer à chacun.

L'histoire est un subtile mélange de super-héros, de divinité et de science-fiction, qui s'accorde au final très bien. Il faut dire qu'on ne s’ennuie pas le moins du monde ! Beaucoup de combat, de rebondissement avec un fin très touchante.

Appréciation générale : J’ai dévoré ce livre en une journée. J’ai donc été totalement séduite par le monde de Nicolas Arthur. Si je devais réduire cette chronique à un seul mot, je dirai : surprise !

Ce livre m’a fait aller de surprise en surprise jusqu’à la fin.

J’ai tout d’abord éprouvé une certaine perplexité. En lisant le prologue, j’étais partagée. Ange, démon, nouvelles créatures... Du fantastique mais futuriste... ? Je craignais d’être immergée dans le domaine de la science fiction malgré la mention « roman fantastique ». En fait, je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre. Et c’est là que fut ma première grande surprise ! Je lu les premières pages et je me découvris prisonnière de l’histoire dans un style qui était totalement novateur pour moi.

Nicolas Arthur nous offre plusieurs styles de fantastique en les mariant à la perfection. Et je ne m’attendais vraiment pas à cela ! (Oui, je sais, je me répète, mais au moins prenez-vous conscience de mon ébahissement.)

L’histoire démarre en même temps que l’action. Nous nous retrouvons immédiatement plongés au cœur de cet incroyable monde qui regorge d’originalités « concevables ». J’entends par là qu’en parallèle de notre fantastique habituel (rangé dans la catégorie de l’imaginaire), Nicolas Arthur nous fait découvrir un futur qui pourrait être le nôtre en sortant des sentiers battus sur bien des points (le devenir de l’homme, l’amour, le paradis et l’enfer...).

Ce que j’ai préféré :

Plusieurs choses en réalité. Comme je l’ai dit plus haut, j’ai adoré le monde créé par l’auteur, sa plume fluide, riche en vocabulaire et agréable, et le puit de connaissances qu’on y trouve. Sciences, sorcellerie, économie, finances (là d’ailleurs, j’ai souri à plusieurs reprises connaissant l’auteur...), Nicolas Arthur nous apporte une richesse de savoir absolument remarquable. Pourquoi un adjectif si fort ? Car selon moi, il est très difficile d’apporter un côté pédagogique dans le domaine du fantastique.

J’ai adoré la formidable imagination de l’auteur. Ainsi que sa narration. Nous ne restons notamment pas dans la tête de la jeune femme. (Nouvelle surprise.)

J’ai également aimé l’originalité dont il a fait preuve en général (par exemple avec la création des noms.) Mais pas seulement ! J’ai trouvé une écriture chez un auteur masculin à laquelle je ne m’attendais pas. Une délicatesse, une beauté et une sensibilité qu’on ne trouve en principe que chez les auteurs féminins. Lorsque l’on se plonge dans un livre, on a rapidement tendance à savoir si on a affaire à un homme derrière cette plume, ou a une femme. Nicolas Arthur a totalement bouleversé mes certitudes en la matière. Il décrit les sentiments humains avec une passion et une précision magiques. Et tout en touchant la corde sensible de la féminité, il nous offre des scènes de combats et une dose de virilité grandioses.

Mais mon plus grand coup de cœur c’est pour Demgel. Quel personnage ! Quelle beauté d’âme !

Autre appréciation : L’héroïne m’a franchement énervée. Je ne veux pas spoiler mais un amour magnifique comme celui de ce démon (dont je suis tombée moi-même sous le charme), un dévouement comme le sien, une passion si forte... Et ne pas se souvenir d’un homme qui vous a aimé à ce point... J’avais envie de l’étrangler, de la secouer comme un prunier. Et alors son indécision par la suite... !

Mais je ne range pas ce commentaire dans la case « points négatifs ». Pourquoi ? Sans la personnalité de cette jeune femme, Demgel ne serait pas ce qu’il est. Et je vous assure que c’est un personnage tellement fascinant (son côté sombre comme son côté lumineux) que pour rien au monde je ne voudrai qu’il en soit autrement.

Points négatifs : j’aurai juste aimé plus de détails à la fin sur le petit Liam.

Appréciation générale : Je pense que de tous les livres que j’ai lu des éditions « La Plume et le Parchemin » c’est celui qui m’a le plus bouleversée. Sur les derniers chapitres j’ai eu d’abord des frissons, puis après avoir senti cette étrange sensation qui précède les pleurs, j’ai versé une larme. Non, non, ce n’est pas une image. J’en suis étonnée et complètement retournée… J’ai réellement pleuré. (Et je n’ai pas la larmette facile en lecture.)

Nicolas Arthur a une nouvelle fois créé un monde onirique, quelque peu effrayant, mais tellement fascinant. Je trouve que cet auteur a un don extraordinaire pour donner au lecteur le sentiment que tout ceci est bien réel. Un nouveau mélange de plusieurs genres qui se marient parfaitement.

J’ai dévoré ce livre ( il est… 3 heures du matin et ça était pour moi impossible de poser ce livre.) Chaque chapitre m’emmenait à vouloir connaître la suite. J’avais besoin d’en apprendre davantage.

Bien que le début peut semblait un peu fouillu et court pour poser « le décor » du livre si je puis dire, cela ne m’a absolument pas dérangée. Je me suis immédiatement plongée dans cette nouvelle aventure. D’autant que la plume de Nicolas Arthur est vraiment légère et agréable.

Quand ma mère (qui l’a lu avant moi) m’a dit : « Mon dieu, quelle histoire fantasmagorique ! Cet amour platonique… Je n’en reviens pas qu’un homme ait pu écrire avec une telle profondeur. » , j’étais surprise de son engouement, car ma mère est encore plus compliquée que je le suis.

Ce que j’ai préféré : Les scènes de combat sont nombreuses et grandioses, l’histoire est riche en rebondissements et bon sang, le personnage principal ! Une pure merveille ! L’aboutissement de l’évolution humaine. Si j’avais été complètement séduite par Demgel ( le héros du premier livre de Nicolas Arthur intitulé « Demgel ») Rick (Fenrick) m’a laissé abasourdie par la profondeur de l’être à la fois complexe et simple qu’il est. L’amour que porte en lui cet homme est… indescriptible. Pour tout vous dire, je peine à trouver mes mots tant je suis ébranlé par la richesse et la magnificience (avec ses défauts) du protagoniste de l’histoire.

Encore une fois l’auteur m’a surpris par sa sensibilité. Je n’ai jamais lu une telle force descriptive des sentiments, même chez des auteurs féminins.

Points négatifs : je n’en ai pas… mais j’avoue tomber toujours amoureuse du héros tandis que leurs muses me donnent envie de les secouer pour les sortir de leur léthargie.

En conclusion : un merveilleux voyage en quête de découverte des émotions de l’humanité.

Je n'aime pas ne pas aimer mes lectures et je leur cherche toujours le petit truc qui peut me plaire. Mais là décidément, je n'ai pas accroché du tout.

Je n'ai pas du tout adhéré à l'écriture. C'est très brouillon, fouillis, on survole les scènes sans s'y "poser" réellement (désolée, j'ai du mal à l'expliquer mieux que ça) et du coup on s'attache peu à l'action.

L'histoire comme les personnages ressemblent à un concentré de clichés piochés dans les mangas et les séries B, aussi grandiloquents que manichéens.

Le personnage masculin a un côté "chevalier-blanc" tellement prononcé que ça frôle le ridicule et il oscille perpétuellement entre mièvrerie et violence exacerbées. Je ne me suis pas du tout attachée à lui et je l'ai trouvé très énervant. Un insupportable Gary Stu. Les personnages secondaires sont des faire-valoir en carton-pâte, le duo de la petite fille et de sa mère m'a semblé particulièrement téléphoné et ennuyeux.

Une lecture captivante, avec des personnages attachants, intéressants et dont les pouvoirs sont intrigants. Ces chimères sont décidément géniales.

Un livre qui met en avant de nombreux problèmes concernant l'humain (tels que la peur de la différence, le fait de se cacher aux yeux des autres, la soif de pouvoir, ...) mais aussi l'amour, la compassion, le sacrifice, ...

Une lecture que j'ai beaucoup aimé, avec une évolution des personnages et de leurs histoires qui m'a beaucoup plu.

Nicolas Arthur a une plume très précise, détaillée, qui nous permet de visualiser chaque personnage et de créer son monde dans notre esprit.

Ma Chronique : http://www.bookinetcie.com/pages/ma-bibliotheque/editions-la-plume-et-le-parchemin/nicolas-arthur/les-heritiers-du-chaos-nicolas-arthur.html

Je n'avais pas vraiment envie de lire ce livre mais mon mari l'avait acheté et je me suis laissée tentée ... c'est une belle surprise ! J'ai vraiment beaucoup aimé et je le recommande bien volontiers !

Pour un livre qui s'efforce de montrer que le monde n'est pas tout blanc ou tout noir, je trouve les personnages vaaaachement dichotomiques.

M'enfin, ça restait quand même une lecture assez agréable, originale dans le fond, par contre les dialogues ne faisaient vraiment pas naturels je trouve Spoiler(cliquez pour révéler)ajouté au fait que je n'arrive toujours pas à comprendre comment Shalimar ne soit pas au courant du décès d'Evan alors que c'est le père de son fils ???? .

Bref, sinon j'ai bien aimé l'univers dans lequel évolue les personnages, du coup je suis ni satisfaite ni totalement déçue de ma lecture.