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Ito Ogawa

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Biographie

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7.78/10
Nombre d'évaluations : 408

0 Citations 205 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Ito Ogawa

Sortie France/Français : 2022-08-25

Les derniers commentaires sur ses livres

Le Restaurant de l'amour retrouvé

Coup de coeur pour ce roman d'Ogawa Ito. Quel plaisir de retrouver cette douceur, cette tendresse si caractéristique de l'auteur de la papeterie Tsubaki. C'est un livre qui se déguste d'autant plus que l'on parle tout au long des pages de gastronomie. Rinco nous fait découvrir la cuisine d'une manière si poétique que l'on en oublie le coté culinaire... Une histoire tout en émotions, en retenue, en pudeur qui raconte des tranches de vie avec simplicité et candeur. Un roman réconfortant à savourer...

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Commentaire ajouté par Etsionparlaitlecture 2024-02-14T14:50:05+01:00
La Papeterie Tsubaki

un véritable coup de coeur pour ce roman d'une délicatesse rare.

On entre dans l'univers des mots et la calligraphie, avec une poésie fine et raffinée.

On découvre le métier d'écrivain public pour qui chaque petit détail fait sens : le choix de la plume, du papier, de l'encre,de l'enveloppe…tout est mis en oeuvre pour transmettre un message subtil au destinataire de la lettre.

Le temps semble se ralentir tant la lecture, la plume de l'auteur est fluide, légère, douce ..on se sent apaisé.

Au fil des pages, on rencontre des personnages attachants, bienveillants, lumineux et touchants à la philosophie de vie tellement différente de la nôtre !

Ce livre donne envie de prendre le temps d'écrire à ses amis avec son plus beau stylo, de contempler les cerisiers en fleurs et de dire merci aux gens que nous aimons …

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Commentaire ajouté par Naosika 2024-03-08T17:03:47+01:00
Le Restaurant de l'amour retrouvé

Déjà charmée par la plume de cette autrice (« La Papeterie Tsubaki »), c’est avec enthousiasme que j’ai entamé cette lecture. En général, je sais dès les premières pages si un livre va me plaire ou pas. Très peu de roman dérogent à cette règle. C’est pourtant le cas de celui-ci… Dès le début, je retrouve l’univers épuré de cette autrice, où poésie et cuisine se mêlent à la vie de notre jeune héroïne, Rinco. Cette dernière perd la voix suite à une rupture amoureuse et rentre dans son village natal, pour ouvrir un restaurant chez sa mère avec laquelle elle ne s’entend pas.

Saison après saison, les deux femmes se réapprivoisent et Rinco reprend goût à la vie en cuisinant pour les autres. Un roman bien japonais qui revisite diverses recettes pour guérir les cœurs.

Sans être un coup de cœur, cette lecture était ressourçante et agréable. Mais alors, que s’est-il passé ? A la fin du roman, patatra. Je ne vous expliquerai pas dans le détail ce qui m’a dérangée pour ne rien spoiler, mais il se passe un évènement décrit sur de nombreuses pages qui m’a complètement traumatisée. Cela a teinté mon impression globale sur l’ensemble du livre, qu’au final je n’ai donc pas apprécié. Dommage !

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Commentaire ajouté par Loyal_as_a_book 2024-03-09T18:58:59+01:00
La Papeterie Tsubaki

Magnifique ! J'ai vraiment adoré, c'est mon premier roman d'Ogawa Ito, mais je ne compte pas m'arrêter là.

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Commentaire ajouté par cocon 2024-03-29T16:33:37+01:00
Le Restaurant de l'amour retrouvé

Une jeune femme de vingt-cinq ans perd la voix à la suite d'un chagrin d'amour, revient malgré elle chez sa mère, figure fantasque vivant avec un cochon apprivoisé, et découvre ses dons insoupçonnés dans l'art de rendre les gens heureux en cuisinant pour eux des plats médités et préparés comme une prière.

Rinco cueille des grenades juchée sur un arbre, visite un champ de navets enfouis sous la neige, et invente pour ses convives des plats uniques qui se préparent et se dégustent dans la lenteur en réveillant leurs émotions enfouies.

Un livre lumineux sur le partage et le don, à savourer comme la cuisine de la jeune Rinco, dont l'épice secrète est l'amour.

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Commentaire ajouté par moibibine 2024-03-29T18:57:06+01:00
Le Goûter du lion

roman lumineux sur un sujet sombre, que la romancière traite avec une infinie délicatesse. roman doux comme un souffle léger magnifique roman

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Le Restaurant de l'amour retrouvé

un bon moment, mais sans plus ; le personnage que l'on suit dans ce livre a des réactions auxquelles je ne m'attendais pas ; peut-être lié à la différence culturelle ; un moment parfois poétique, parfois qui tourne à l'énumération d'une recette de cuisine ; malgré tout, je me suis sentie bien dans ce livre, malgré quelques incompréhension

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Commentaire ajouté par HundredDreams 2024-04-10T19:59:37+02:00
Le Goûter du lion

Ito Ogawa est une autrice qui m'émeut, me bouleverse, m'apaise, adoucit mes peines, me console. J'aime la délicatesse et la légèreté qui transparaissent dans son écriture, la pudeur et la générosité de ses personnages, la douce lumière qui transparaît dans ses thématiques pourtant difficiles.

Cette fois-ci, je dois avouer que, même si Ito Ogawa est une autrice qui me touche, j'ai hésité avant de lire son dernier roman. La lecture doit être un moment de détente, de relâchement et non une source de malaise, d'angoisse, ou de tristesse.

Le thème de son nouveau roman est celui de la fin de vie. Tout le monde a connu, dans sa vie, des moments difficiles, maladie, deuil, autant d'épreuves qui restent gravées dans la mémoire. C'est un sujet que j'évite en littérature, trop de mauvais souvenirs envahissent alors mes pensées et me perturbent.

*

La narratrice de ce roman, Shizuku, est une jeune femme de 33 ans. Atteinte d'une forme grave de cancer, elle choisit de passer les derniers jours de sa vie près de la mer, sur la magnifique île aux citrons, dans un établissement de fin de vie, la maison du Lion. Tout est fait pour répondre aux besoins des patients, leur apporter le plus de confort possible, soulager leurs douleurs et les aider à trouver la paix.

« L'île où je me rendais ressemblait à une colline en pente douce, aux allures de meringue, une meringue légère et aérienne. Les gens du coin la surnommaient l'île aux citrons, car c'était là qu'on cultivait autrefois la majeure partie des citrons du pays. »

Avec elle, nous rencontrons d'autres pensionnaires, jeunes et moins jeunes, qui deviennent pour quelques temps, une seconde famille.

Et puis il y a la chienne Rokka, adorable petite boule de poils, qui instinctivement, va se lier à la jeune femme et va être un précieux soutien, une belle source de joie et de réconfort.

*

Les plaisirs simples de la vie, la cuisine, les repas, les promenades sur la plage, la musique, les odeurs de café torréfié, la joie de vivre de Rokka, ont une place importante dans l'histoire.

J'ai aimé goûter la chaleur du soleil sur ma peau, sentir les embruns de la mer caresser mon visage, me promener avec Rokka. J'ai apprécié toutes les petites attentions quotidiennes du personnel, des petits riens qui sont de magnifiques cadeaux pour alléger la peur et la colère de la jeune femme.

*

J'ai particulièrement aimé le cérémonial du goûter qui permet de faire connaissance avec les autres pensionnaires : en effet, les résidents ont la possibilité de rédiger une demande de dessert, accompagné d'un petit texte permettant de le reproduire le plus fidèlement possible. A travers chaque texte, se dévoile tacitement, des souvenirs d'enfance, le passé et la personnalité de celui qui l'a écrit. Il ajoute une saveur supplémentaire à la friandise qui va être dégustée.

Chaque dimanche, un dessert est tiré au sort.

« Je me suis installée à ma table habituelle près de la cheminée et j'ai attendu le début du goûter. le douhua de Takeo, les cannelés de Patron, la tarte aux pommes de Momo, les mochis de Shima. Ces goûters étaient devenus une partie de mon corps, une partie de mon âme. »

Ce moment, très attendu, à la fois intime, chaleureux et apaisant, offre aux pensionnaires un moment de convivialité et de partage. Un moment qui mêle la gourmandise et la douceur de la vie, une part de soi et un souvenir qu'on laisse aux autres.

J'ai souri lorsque le cannelé a été choisi par un des pensionnaires.

« C'est dans un café, à Paris, que j'ai mangé le premier cannelé de ma vie. C'était un pur délice. C'était un goût que je n'avais jamais rencontré au Japon, un goût que l'on apprend à aimer une fois adulte. A cet instant, je me suis juré d'avoir un jour un café à moi, de devenir un expert en café, un maître en la matière, capable de préparer un café qui se marierait à la perfection aux cannelés. »

Je me suis forcément demandée quel gâteau j'aurais choisi à la place de Shizuku. Je suis très gourmande, mais je pense que j'aurais finalement choisi le Russe, qui comme son nom ne l'indique pas, est originaire du sud de la France, d'Oloron-Sainte-Marie plus exactement. C'est une pâtisserie très fine et légère, qui se compose de trois couches de biscuits moelleux, garnies d'une crème onctueuse au praliné, saupoudrée de sucre glace.

*

Le décor, planté au coeur de l'île de Seto, apporte également une ambiance paisible et contemplative, à l'image de la couverture du roman. Les paysages baignés de lumière, la mer et sa large palette de couleurs sont d'une beauté saisissante.

*

Ito Ogawa livre, dans un style empreint de poésie, de sobriété et de pudeur, une profonde réflexion sur la maladie, la souffrance et la mort. Il y a bien sûr des sentiments de colère, d'incompréhension, d'injustice, mais aussi des liens de confiance et d'estime qui se créent.

C'est une histoire qui parle également de la vie et de l'amour, de l'importance des relations humaines, du réconfort que procurent des plaisirs simples, de la famille et des souvenirs qui perdurent après la mort.

« le plus important, c'est de vivre l'instant présent. de le ressentir à travers son corps. Voir, toucher, sentir, goûter, avec ses yeux, ses mains, sa langue, et en être émue… »

On ressent la sensibilité d'Ito Ogawa dans ces beaux moments de paix, ces phrases lumineuses qui transcendent subtilement la douleur de la maladie, et l'acceptation progressive de la mort.

« Inspirez le malheur de toutes vos forces, transformez l'air que vous expirez en gratitude, et votre vie brillera bientôt. »

J'ai parfois craint que l'autrice tombe dans la mièvrerie, mais elle a habilement évité cet écueil.

Si un sentiment de tristesse et de nostalgie a assombri mes pensées pendant cette lecture, le ton calme, posé, réconfortant, sincère a déposé un voile d'apaisement sur mes émotions, m'invitant à apprécier pleinement chaque instant de ma vie avant qu'elle ne s'achève.

« Avant de faire la connaissance de Momo, j'avais les yeux rivés sur la mort, alors même que j'étais encore en vie. Je croyais que c'était cela, accepter de mourir. Mais elle m'a fait comprendre qu'accepter la mort, c'était aussi accepter son désir de vivre, de vivre le plus longtemps possible. Cela a été une véritable révélation pour moi. »

*

Pour conclure, « le goûter du lion » est un livre sombre mais lumineux, grave mais tendre, triste mais doux, pudique mais honnête, émouvant mais sans affectation outrancière. Dans ce roman, l'écriture d'Ito Ogawa explore des sujets douloureux et graves tout en déployant une nouvelle fois toutes les qualités que j'aime chez cette autrice, explorant le caractère dramatique de l'histoire avec simplicité, poésie, et finesse.

Tout cela fait de ce roman une ode à la vie, une histoire délicate et touchante que je vous invite à découvrir.

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Le Restaurant de l'amour retrouvé

Si tu étais déjà là il y a quelques années, alors tu te souviens peut-être que j’ai lu *La Papeterie Tsubaki* d’Ito Ogawa à l’été 2021. Mais cette lecture n’avait finalement pas été concluante. J’appréhendais donc un peu mes retrouvailles avec l’autrice lorsque j’ai appris que *Le Restaurant de l’Amour Retrouvé* avait été choisi pour la lecture commune du bookclub Patreon d’Alex Bouquine en Prada.

Et finalement, si cette seconde confrontation fut bien plus agréable que la première, je ne peux pas non plus dire avoir passé un très bon moment de lecture avec *Le Restaurant de l’Amour Retrouvé*.

—Une dégustation mitigée pour Le Restaurant de l’Amour Retrouvé—

Le plus gros problème de cette histoire tient (à mon sens) dans les réactions de l’héroïne, pour lesquelles j’ai souvent eu beaucoup de mal à comprendre. Elle est extrêmement passive et spectatrice de sa propre vie - en particulier dans le premier quart du roman, où j’ai plusieurs fois eu envie de la secouer pour obtenir un minimum de réaction de sa part. Certains évènements, annonces ou bouleversements semblent la laisser de marbre, et même pire : elle ne tente rien pour arranger les choses.

De même, certaines thématiques m’ont semblé très survolées alors qu’elles appelaient clairement à un approfondissement, en particulier pour ce qui concerne la relation mère/fille - sujet primordial dans *Le Restaurant de l’Amour Retrouvé*, mais qui n’est presque pas développé (même si l’autrice se rattrape un peu dans les dernières pages, mais c’est à mon sens trop tard, et les soudaines révélations paraissent alors tomber comme un cheveu sur la soupe).

Je redoutais également ce pour quoi le roman est très critiqué dans la plupart des avis que j’ai pu lire : une scène de maltraitance animale très descriptive. Et en effet, si j’arrive à prendre du recul sur ce genre de passage ultra-violent, je dois dire qu’il m’a tout de même assez choquée - que ce soit parce qu’il semble ne jamais prendre fin ou parce qu’il n’était absolument pas justifié (ou en tout cas que l’explication ne tenait pas debout).

J’ai eu l’impression que l’autrice cherchait à choquer gratuitement et à mettre une certaine violence dans son récit, mais qui contrastait beaucoup trop avec le côté placide des personnages. J’ai d’ailleurs été tout autant marquée par une autre scène, ou l’héroïne fait une découverte un peu particulière dans le frigo (celles et ceux qui l’ont lu comprendront), et qui m’a laissé sans voix d’incompréhension. Ça ne m’a pas empêché de dormir la nuit, mais je comprends aussi totalement que certaines personnes ne l’aient pas supporté.

Mais alors, qu’est-ce qu’il y avait de positif dans cette lecture ? C’est simple : la nourriture. J’ai adoré toutes les descriptions de recettes, de dégustations et de recherches qu’il y a autour quand l’héroïne se creuse la tête pour trouver LE plat qui fera la différence. Ça donne franchement l’eau à la bouche. J’ai d’ailleurs tout autant apprécié faire la rencontre des clients qui vont venir dîner au restaurant, leurs histoires, leurs soucis et leurs espoirs. C’était très doux, cosy, bienveillant et enveloppant. Une vraie réussite pour cette partie, qui constitue heureusement la majorité du roman !

—En bref—

En bref, *Le Restaurant de l’Amour Retrouvé* d’Ito Ogawa fut une lecture mitigée - notamment à cause du manque de réactions de l’héroïne, de certaines thématiques trop survolées et de scènes choquantes. Mais j’ai en revanche été particulièrement séduite par tout ce qui touche à la nourriture, que ce soit l’élaboration des recettes ou la rencontre de ceux qui les dégustent. Ce roman donne l’eau à la bouche !

https://desrevesdanslamarge.com/le-restaurant-de-lamour-retrouve-ito-ogawa/

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Commentaire ajouté par cardio 2024-05-11T07:08:51+02:00
Le Goûter du lion

Une pèpite 💜💜💜

Écriture Sublime 💜💜💜

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Dédicaces de Ito Ogawa
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Éditions Picquier : 10 livres

À vue d'œil : 1 livre

Le Livre Qui Parle : 1 livre

Éditions Philippe Piquier : 1 livre

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