Éric Lambert

On a droit à un saut dans le temps et tout n'est pas vraiment rose a Camelott ! Arthur est assailli de tout les côtés :sentimentalement il soupçonne Guenievre et Lancelot d'être amants, politiquement le nouvel évêque lui cherche des noises et avec tout ça Ahes et son plan de vengeance progresse ! Je trouve que pour une BD portant le nom de Merlin on le voit plus trop et quand il apparaît enfin il a l'air dépassé, hésitant et loin de la stature qu'on aimerait lui attribuer ! Je me répète mais graphiquement c'est toujours super rien à dire ... La conclusion n'en est pas vraiment une car il y a plusieurs cycles qui suivent va juste falloir que je m'y retrouve la dedans ahah !

Merci aux Éditions Ex Aequo pour leur confiance et parce qu’ils continuent à me faire confiance en me proposant leurs romans. 

Au XVIIe siècle, suite à la mort de son père et de son grand-père, mort dans une attaque armée, Alexandre va mener l’enquête pour comprendre pourquoi on a voulu assassiner les membres de sa famille. Mais sachant qu’il ne peut rien seul, il va faire équipe avec certains de ses proches pour tenter de résoudre ce mystère. Un groupe hétéroclite où chaque membre va réussir à prouver ses capacités. 

Très bonne découverte que cette lecture ! J’ai vraiment passé un bon moment en compagnie d’Alexandre et de toute son équipe. Le roman commence par le souvenir de la disparition du père et grand-père d’Alexandre. Le tout est raconté par Blaise, l’intendant du domaine qui a élevé avec sa femme, Marie, ce jeune homme ! Suite à cette révélation, notre héros va mettre tout en place pour tenter de découvrir la vérité et savoir pourquoi sa famille a été attaquée et assassinée. J’ai beaucoup aimé le déroulement de cette enquête et la manière dont nos héros ont créé leur confrérie pour pouvoir la résoudre. Chacun a son propre rôle et rien n’aurait été possible sans l’aide de tous.

Réflexion, énigmes et actions sont au centre de ce roman de cape et d’épée. L’histoire est prenante et on a envie de connaître le fin mot de l’histoire. Tout comme Alexandre, on a hâte de connaître le coupable et ce qu’il subira comme châtiments pour avoir causé la perte de sa famille. 

Alexandre est un jeune orphelin qui montre de grande qualité de cœur et de réflexion. J’ai beaucoup aimé le suivre et le voir évoluer au fil des pages. Ainsi que l’affection qu’il porte à chaque membre de la confrérie.

J’ai beaucoup aimé le côté bienveillant et les liens qui unissent les différents personnages. 

En bref, une histoire fort agréable avec un soupçon de vengeance. Le tout écrit avec une plume fluide et agréable qui nous donne envie de lire un second tome consacré à ces personnages et cette belle confrérie. 

Après ses deux romans historiques, La confrérie de l’Échelle et L’Écu à la mèche longue, qui figurent sur Book.Node, Eric Lambert nous entraîne au début du XXe siècle… Est-ce à La Belle Époque que j’aime particulièrement ? Presque ! Juste après, lorsqu’elle n’est plus belle du tout, l’époque, effroyablement endeuillée par la Grande Guerre. Nous sommes en 1919 et ce sont deux des personnages principaux de cette longue nouvelle qui reviennent des tranchées, chacun y ayant perdu un bras. Tous deux appartiennent à la Préfecture de Police de Paris et vont enquêter sur une bien étrange affaire…

En effet, nous sommes aussi au temps du tristement célèbre Désiré Landru. Mais doit-on lui imputer la disparition inexpliquée de trois femmes qui ne répondent guère au profil de ses victimes ? Et sinon, à qui les attribuer ?

Un titre extraordinaire : L’Empailleur de la rue Dieu (serait-ce lui le coupable ?) et une couverture qui ne l’est pas moins (toutes sortes d’animaux, promis à la vie éternelle grâce au talent de cet inquiétant taxidermiste qui demeure… rue Dieu !)

Je m’arrête là ! Vous l’aurez compris : j’ai aimé cette nouvelle ! Beaucoup ! Vous ai-je donné l’envie d’en savoir davantage, de la lire peut-être ? Je l’espère !

Une belle introduction, des dessins intéressants, à la fois justes et détaillés et un prologue qui laisse de la place à bien d'autres aventures.

Aussi "bon" qu'il puisse être, je trouve que Blaise est trop restrictif comme maître vu le potentiel de Merlin.

Mouais, ça prend une "belle tournure" tout ça. Mais connaissant la légende, ça ne durera pas.

Spoiler(cliquez pour révéler)Décidément, l'inceste est assez courante dans les légendes arthuriennes, qu'elles soient d'origines ou fictives.

Passionnée par l'histoire et par la croisade des albigeois, j'ai beaucoup apprécié cette BD. Elle est beaucoup plus fidèle aux réels évènements que d'autres comme "Je suis cathare". Je ne sais pas quel est le degré de compréhension pour ceux qui découvrent cette triste période mais je pense que le récit évoque le principal. Les dessins sont bien réalisés rendant le siège de Bézier très prenant.

D'un point de vue historique, c'est un excellent tome : on y retrouve assez fidèlement les événements de Carcassonne, de Bram, de Lavaur puis de Muret. Le reste du scénario est assez faiblard, un peu expédié, comme un prétexte pour traverser les évènements de l'époque.

Bonjour mes amis

Je viens de terminer un excellent policier de mon ami Eric Lambert, l'Empailleur de la rue Dieu !

J'ai retrouvé avec plaisir la plume de l'auteur, que j'aime beaucoup, j'avais déjà remarqué qu'il avait de l'humour, et là je ne me suis pas trompée !

L'inspecteur Théodore Méry, personnage attachant, malgré son handicap, a beaucoup d'humour et les dialogues sont cocasses !

Nous sommes en 1919, et Landru fait la une des journaux !

Beaucoup de femmes disparaissent, mais certaines d'entre elles, titille Théodore, qui pense que ce n'est Landru, pourquoi ? Quelle différence ?

J'ai appris ce que c'était un empailleur, en lisant cet excellent policier, et moi qui suis l'auteur, je continuerai car sa plume est excellente !

Je mets 5 étoiles