Armel Job
Auteur
Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 6.83/10Nombre d'évaluations : 120
0 Citations 77 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
La vie est faite de petits riens qui l’embellissent. Des hommes et des femmes ont, à un moment, vécu quelque chose qui sort de l’ordinaire. Des petits instants volés au cours d’une vie. Des petits instants de découverte, de bonheur, de questionnement. Ces questions sont des aventures, de l’inattendu, des secrets profondément enfouis au plus profond de l’oubli. Pourquoi? Comment? Depuis quand? Qui suis-je? Telles sont les questions que se posent les personnages de ce recueil de nouvelles. Obtiendront-ils des réponses?
Des hommes et des femmes qui ressemblent à tout un chacun. Ils s’épanchent sur leur vie, leurs émotions, leurs sentiments. Ils vivent des moments qui marqueront leur vie à jamais. C’est la vie réelle. A tel point que le lecteur peut se reconnaitre dans l’une des aventures. Une colère qui détruit une vie. Un courrier-surprise venant d’une étrangère qui fait redécouvrir un parent. Qui fait voir un pan inconnu de la vie de l’être aimé. Un trafiquant de drogue insouçonnable. La découverte d’un parent. Telles sont les aventures des personnages.
C’est un recueil de nouvelles qui chante l’humanité avec ses travers, ses émotions, ses surprises. D’une écriture légère, claire, l’auteur nous parle des émotions fortes que nous pouvons éprouver dans notre quotidien. Les nouvelles nous font voyager d’une histoire à l’autre en mobilisant toute notre attention. Ce sont des leçons de vie qui transforment le quotidien, l’avenir des personnages. Des personnages qui vivent ces moments avec beaucoup de force, d’humour, de réalisme. Le lecteur est happé par ces récits dès le premier chapitre. Il suit les aventures avec beaucoup de curiosité, d’intérêt. Un beau recueil.
Afficher en entierJe n'ai probablement pas choisi le meilleur titre pour une première avec cet auteur !!
Lecture fastidieuse, j'ai complètement été dépassée par le début de ce roman.
Je n'ai pas adhéré au côté atypique, déroutant et surréaliste.
Dommage
Afficher en entierJ’aime beaucoup les livres d’Armel Job, je les trouve bien écrits, les histoires sont agréables à lire et passionnantes mais le petit plus c’est qu’il est Belge et que ses romans se passent en Belgique ! Dans celui-ci plus particulièrement une partie des faits se déroulent dans ma région, Charleroi.
De plus j’y retrouve des expressions typiquement belges. Je me sent en pays de connaissance dans ses livre!
Afficher en entierLa force de la nouvelle tient dans sa manière singulière de pratiquer l’art du raccourci et de ne jamais s’appesantir sur les détails secondaires qui enrobent l’action. Les éditions Quadrature se sont spécialisées dans le récit court pour prouver à tous, si la chose est nécessaire, que de nombreux auteurs pratiquent ce genre un peu tombé en désuétude et néanmoins célébré par les écrivains majeurs du passé (Guy de Maupassant, Edgar Allan Poe, Jean Ray, …). Avec Luc Leens, on entre sur la pointe des pieds dans des histoires ciselées à hauteur d’hommes et de femmes, où se mélangent humour, émotion et poésie. Des personnages ordinaires qui pourraient être des proches, simples voisins, époux ou parents. Lorsque le sort s’abat sur eux, ils ne possèdent pas d’autre alternative que celle de bomber le torse, disparaître ou s’enfoncer dans la résilience. Quelle que soit leur manière d’agir, l’auteur ne les juge jamais et les accompagne pas à pas. La langue se veut limpide, efficace et sans fioritures inutiles. On ne reste jamais interdit devant le vitrail étincelant d’existences mises à mal ou qui regimbent dans le but de garder la tête haute. A noter qu’Armel Job a préfacé cette prose.
Afficher en entierL'écriture de cet écrivain me plaît énormément. Son récit est clair et sa lecture fluide. La description des personnages est réalistes. L'intrigue de l'histoire est prenante.
Afficher en entier12 récits de dystopie, qui ont l'air de pouvoir se passer dans très peu de temps. et qui m'ont fait froid dans le dos. Le web et les réseaux sociaux donnent une impression de sécurité et d'anonymat, alors que vous balancez littéralement votre vie et vos données à Dieu sait qui... Je rappelle que récemment Meta ; le groupe de Zuckerberg, l'ami qui ne vous veut pas du bien, a été condamné à une amende record de 1,2 milliard d’euros pour avoir transféré de données d’Européens vers les États-Unis. Et après, que se passera-t-il si nous continuons à trop nous exposer juste pour le plaisir artificiel et très éphémères d'obtenir quelques likes? Et pourquoi toujours courir après cet espèce de Graal moderne qu'est cette connerie d'e-réputation?
Afficher en entierUne suite de récits d'inspiration biblique, presque tous noirs jusqu'à en paraitre crasseux, et d'une vulgarité repoussante qui dissimule à peine l'aspect à la fois creux et vaniteux de cet opus.
Afficher en entierUn peu déçue, intrigue plutôt classique et parfois un peu "plan plan ".
C'est plus l'aspect psychologique des personnages qui est mis en avant
Afficher en entier"En son absence" rassemble toutes les qualités et habitudes de l'auteur : un style parfait, un décor de village ardennais confit dans sa routine et ses traditions, un suspense savamment distillé, bref un roman de bonne facture très agréable à lire.
En revanche, il ne ménage aucune surprise et j'en sors avec une impression mitigée. D'une part, ce n'est pas la meilleure intrigue qu'Armel Job ait trouvée ; d'autre part, j'aimerais qu'il se renouvelle un peu et sorte des sentiers rebattus par lui de la peinture des mesquineries campagnardes. Je suis sûre qu'il en est capable Donc très déçue
Afficher en entierArmel Job est un auteur belge de plus d’une trentaine de livres et pourtant, c’est seulement maintenant que je le lis et le découvre grâce à ma participation au Prix Club de l’Auteur Belge des librairies Club. L’adage « nul n’est prophète en son pays » trouve vraiment à s’appliquer en la matière.
Pourtant, cette lecture m’a passionnée de bout en bout. Armel Job ne joue pas avec les technologies actuelles pour la rédaction de son livre. Et malgré tout, c’est captivant ! Bien que pas textuellement daté, on se l’imagine se déroulant courant années 80-90.
C’est une enquête policière somme toute classique. Le titre lève le voile directement quant au fait principal et sa victime. Malgré tout, je me suis laissée facilement rattrapée par le récit.
Ce fameux meurtre a lieu dans un petit village ardennais, là où la victime, le fameux Docteur Van Loi, s’est installé dans un ancien presbytère, exerçant son métier de chirurgien au Luxembourg. Homme à femmes bien que marié, son intégration dans le bourg ne s’est pas vraiment bien déroulée vu son dédain et les ennemis pouvaient dès lors être nombreux.
J’ai apprécié cette ambiance assez « cozy » (ce n’est pourtant un cosy mystery, je tiens à le préciser) au fil des pages, comme on pouvait trouver dans les romans de Georges Simenon. C’est toujours agréable de trouver des expressions bien de chez-nous, surtout dans le cadre d’un polar.
Chaque personnage se retrouve suspecté dudit meurtre à un moment ou à un autre et le lecteur est « promené » par l’auteur jusqu’au déroulé final.
Habituellement, je suis un peu frustrée quand la fin n’offre pas de conclusions nettes et précises, laissant des portes ouvertes. Dans le cas présent, cela offre aux lecteurs un questionnement assez intéressant.
Vu donc le premier essai réussi, je n’en resterai pas là avec cet émérite auteur belge. Affaire à suivre….
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Armel Job
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Robert Laffont : 19 livres
Editions Mijade : 5 livres
Ker éditions : 3 livres
Mémor : 2 livres
Espace Nord : 2 livres
Editions Labor : 1 livre
La Belle Étoile : 1 livre
Luc Pire : 1 livre
Biographie
Armel Job est né le 24 juin 1948 à Heyd, en Belgique. Il est le 3ème garçon d’une famille de 4 garçons. Son grand-père était marchand de chevaux. Son père fut matelassier puis marchand de céréales. C’est un milieu d’artisans modestes profondément enraciné dans le terroir et imprégné de l’ancienne culture liégeoise. La langue parlée à la maison n’est pas le français, mais le wallon liégeois.
A douze ans, Armel Job devient interne au séminaire de Bastogne, bastion de l’église catholique, mais surtout collège parmi les plus réputés de la Belgique francophone. Le latin et le grec forment la base de la pédagogie. On y étudie également assez d’autres matières accessoires pour aborder ensuite n’importe quelles études universitaires. Les congés et les distractions étant rares, on y dévore les livres recommandés et plus encore les défendus. Particulièrement mauvais au football, Armel Job apprend le piano et joue dans l’orchestre de l’école qui répète dans un local bien chauffé. Il s’essaie également au théâtre sous la direction d’un metteur en scène du Théâtre National qui monte une pièce chaque année avec les étudiants.
Armel Job poursuit des études universitaires à l’Université d’Etat de Liège au grand désappointement des autorités du séminaire de Bastogne qui, en principe, n’achalandent que l’Université catholique de Louvain. Il devient candidat en philosophie et lettres, licencié en philologie classique et agrégé de l’enseignement secondaire supérieur. La philologie classique est l’étude des civilisations grecque et latine sous l’aspect des langues, de l’histoire et de la culture. Au cours de ses études universitaires, il continue à faire du théâtre et contribue modestement à l’immortalité de Labiche dans les Ardennes profondes.
Après ses études, il est engagé comme professeur de latin et de grec au séminaire de Bastogne, école qui a pour sages principes de recruter ses professeurs parmi les anciens élèves et, accessoirement, de ne pas leur tenir rigueur du choix de leur université. Il y enseigne pendant vingt-trois ans et en 1993, il en devient le directeur. Durant ses années de professorat, Armel Job publie à plusieurs reprises des articles spécialisés dans les Revues de l’enseignement catholique belge et poursuit d’incessants travaux de traduction du latin et du grec. En tant que directeur, il accompagne l’évolution d’un séminaire de 500 garçons à un grand lycée mixte de 1600 élèves. C’est aussi à ce moment qu’il commence à publier des récits et des romans. Il quitte son poste en 2010 pour se consacrer à son travail littéraire. Il est également chargé de mission auprès du Ministre des Travaux publics de la Région wallonne (département patrimoine).
Les premiers récits d'Armal Job paraissent chez l'Hartmattan, puis il entre chez Robert Laffont où sont publié la plupart de ses romans. Il publie également en Belgique chez Memor, Mijade et chez Labor. En dix ans, il a reçu plus de dix prix littéraires.
Armel Job est marié et père de trois filles. Il vit à la campagne en Belgique et passe ses loisirs à faire de la culture biologique, des provisions de bois et du vélo.
Afficher en entier