Anne Guglielmetti

Sigéric a été recueilli dans une abbaye bénédictine normande, au Xième siècle. Nommé Benoît, il comprend le silence imposé et rapidement montre du talent, notamment comme copiste. Mais si le silence ne lui pose pas de soucis, il a besoin de se dégourdir les jambes, d’autant plus que sa sœur Géva a été recueilli dans le village voisin et que leur relation reste importante et quasi fusionnelle pour les deux enfants, malgré les chemins différents qu’ils empruntent.

Mais chassé de l’abbaye, Sigéric part sur les routes en compagnie d’un géant, un moins servant qui a décidé de veiller sur lui, et un long périple commence jusqu’à les mener vers l’Italie.

Roman initiatique dans un moyen-âge du XIème siècle, le sujet avait tout pour me plaire. Mais dès les premières pages, j’ai eu du mal à entrer dans le roman (certaines phrases sont très longues) et je ne savais pas bien où l’auteur souhaitait nous mener (problème que j’ai d’ailleurs eu jusqu’à la fin du roman). L’histoire m’a semblé embrouillée, le style ne m’a pas forcément aidé et si j’ai aimé certains détails sur la vie médiévale ou les croyances (chrétiennes ou païennes), je n’ai pas été transportée par le récit. Le résumé me faisait penser au Géant enfoui, et finalement j’en ressors avec la même impression : ça aurait pu être génial, mais je n’ai pas réussi à entrer dedans ! et encore dans celui-ci il y a des choses que je ne suis même pas sûre d’avoir compris dans l’histoire !

J'ai acheté ce livre un peu "à l'aveugle", car je trouvais la couverture magnifique, le titre mystérieux et le résumé tout aussi mystérieux et mignon. C'est en effet une histoire mignonne, assez bien écrite, mais je regrette le manque d'informations ou de descriptions sur les personnages et les longues ellipses qui m'ont empêché de m'attacher aux personnages.

c'est doux c'est doux c'est doux un concentré de poésie et de campagne dans ce petit livre, amitié entre deux femmes, deux générations, deux mystères desquelles on ne sait pas grand-chose, sauf leur lien, ce jardin, ce village.

Tendre, tout doux (ou presque) poétique, une bien belle amitié ce lien entre cette retraitée et cette ado que cette histoire. Le jardin joue évidemment un rôle central, la couverture du livre belle élégante et mystérieuse donne envie d'entrer dans le livre.

Delicat, poétique, frais. Un joli et simple roman autour d'un jardin, si bien décrit et romantique.

Une lecture très particulière de part les choix artistiques fais par l'autrice. Un roman de 147 pages, sans chapitre, avec des phrases d'une extrême longueur, des PDV assez "nébuleux". Cela ne m'a pas permis d'être touchée comme je l'aurais été en d'autre termes par la fin. Cela reste une belle lecture.

Je n'ai pas été captivée par la lecture. C'est calme, il n'y a pas de rebondissements. Je me suis ennuyée. C'est dommage, car j'ai beaucoup aimé la couverture, et je pensais qu'il se passerait plus de choses...