Pierre De Marivaux
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Note moyenne : 6.89/10Nombre d'évaluations : 1 445
10 Citations 655 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Pièce de théâtre très rapidement lu. Assez amusant sans plus mais sympa à lire dans le cadre scolaire.
Malgré beaucoup de mots dont j'ai dû me renseigner sur leurs signifiactions, le livre est assez facile à lire.
Afficher en entierJ'ai eu à lire cette œuvre pour le bac de français et honnêtement, j'ai trouvé le livre plutôt bien.
Il faut aimer les stratagèmes et les manigances sur l'amour parce qu'il en est regorgé. Au point de ne plus savoir ce qui est vrai et ce qui est faux.
Afficher en entierC’était bien à lire, mais je le relirais pas.
La fin m'a déçu, je la trouve pas très intéressante. C’est dommage parce que l’idée générale de la pièce sur l’égalité des sexes était importante.
L’écriture était pas très facile à comprendre puisque la pièce a été écrite au 18eme siècle.
Afficher en entierLivre souvent donné en cadre scolaire. Histoire assez bien mais écrit avec un ancien français donc à des moments assez compliqué dans la compréhension.
Afficher en entierSi seulement l'amour était aussi simple que ça.
Afficher en entierIl s'agit d'une pièce assez amusante. Le lecteur est plongé dans la confidence des personnages qui échangent de rôle pour tenter de mieux se connaître. La romance est plutôt lente mais très agréable. Cette pièce est relativement courte à lire.
Afficher en entierLecture agréable et très rapide
Afficher en entierTrès bonne pièce de théâtre avec de jolie quiproquos. Un bon classique à lire.
Afficher en entierDès que je relis la pièce, je pleure de rire. Les blagues, les contre sens, les quiproquos, tout est absurde et drôle. Je recommande totalement la lecture de cette pièce.
Afficher en entier"Le Jeu de l'amour et du hasard" de Marivaux est une comédie en trois actes qui illustre avec finesse les jeux de l'amour mêlés aux stratagèmes sociaux du XVIIIe siècle. L’intrigue tourne autour de Silvia et Dorante, deux jeunes gens promis l’un à l’autre mais qui décident de se déguiser chacun en serviteur afin d'observer l'autre incognito. Cette mise en scène crée une série de quiproquos et de situations comiques qui explore avec subtilité les thèmes de l'identité, du déguisement et de l'amour véritable.
Marivaux utilise un langage raffiné et des dialogues pleins d'esprit pour dépeindre la complexité des relations humaines et les préjugés de classe. La pièce révèle combien les apparences peuvent être trompeuses et questionne la nature de l'amour.
L'œuvre est aussi une réflexion sur le pouvoir du hasard et du destin dans les affaires de cœur, où les personnages finissent par découvrir la vérité sur eux-mêmes et sur les autres, souvent par des accidents fortuits plutôt que par des choix délibérés. Le jeu entre les maîtres et les valets offre également une critique sociale subtile mais efficace, typique de Marivaux, qui demeure pertinente même dans les sociétés contemporaines.
Afficher en entierOn parle de Pierre De Marivaux ici :
2018-07-04T14:43:37+02:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Pierre De Marivaux
et autres évènements
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Editeurs
Gallimard : 17 livres
Larousse : 11 livres
Flammarion : 10 livres
LGF - Le Livre de Poche : 5 livres
Pocket : 4 livres
Nathan : 3 livres
Belin : 3 livres
J'ai lu : 3 livres
Biographie
Elevé en province, Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux suit des études de droit à Paris. Devenu avocat, il n'exercera pourtant jamais cette fonction. Il s'essaie au roman burlesque et débute au Théâtre Italien et au Théâtre Français. Ses pièces empruntent leurs conventions à 'la commedia dell' Arte'. Ses oeuvres multiples révèlent un certain utopisme et traitent souvent de la 'métaphysique du coeur' plus connue sous l'appellation 'marivaudage'. Et c'est le thème de l'amour que Marivaux décline dans ses pièces tragicomiques. L'auteur se sert du travestissement et du grotesque des situations pour détourner les règles morales de l'époque. Il lance, comme unique rédacteur, le Spectateur français, un hebdomadaire aux accents moralistes qui comprendra 25 numéros. Il se veut aussi philosophe dans 'L' Indigent Philosophe', une autre de ses parutions. Très attaché à la vie mondaine, Marivaux fréquente de nombreux salons littéraires, notamment celui de Mme de Lambert et de Mme de Tencin.
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