Colette

J'ai passé un très bon moment en lisant ces petites nouvelles. J'ai trouvé très fin de la part de Colette de se mettre à la place de ses animaux et, notamment de se décrire elle-même au travers de leur regard !

Petite lecture assez rapide, j'ai beaucoup aimé le style d'écriture de l'auteure avec son côté très poétique. J'ai particulièrement apprécié la nouvelle "Celle qui en revient", courte mais très touchante.

C'est bien écrit. C'est très bien écrit. Et il n'y a manifestement aucun problème à ne pas avoir lu le début de l'histoire, elle n'est d'aucune sorte d'incidence. Des personnages subtils, relativement rapide à lire. Ca manque un peu d'épique à mon goût mais ça, ça faisait partie du deal ^^

J'ai beaucoup apprécié cette œuvre de Colette, qui est si délicate et romantique. Un véritable roman d'amour de vacances. Je le recommande vivement !

En camarades, c'est l'amour mis à l'épreuve ! Un couple s'amuse à tenter leur cœur en simulant une séparation, mais, ce qu'il ne sait pas c'est que le cœur est trop fragile, face aux tentations, il peut céder ! Si Max flirte, à cette occasion, en toute liberté avec Marthe, la copine de sa femme, Franchette, par contre s'occupe avec un jeune qu'elle nomme "le Gosse", mais quand le danger de cette liberté va commencer à s'annoncer, c'est la jalousie qui se pointe à l'horizon...

Une petite pièce légère et amusante avec laquelle on passe un infime moment agréable!

J’ai beaucoup aimé sido et l’écriture de Colette, mais j’ai eu du mal avec les vrilles de la vignes..

Premier livre de Colette... Il faut le prendre dans son contexte, en 1920 la vision homme-femme était très différente d'aujourd'hui... Mais du coup ça rend la lecture assez difficile je trouve, en plus de beaucoup de descriptions "pompeuses" (d'aucun dirait "poétiques", mais ça dépend des goût).

Dans ce contexte, le personnage principal masculin de l'histoire est très vite insuportable, une vraie envie de lui donner des claques à des moments... A l'inverse, le personnage féminin est à l'opposition adorable, on est plus facilement en empathie pour elle.

J'ai trouvé la fin décevante, et moi qui ne craint pas les histoires contemplatives, celle-ci m'a laissé avec une émotion amer.

Très belle découverte !

Je ne connaissais absolument pas Colette mais dans le cadre de mes études, j'ai été amené à lire une de ces œuvres. Bien que j'ai eu énormément de mal avec la plume, j'ai beaucoup aimé les thèmes et le défilé de l'histoire.

C'est une autofiction donc on retrouve beaucoup d'éléments d'inspirations de la propre vie de Colette dans son personnage féminin Renée Nérée mais également dans les personnages qui l'entourent. J'ai aimé en apprendre plus sur Renée Nérée et la découvrir au fil des pages. C'est une femme torturée en amour qui tente, dans un siècle ou l'indépendance des femmes est mal vu, de s'émanciper. Elle a des idées novatrices pour l'époque et c'est très intéressant de voir comment ces femmes ont réussi à vivre dans le contexte de leur époque.

C'est une "sorte de roman" dans lequel on suit la déambulation de Renée Nérée dans son quotidien. Que ça soit pour son travail, ses pensées, ses réflexions ou ses voyages. Elle doute, elle a peur, elle est courageuse et se questionne.

C'est une très belle œuvre qui permet de découvrir et de s'ouvrir à des perspectives différentes.

Même si la plume m'a dérangée, j'ai passé un très bon moment !

Une œuvre pleine de sérénité, de descriptions magnifiques, de laquelle transpire l'amour et le respect qu'a l'auteur pour la vie animale.

Alain et Camille se marient. Très vite, la jeune femme est jalouse de l'amour que porte son mari sur sa chatte, Saha ... Deux rivales dans une même maison : l'épouse et l'animal domestique ! Jusqu'au drame, où Alain devra faire un choix .... C'est ridicule ! Intéressant pour la psychologie des personnages mais n'empêche c'est ridicule ! Les dialogues sont d'une tristesse ... c'est plat, les personnages manquent cruellement d'identité ! Un livre court qui m'a profondément ennuyée. Quant au message ... euh ... Non merci ! Tout va bien dans ma tête ... Inutile de vouloir m'imposer une culture "otherkin" !