Olivier Germain-Thomas
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Note moyenne : 4/10Nombre d'évaluations : 4
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Un cahier qui permet un lecture sans prise de tête et pourtant qui nous permet de réfléchir sur le bonheur. Il y a beaucoup de poésie dans ce livre, ce que j'ai beaucoup apprécié.
Afficher en entierLe héros se retrouve plongé dans une enquête où se mêlent les lois de la mystique et l'horreur du proxénétisme dans les pays d'Orient.
Afficher en entierQuand j'ai acheté ce livre je ne m'attendais pas vraiment à ça. Dès le début j'ai eu du mal et malheureusement la suite ne m'a pas plus captivé.
Afficher en entierOn parle de Olivier Germain-Thomas ici :
2011-11-02T23:43:07+01:00
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Editeurs
Editions du Rocher : 3 livres
Gallimard : 2 livres
Albin Michel : 1 livre
Le Serpent à plumes : 1 livre
Dervy : 1 livre
Biographie
Après des études de lettres et de philosophie à la Sorbonne, puis un doctorat de philosophie (esthétique) sous la direction de Jean Grenier sur la symbolique de l'art bouddhique en Inde, il devient en 1970 le premier Délégué général de l'Institut Charles de Gaulle sous la présidence d'André Malraux puis administrateur de l'Institut de 1991 à 1994.
Il fonde le mensuel l'Appel en 1973. Il effectue alors de nombreux voyages et séjours en Inde puis au Japon, dans le sud-est asiatique, enfin en Chine.
À France Culture, il est producteur de l'émission Agora (1978-1995), il crée Tire ta langue !, la première émission consacrée au français, puis For Intérieur (depuis 1995) autour de l'œuvre d'un écrivain.
En 1985, il reçoit le prix des Créateurs pour son livre L'Amour est assez grand seigneur.
Il produit pour la télévision, de 1987 à 1997, des portraits de Simone Weil, Mishima, Malraux, Le Clézio, Jean Grosjean...
Depuis 1997, il dirige la collection Chemins d'éternité aux éditions Pygmalion.
En 2006, l’Institut de France lui a décerné le Prix Henri-Gal pour l’ensemble de son œuvre.
En 2008, il est candidat à l'Académie française au fauteuil d'Henri Troyat et échoue avec 12 voix contre 14 à Jean-Christophe Rufin.
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