Hugues De Queyssac

Un 2ème tome qui nous emporte une fois de plus dans cette période historique des Croisades où la guerre et la peste font aussi rage. Notre personnage principal a évolué en maturité, il a beaucoup de responsabilité, de poids dans ce tome. Le style de l'auteur est toujours aussi bon et original et c'est appréciable de lire un roman avec de nombreux mots en vieux français. A lire.

Un premier tome assez surprenant par son écriture et son vocabulaire en vieux français. Ce tome pose surtout les évènements qui seront à suivre et après lecture des deux premiers tomes, je me rends compte qu'il est assez lent mais la part d'originalité de l'histoire est agréable.

Livres écrits dans un vieux français, l'histoire est sympa, on a hâte qu'il retrouve sa belle mais que de choses se passent dans ses 4 livres... un peu mou, trois livres auraient suffit mais j'en garde un bon souvenir.

À une époque qui manque singulièrement de repères, l’Histoire est à la mode. Nourriture indispensable à notre culture, elle donne à chacun de nous des « lettres de noblesse », un passé prestigieux ; son aiguille bien aimantée indique le sens de notre vie. Le roman historique est ainsi devenu l’incontournable compagnon de nos soirées

L'auteur nous entraîne au milieu du 14 ème siècle en Aquitaine, là où débuta cette guerre qui devait durer plus de cent ans. La vie y est rude mais les occasions d'en profiter demeurent nombreuses. Il nous décrit des personnages sensuels. Brachet de Born, écuyer d'un droit seigneur du Périgord, se retrouve entraîné à ses dépens dans une suite de péripéties. On l'accuse d'abord d'un crime horrible, avant de l'obliger à partir pour l'Orient et ses terres dangereuses pour un chrétien.

Toute l'originalité de ce livre, son charme aussi vient du fait que l'auteur a su suffisamment s'imprégner de vieux termes, d'anciennes tournures de phrases héritées du vieux français, pour arriver à en faire un usage fluide, léger. C'est ainsi une ambiance toute entière qui est créée par ce langage, ces vieux mots qui croquent sous la langue.

L'auteur est fidèle à cet esprit médiéval occitan, avec cette dynamique introduite par les "trobadors", troubadours porteurs de mots et d'érotisme. Histoire avec un grand H, voyages, humour, chevauchées, vocabulaire de l'époque magnifiquement recherché, personnages hauts en couleurs avec lesquels on retrouve esprit de chevalerie, loyauté, sens de l'honneur... Tous les ingrédients réunis, et fort bien mélangés, pour nous donner là un roman historique absolument excellent.

J'ai été déçue par ce livre, je n'ai d'ailleurs pas su le terminer. L'histoire me plaisait mais c'est l’écriture qui m'a arrêté. Je trouve que le fait qu'il ai utilisé l'ancien français, a alourdi le récit. Et donc j'ai trouvé que ça ralentissait l'intrigue, en plus il y a des passages qui sont vraiment trop descriptif.

Déçue. Je n'ai pas réussi à aller au bout de l'histoire. Je me suis ennuyée. Pas assez d'action, trop de narratif.

L'auteur nous emmène au temps de la Guerre de Cent ans. Il dresse le portrait de personnages hauts en couleurs et emploie le vocabulaire usité à l'époque.

J'ai apprécié cette histoire dans laquelle les chevaliers pratiquaient le sens de l'honneur, la loyauté.

Dans ce volume, Bertrand Brachet de Born et son ami Arnaud de la Vigerie sont plongés dans une aventure où règnent la guerre et la peste. Elle va les conduire à la découverte du fabuleux trésor des Cathares, caché par les plus hauts dignitaires de l'Ordre du Temple avant sa dissolution en 1312.