Lisa Jewell

Il s'agit du 2e livre de l'autrice que je lis et malheureusement, ça ne se passe pas très bien.

Déjà le 1er, c'était un peu dans le même style.

La, c'est un peu la même chose qu'il m'est arrivé, je n'ai pas réussi à m'attacher, il y a beaucoup de personnages, et je n'ai pas réussi à chaque fois à savoir qui était qui, le speech de base a l'air sympa, mais je ne m'y suis pas retrouvée.

J'ai trouvé ça long et ennuyant, rien ne m'a donné envie de continuer ma lecture, alors j'arrête, oui je n'ai même pas laissé l'histoire se poser mais parfois tu le sais directement...

Une ambiance angoissante sans en avoir l'air. Le paradis où l'enfer ?

Du suspense, des personnages qui posent question, que l'on soupçonne et puis que l'on écarte pour en soupçonner d'autres, certains que l'on trouve trop étranges pour ne rien avoir à se reprocher....

Une lecture agréable avec des chapitres courts mais je regrette le dénouement, bouclé en quelques pages, qui arrive sans prévenir. Avec la galerie de personnages découverts au fil de la lecture, je m'attendais à une fin bien plus flamboyante.

J'ai beaucoup aimé ce petit suspense

On suit trois temporalités: celle avant la disparition de Tallulah, celle juste après sa disparition et celle un an après quand Sophie s'installe dans sa nouvelle maison et découvre un indice lié à la disparition de Tallulah.

Petit à petit se dévoile les secrets de Tallulah et on finit par deviner ce qui a fini par arriver.

Ce roman permet également de voir comment les familles réagissent suite à une disparition. La mère de Tallulah ne cesse jamais de la chercher tout en devant continuer à vivre.

Quant à Sophie on voit comment une personne lambda peut devenir une enquêtrice en herbe.

Bref si vous cherchez un suspense cosy je vous le conseille

Si on oublie le fait que le dénouement est assez prévisible, "comme toi" reste tout de même addictif. Un vrai page-turner comme je les aime.

Toutefois, je dois dire que je ne m'attendais pas à ça...

Je n'avais pas compris qu'il s'agissait d'une histoire sombre et glauque. J'ai été profondément marquée par certains passages. Durant cette lecture, j'ai ressenti beaucoup de colère, de dégoût et de tristesse, alors que j'imaginais seulement enquêter, comme d'habitude avec un thriller.

En bref, un roman que je n'oublierai pas de sitôt.

Un thriller absolument captivant, j’ai eu du mal à arrêter…

Du suspens à n’en plus finir !

Extraordinaire. Je ne m'attendais pas à une telle histoire. Le suspense, les rebondissements, et cette fin !!!!!.

Une écriture qui nous transporte directement dans l'univers, et en plus j'ai eu beaucoup de mal à m'en défaire car je voulais absolument connaître la suite.

Je m'attendais un petit peu a ce qui s'était passé mais en lisant je ne m'imaginais pas autant. Un énorme coup de coeur pour ce livre et bravo a l'autrice pour son écriture.

Il y a 2 ans j'ai lu "Comme toi", de Lisa Jewell et je n'ai pas vraiment apprécié ma lecture. Je partais donc un peu frileuse sur cette lecture et contre toute attente, j'ai adoré.

L'histoire est hyper intrigante. Nous suivront plusieurs personnages, sur plusieurs temporalités. Et alors qu'on pense avoir trouvé leurs liens... On se rend compte que pas du tout 😅

Toute la partie "25 ans plus tôt" est vraiment surprenante. La descente aux enfers de cette famille a cause d'un seul homme, un gourou, qui va garder tout le monde sous sa coupe pendant plus de deux ans.

Les personnages sont super intéressants et très bien travaillés. Qu'ils s'agissent des enfants qu'ils étaient, aux adultes qui sont devenus, on ne peut qu'être touché par ce qui leur arrive.

Une super lecture, proposée par @mes_carnets_litteraires pour le #bookclubmescarnetslitteraires de ce mois ci. Je crois d'ailleurs qu'il fait l'unanimité. J'ai HÂTE de lire la suite.

Première lecture de cette écrivaine et effectivement très addictive ! Suspens, émotions , personnages attachants … tout est réuni pour ne pas lâcher le livre .

Dans la petite ville d'Upfield Common (Grande-Bretagne), un jeune couple, Tallulah et Zack (19 ans), s’offre une soirée de détente au pub du coin pendant que Kim, la mère de Tallulah, garde Noah, leur nourrisson. Assez tard dans la nuit, Kim reçoit un message lui annonçant qu’ils ne rentrent pas tout de suite, car ils veulent continuer la soirée chez des amis. Kim répond que tout va bien et qu’ils peuvent y rester le temps qu’ils souhaitent. Mais le lendemain matin, les deux jeunes ne sont toujours pas rentrés à la maison. Très inquiète, Kim essaie de les appeler au téléphone. Aucun ne répond. Elle se rend alors chez Meg, la mère de Zack, dans l’espoir qu’ils soient chez elle. Mais il n’en est rien. Le barman du pub où ils ont commencé la soirée lui apprend qu’ils sont partis finir la fête dans la belle propriété des parents de Scarlett. Celle-ci lui confirme que la bande de jeunes est bien venue chez elle et que Tallulah et Zack sont restés parmi les derniers. Elle précise même qu’ils sont repartis en disant qu’ils avaient appelé un taxi. L’ennui, c’est qu’aucune des compagnies de taxis de la région n’a chargé de couple à cet endroit cette nuit-là…

« Rentre avant la nuit » n’est pas vraiment un roman policier classique, ni un thriller, ni même un roman noir. Ce serait plutôt un drame sentimental. L’intérêt ne vient pas vraiment de l’enquête en elle-même. Elle piétine tout au long des 454 pages de ce bouquin par ailleurs assez facile à lire grâce à de nombreux dialogues, un style léger et surtout de continuels allers et retours entre l’avant et l’après pour une affaire qui traine sur presque deux années. Pas non plus de fausses pistes, pas de fin surprenante et pas d’accumulation de cadavres si l’on oublie un troisième meurtre en toute fin, bâclé quelques pages, voire un brin invraisemblable d’ailleurs. Madame Jewell a préféré privilégier la psychologie, la description de sentiments, d’états d’âme de personnages assez stéréotypés et s’est complu dans une affaire de romance entre filles aussi paumées chez les riches que chez les pauvres, avec en prime des relations sexuelles saphiques qui tournent mal. Elle qualifie elle-même son style de « cosy ». On pourrait même dire « softly » voire « girly », de sorte qu’on n’est plus très loin de la fameuse « chicklit » qui a un important public dont nous ne faisons pas partie. Les amateurs de « punchy » et de « close to the bone » pourront éviter ce « jewel » (« joyau »). Clinquant pseudo qui peut agacer…