Pierre Alary
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Note moyenne : 7.37/10Nombre d'évaluations : 94
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Lu en 2020. Cette bande-dessinée de 122 pages est une libre adaptation du roman de Herman Melville (que je n'ai pas lu). Une iconographie soignée et très réaliste. Un bel album de qualité.
Un récit d'une portée philosophique probante, qui parle de vengeance, de folie, d'orgueil, d'amitié, de sagesse et de sacrifice. J'ai particulièrement été touchée par le lien qui unit Ishmaël et Queequeg.
(Dès 12 ans)
Afficher en entierCette bande dessinée nous plonge dans le quotidien des Irlandais catholiques et dans les rouages de l'IRA. Cette une histoire forte et dure mais on ne peut décrocher avant l'épilogue.
Afficher en entierUn western efficace sur la naissance de l'état de Californie. Un trait aigu, des couleurs dorées et l'histoire de Zorro, personnage emblématique de ce pays mais tout aussi connu internationalement. Un bon moment !
Afficher en entierUne belle adaptation, à découvrir !
Afficher en entierJe ne connais pas le texte original mais je me suis régalée avec cette version BD.
Vivement la suite !
Afficher en entierLa mise en BD du grand roman de la littérature américaine : Autant en emporte le vent. Dangereux exercice... mais ici, le pari est réussi. Ce n'est pas un copier-coller du livre et c'est un vrai travail de réécriture. Le dessin est assez classique (je pense notamment au physique de Rhett Butler) mais très coloré. Les personnages sont intéressants d'un point de vue physique et psychologique. Melanie a une personnalité un peu moins fade que dans le roman !
Afficher en entierAutant en emporte le vent étant une de mes histoires préférées, je ne pouvais pas passer à côté de cette adaptation en bande dessinée. J'ai du voir le film des dizaines de fois durant mon adolescence. C'était presque une tradition de Noêl en famille. Culte, grandiose, un monument du cinéma ! J'ai lu le roman il y a quelques années et j'ai adoré !
Tout le monde connaît cette histoire sur fond de Guerre de Sécession, je vous épargne le résumé et vous parle un peu des personnages.
Scarlett est un des personnages les plus marquants de la littérature. Qu'on l'aime ou qu'on la déteste, elle ne laisse personne indifférent. Margaret a pris un risque (qui s'avérera payant) en faisant de l'héroïne de son roman, un personnage égocentrique, capricieux et antipathique. Mais Scarlett va beaucoup évoluer. C'est aussi une femme forte et déterminée qui va devoir apprendre à se battre et à lutter pour elle et les siens. Rien ne peut la détourner du but qu'elle s'est fixé. C'est une survivante, une battante, une passionnée et une féministe avant l'heure. Un personnage bien plus complexe qu'il n'y paraît que moi j'adore !
Reth Butler, le forceur de blocus à la réputation sulfureuse, qui prend plaisir à scandaliser la bonne société sudiste. C'est un être cynique, opportuniste et d'une grande arrogance.
Mélanie incarne la douceur et la bienveillance. Elle est un peu trop mièvre à mon goût. Et Ashley m'insupporte. Il est d'un mou ! Il voit son monde s'écrouler mais ne réagit pas et passe son temps à s'appitoyer sur son sort. J'ai toujours eu envie de le secouer.
Cette adaptation m'a surprise. Elle est clairement basée sur le film tout en y introduisant des évènements qui figurent uniquement dans le roman. Un mélange qui ne m'a pas déplu mais que j'ai trouvé curieux. Je pense cependant que j'aurai préféré, que ça soit l'un ou l'autre.
Le graphisme est superbe. Les personnages ressemblent plus au moins aux acteurs du film et les décors également. Les couleurs chaudes siéent très bien à l'atmosphère sudiste. Parfait pour cet automne.
L'objet-livre est magnifique ! L'habillage en toile et les dorures lui apportent une classe folle.
Une adaptation réussie qui rend justice au film et au roman. J'ai beaucoup apprécié ma lecture et bien évidemment je vous la recommande. C'est un excellent moyen de découvrir ou redécouvrir ce grand classique. Il me tarde de découvrir le second tome !
https://www.facebook.com/lecturesnoirespournuitsblanches
Afficher en entierGone with the wind ! Cette bd me faisait de l'oeil mais j'avais peur d'être déçue, et finalement on me l'a offerte. le problème était que le film avait indubitablement ancré en moi des visages charismatiques, comment s'en détacher ? Au final, après plusieurs pages, je suis entrée dans l'univers proposé, happée de nouveau par l'histoire, par la métamorphose de cette enfant capricieuse et égoïste dans la tourmente de la guerre de Sécession. Bon, clairement je déteste toujours ce grand mou d'Ashley. Un petit rappel de l'histoire ? Scarlett O'Hara mène une vie confortable à Tara, au sud des États-Unis. La jeune femme est entourée d'une cour de prétendants mais elle n'a d'yeux que pour Ashley Wilkes, pourtant destiné à se marier avec Mélanie, sa cousine. Arrive dans sa vie le charismatique Rhett Butler, un homme de pouvoir, aussi séduisant que sans moralité. À ces amours pleines de remous répondront les tumultes de la guerre de Sécessions, c'est alors que confrontée au pire s'opèrera la métamorphose de Scarlett, en jeune femme forte, une combattante, émancipée.
Je trouve que la bande dessinée est superbe d'un point de vue esthétique, le jeu de couleurs est non seulement raffiné (il n'y a qu'à regarder les vignettes que je vous ai mises sur la publi) mais il parvient au final à nous faire oublier le film, tout en y faisant des rappels discrets à travers les moues de l'inénarrable Scarlett notamment, ou le piquant des remarques de Rhett. Les personnages sont plus modernes et offrent un nouveau visage de ce classique controversé, d'ailleurs si cela vous intéresse je vous conseille l'analyse de @cinemaniaque.
Pour rappel, l'autrice du roman originel, Margaret Mitchell écrit ce roman alors qu'elle est alitée, s'inspirant de l'histoire de sa grand-mère et en 1936 Gone with the wind obtient le prix Pulitzer (et ce devant William Faulkner !). Josette Chicheportiche, qui vient de le retraduire pour les éditions Gallmeister : « Scarlett m'a énormément séduite. C'est une femme en avance sur son temps : elle veut travailler, se fait sa place toute seule, refuse la maternité et, quand elle a finalement des enfants, s'en occupe peu. »
📚 Chronique et mise en scène photographique à retrouver sur mon Instagram @harper.a.lu.chat 📚
Afficher en entierPas hyper fan du style graphique, mais j'ai bien aimé cette adaptation. J'aime beaucoup le personnage de Scarlett, une femme forte et de caractère. Elle n'a certes pas que des bons côtés, et sait se montrer égocentrique au possible. Pour autant, je me suis tout de même attachée à elle.
Afficher en entierLu en septembre dernier (parmi les BD reçues à la rentrée au CDI du lycée).
J'ai bien apprécié cette adaptation du roman de Margaret Mitchell, d'un point de vue autant graphique que littéraire.
J'attends la suite avec une certaine impatience !
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Biographie
Pierre Alary est né le 1er mai 1970. En 1991, il intègre la prestigieuse école graphique des Gobelins à Paris. Il y reçoit un enseignement principalement tourné vers l’animation et sitôt son diplôme en poche, il est embauché aux studios Disney de Montreuil. Il y passera dix ans comme animateur sur « Tarzan », « Kuzco », « le Livre de la Jungle 2 », et divers courts-métrages avant de se consacrer essentiellement à la bande dessinée. Sa première série « Griffin Dark » sort aux Éditions Vents d’Ouest sur un scénario de Crisse. Puis, en 2001, paraît le premier tome de la série « Les Échaudeurs des Ténèbres », chez Soleil. L’aventure BD continue avec ce nouvel album « Belladone » scénarisée par Ange.
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