Justin Cronin
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Note moyenne : 8.17/10Nombre d'évaluations : 427
5 Citations 214 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Pfiou, que dire après avoir lu ce dernier tome ?
Je dirais: que d'émotions ! On sent que c'est le dernier tome et sa lecture n'en est que plus émouvante.
Si j'ai moyennement aimé la partie sur l'histoire de Fanning, que j'ai trouvée vraiment trop longue (il y aurait pu avoir pas mal de longueurs évitées), la suite m'a prise aux tripes.
Comme pour le second tome, on revient dans l'histoire des années plus tard: Caleb est devenu père, Peter est devenu le Président de Kerville. On retrouve tous les autres personnages plus ou moins éparpillés comme dans le précédent tome. Ils vont bien évidemment finir par se rejoindre.
L'auteur a vraiment soigné tout du long de sa trilogie ses personnages: ils sont vivants, vibrant de crédibilité, on s'attache énormément à eux et que ce fut dur de voir le destin de certains d'entre eux.
La fin est également très émouvante. On pourrait dire que la boucle est bouclé.
Ce fut pour moi une excellente trilogie dont les personnages et l'histoire vont rester longtemps dans ma mémoire.
Afficher en entierUn tome 3 qui conclut à la perfection cette trilogie !
Encore une fois on ne voit pas les 800 pages défiler. La façon dont Justin Cronin raconte est vraiment brillante, je repense particulièrement à l'épilogue qui était juste parfaitement écrit. Ces livres et les personnages vont me manquer mais ce qui est sûr c'est qu'ils vont me rester en tête pendant très longtemps.
Afficher en entierLe Passage est avant tout un sacré bouquin. Grand, lourd, épais, il en impose. On me l'a offert il y a une dizaine d'années, lors de sa sortie, et il m'a accompagnée dans ma vie d'adulte, présent à chaque déménagement, poids silencieux qui m'a suivie sans que jamais ne me vienne l'envie d'en ouvrir les pages. Si la couverture m'a toujours beaucoup plu, le résumé n'avait rien d'alléchant pour moi...
Et la semaine dernière, un nouveau déménagement, une nouvelle période longue sans accès à internet, de nouveaux livres par dizaine, mais rien qui ne m'attire sans devoir fouiller loin loin dans les cartons et c'est alors, qu'enfin, je me laisse tenter par ce roman.
C'est comme s'il avait attendu le parfait moment.
Je ne regrette pas de l'avoir gardée aussi longtemps, comme je ne regrette pas de ne pas l'avoir lu avant ! Je ne sais pas si l'adolescente que j'étais l'aurait apprécié. Le fait est que Le Passage est un roman post-apocalyptique, dystopique, sombre, glaçant, aux passages violents, presque traumatisants... tout ce que je déteste habituellement.
Mais en lisant Le Passage ce n'est pas toute cette violence et cette dureté qui m'a marquée. C'est la poésie qui s'en dégage. Une impression de douceur encore plus étrange et profonde que ce n'est pas le genre de récit dans lequel on s'attend à la trouver. S'attarder, rencontrer chaque personnage, même ceux voués à devenir des monstres, comprendre leurs mondes internes et leur laisser la voix pour un chapitre ou plus... J'ai trouvé l'écriture bouleversante d'humanité et ce dès le premier chapitre. On nous invite à aller à la rencontre des gens, à se demander qui ils sont derrière leurs circonstances actuelles et à étendre de l'empathie sans se compromettre soi-même. De belles leçons de compassion pour un livre dont le speech tient à un virus vampirique menant à une invasion zombiesque.
Afficher en entierLe dernier tome de cette saga que j'ai adoré. Un bon gros pavés, quelques passages assez lent (le passé de zéro entre autre) mais qui est assez intéressant pour comprendre mieux cet antagonistes. La fin était très satisfaisante.
Afficher en entierEnvolé par les doux mots de l’auteur, il a réussi à me transporter dans son propre Univers, à la fois complexe et fascinant. La globalité de sa trilogie m’a conquise et j’ai l’honneur de vous annoncer que c’est un coup de cœur, un véritable chef d'œuvre, selon moi, bien évidemment. Il sait manier l’art d’écrire, ses descriptions sont sublimissimes, quelque peu prolixes à certains passages, l’intrigue qui règne dans le récit donne ce côté captivant qui nous empêche de lâcher notre lecture.
Observer de loin les personnages évolués au fil du temps est une vraie réussite, car les ellipses sont bien menées et réussies. Toute l’histoire a un sens, chaque détail est minutieusement travaillé pour rendre son Univers crédible, intéressant et extraordinaire. Cependant, certains moments sont vraiment longs et inutiles, ça alourdit notre lecture et cela freine notre lecture. Malgré les fameuses mille pages du roman, le temps passe à une vitesse qu’on ne s’ennuie quasiment pas.
On en découvre sur l’origine du patient zéro et c’est très intéressant l’image qu’on peut se faire du “destructeur” mondial. Notre image de lui le rend le plus humain, avec son passé terrestre tout en découvrant un autre personnage et c’est une vraie réussite. Tout comme le combat final entre les survivants du Virus et le patient zéro et tous les “vampires”, nommés Viruls dans le récit, est poétique et dévastateur. Une histoire qui m’a touché, perturbé, énervé, mais aussi rendu heureux pour avoir suivi tous ces personnages au fil du temps. Devoir dire au revoir à toutes ces personnes du livre est un déchirement. Les suivre sur 3 300 pages créées un lien.
Afficher en entierTrès bonne fin pour cette trilogie.
J'ai lu ce livre à une période assez difficile (maladie de ma mère et son décès).
Mais en même temps il était un lien car elle l'avait lu avant moi.
Normalement j'aurais discuté avec elle du livre.
Tout de même un très bon moment à lire.
Afficher en entierPas vraiment le genre que je lis habituellement, mais je me suis laissée porter par le récit. Je n'avais pas fait attention au fait que c'était le début d'une trilogie, alors quand au bout de 1200 pages je m'aperçoit que c'est pas fini, j'ai un peu fait la tête, deux romans de plus a trouver et a lire qui se rajoutent sur ma PAL alors que justement, je voulais la réduire la dite PAL. Les longueurs du début du roman auraient du me mettre la puce a l'oreille ceci dit ...
Les longueurs, parlons en ! Quand on a lu le joli petit synopsis au dos du livre on s'attend pas à ce que la mise en place soit si longue ... Mais finalement, c'est cohérent, ça nous plonge tout de suite dans une ambiance lourde, humaine, et aussi un peu onirique.
Il y a beaucoup de personnages, trop, je n'ai pas réussi a m'attacher a eux. En revanche j'ai bien été prise par l'histoire: j'ai envie de savoir comment ils vont résoudre tout ça !
Afficher en entierIl y a beaucoup trop de longueurs avec des descriptions interminable.
Afficher en entier"Le Passage" a réussi à me captiver. Sa particularité ? C'est la première histoire qui se penche sur les "origines" d'une contamination et qui fourni un explicatif complet. Merci.
Pour le reste, l'auteur a réussi à me captiver jusqu'à la page 1265. C'est dire. Petit bémol sur le nombre de protagonistes dans l'histoire, car il y a parfois de quoi se perdre, d'autant plus facilement que certains prénoms peuvent prêter à confusion homme/femme (Hollis, Sanjay etc).
En tous les cas, si vous aimez l'ambiance "after the war", "after the apocalypse", ce livre est pour vous.
Afficher en entierDeuxième lecture de ce roman très dense, très sombre et pas mal angoissant. L'ayant déjà lu adolescente, j'avais surtout retenu l'écriture très immersive et l'ambiance lourde mais pleine d'enjeux créée dans ce livre, et ça ne m'a absolument pas déçue à ma relecture : le premier tiers du roman est consacré à "l'avant", à la genèse de ce qui a décimé la majeure partie de l'humanité, et puis l'histoire fait un bon d'environ 90 ans en avant pour nous faire rencontrer de nouveaux personnages (et retrouver d'anciens), des survivants qui auront un grand rôle à jouer dans le dénouement de l'apocalypse.
C'est simple, dans ce genre de bouquin, la fin du monde est provoquée soit par l'arrivée d'aliens, soit par la curiosité humaine qui, poussée par un besoin de maîtriser de nouveaux virus (pour s'en défendre ou, comme ici, pour attaquer), fini toujours par en subir les conséquences quand ça lui échappe. Et c'est encore plus terrifiant, je trouve, lorsqu'une histoire nous décrit l'extinction de l'humanité due à un virus déjà présent sur Terre, quelque chose qu'il aurait mieux fallu laisser tranquille mais qu'on a été incapables de ne pas aller titiller. C'est exactement la même chose dans 𝐻𝑜𝑤 𝐻𝑖𝑔ℎ 𝑊𝑒 𝐺𝑜 𝐼𝑛 𝑡ℎ𝑒 𝐷𝑎𝑟𝑘 de Sequoia Nagamatsu (et des tas d'autres, mais celui-là est le plus récent dans ma tête), et ça 𝘱𝘳𝘦𝘯𝘥 𝘢𝘶𝘹 𝘵𝘳𝘪𝘱𝘦𝘴.
Bref, tout ça pour dire que ce tome est très bien écrit, que la multitude de personnages n'est absolument pas un frein à la compréhension de l'histoire et que c'était un plaisir de relire ce livre (bien massif, d'ailleurs).
Afficher en entierOn parle de Justin Cronin ici :
2019-01-19T19:31:58+01:00
2011-11-23T16:18:45+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Justin Cronin
et autres évènements
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Editeurs
Robert Laffont : 3 livres
Pocket : 3 livres
Mercure de France : 2 livres
Orion : 2 livres
LGF - Le Livre de Poche : 1 livre
Ballantine Books : 1 livre
Dial Press Trade Paperback : 1 livre
Biographie
Né en 1962, Justin Cronin fait ses études à l'université de Harvard. Il est l'auteur de plusieurs romans dont Huit saisons (Mercure de France, 2003), couronné par le prix Pen-Hemingway. Le Passage a été publié chez Robert Laffont en 2011.
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