Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Né à Dunkerque en 1980, Lodewijk Allaert y a grandi. Il passe le plus clair de son temps sur la plage située à quelques mètres de sa maison d’enfance. Il y apprend à aimer le vent, les embruns, la mer du Nord et ses humeurs. Il pratique le kitesurf, le speed sail, la voile, le kayak, le bodyboard ; mais c’est avec le surf que sa passion pour l’eau et la glisse se cristallise. Une passion qui l’amène, très jeune encore, à surfer de nombreuses vagues d’Europe, des plages de Cornouailles à l’île de São Miguel, aux Açores. Il fréquente notamment la côte Aquitaine, berceau du surf européen, et se rend également sur le littoral portugais à une époque où ce sport y est encore confidentiel. Parmi quelques hippies et surfeurs marginaux, il découvre à Arrifana, Sagres ou Ericeira plus qu’une discipline : un état d’esprit. Encouragé par les voyages de son enfance, il part bac en poche tenter l’aventure aux Pays-Bas. Il y reste quatre ans, alternant études à l’université de Leyde et petits boulots. Diplômé en néerlandistique et en français langue étrangère, il quitte la Hollande et part enseigner en Hongrie. À l’Est, il découvre la Puszta magyare et sa mélancolie, la Transylvanie et sa douce folie, les Balkans et leur foutoir identitaire.
En 2007, Lodewijk Allaert se lance avec Kristel Michoux dans une expédition en kayak sur le Danube et la mer Noire. En cent dix jours et 2 500 km environ, le couple relie Budapest à Istanbul à coups de pagaie. Dans le cadre de cette expédition, il donne des conférences en Hongrie et en France et collabore avec les médias dans le but de faire découvrir cette autre Europe, tout en évoquant les problématiques liées à la pollution du fleuve. Fort de cette expérience, il commence la rédaction d’un manuscrit qu’il finalisera au cours de l’année 2012 sous le titre Rivages de l’Est, En kayak du Danube au Bosphore.
Rentré en 2008 de ce voyage au long cours, Lodewijk Allaert repart, pour le Mexique cette fois. Alors qu’il est établi à Huatulco, situé dans l’État d’Oaxaca sur une des côtes d’Amérique centrale les plus exposées à la longue houle du Pacifique, la fièvre du surf le reprend. Dans l’eau, face à un relief escarpé et à une nature exubérante, croisant tortues, dauphins, baleines et même parfois requins, il s’immerge en attendant la vague, dans une nouvelle dimension de la glisse océane. Fasciné par l’incroyable richesse culturelle et géographique qu’il rencontre, il partage son temps entre l’enseignement du français et la découverte de ce pays. Il gravit quelques-uns des volcans de la cordillère néovolcanique au Mexique et au Guatemala : le Paricutín, le Nevado de Colima, le Tacaná, et le plus haut d’entre tous le pic d’Orizaba. Durant six mois, il sillonne le Mexique au volant d’un antique combi VW, cherchant l’identité d’un pays auprès des cultures amérindiennes, sur la route des Pueblos Magicos. Il part à la rencontre des révolutionnaires mayas dans la jungle du Chiapas, marche sur les traces d’Antonin Artaud dans la Barranca del Cobre, ou se rend à cheval aux portes du désert de Chihuahua sur les terres sacrées des Huichols.
Après une première tentative à l’été 2012, Lodewijk Allaert retourne en avril 2013, avec sa compagne, en Europe de l’Est. En quatre mois, le couple accomplit à pied la traversée intégrale de l’arc des Carpates depuis Bratislava, en Slovaquie, jusqu’au Danube, à l’extrémité méridionale de la Roumanie.
Biographie
Né à Dunkerque en 1980, Lodewijk Allaert y a grandi. Il passe le plus clair de son temps sur la plage située à quelques mètres de sa maison d’enfance. Il y apprend à aimer le vent, les embruns, la mer du Nord et ses humeurs. Il pratique le kitesurf, le speed sail, la voile, le kayak, le bodyboard ; mais c’est avec le surf que sa passion pour l’eau et la glisse se cristallise. Une passion qui l’amène, très jeune encore, à surfer de nombreuses vagues d’Europe, des plages de Cornouailles à l’île de São Miguel, aux Açores. Il fréquente notamment la côte Aquitaine, berceau du surf européen, et se rend également sur le littoral portugais à une époque où ce sport y est encore confidentiel. Parmi quelques hippies et surfeurs marginaux, il découvre à Arrifana, Sagres ou Ericeira plus qu’une discipline : un état d’esprit. Encouragé par les voyages de son enfance, il part bac en poche tenter l’aventure aux Pays-Bas. Il y reste quatre ans, alternant études à l’université de Leyde et petits boulots. Diplômé en néerlandistique et en français langue étrangère, il quitte la Hollande et part enseigner en Hongrie. À l’Est, il découvre la Puszta magyare et sa mélancolie, la Transylvanie et sa douce folie, les Balkans et leur foutoir identitaire.
En 2007, Lodewijk Allaert se lance avec Kristel Michoux dans une expédition en kayak sur le Danube et la mer Noire. En cent dix jours et 2 500 km environ, le couple relie Budapest à Istanbul à coups de pagaie. Dans le cadre de cette expédition, il donne des conférences en Hongrie et en France et collabore avec les médias dans le but de faire découvrir cette autre Europe, tout en évoquant les problématiques liées à la pollution du fleuve. Fort de cette expérience, il commence la rédaction d’un manuscrit qu’il finalisera au cours de l’année 2012 sous le titre Rivages de l’Est, En kayak du Danube au Bosphore.
Rentré en 2008 de ce voyage au long cours, Lodewijk Allaert repart, pour le Mexique cette fois. Alors qu’il est établi à Huatulco, situé dans l’État d’Oaxaca sur une des côtes d’Amérique centrale les plus exposées à la longue houle du Pacifique, la fièvre du surf le reprend. Dans l’eau, face à un relief escarpé et à une nature exubérante, croisant tortues, dauphins, baleines et même parfois requins, il s’immerge en attendant la vague, dans une nouvelle dimension de la glisse océane. Fasciné par l’incroyable richesse culturelle et géographique qu’il rencontre, il partage son temps entre l’enseignement du français et la découverte de ce pays. Il gravit quelques-uns des volcans de la cordillère néovolcanique au Mexique et au Guatemala : le Paricutín, le Nevado de Colima, le Tacaná, et le plus haut d’entre tous le pic d’Orizaba. Durant six mois, il sillonne le Mexique au volant d’un antique combi VW, cherchant l’identité d’un pays auprès des cultures amérindiennes, sur la route des Pueblos Magicos. Il part à la rencontre des révolutionnaires mayas dans la jungle du Chiapas, marche sur les traces d’Antonin Artaud dans la Barranca del Cobre, ou se rend à cheval aux portes du désert de Chihuahua sur les terres sacrées des Huichols.
Après une première tentative à l’été 2012, Lodewijk Allaert retourne en avril 2013, avec sa compagne, en Europe de l’Est. En quatre mois, le couple accomplit à pied la traversée intégrale de l’arc des Carpates depuis Bratislava, en Slovaquie, jusqu’au Danube, à l’extrémité méridionale de la Roumanie.
Afficher en entier