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Catherine David

Auteur

46 lecteurs

Activité et points forts

Biographie

Catherine David, romancière et éditrice, et Françoise Bouron, docteure en histoire, ressuscitent avec Babylone – Le réveil des passions l’une des périodes les plus mystérieuses de cette civilisation oubliée.

Source/Éditions XO

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Nombre d'évaluations : 14

0 Citations 9 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Catherine David

Sortie France/Français : 2022-10-27

Sortie Poche France/Français : 2024-07-11

Les derniers commentaires sur ses livres

Sommes-nous seuls dans l'univers ?

J'ai vraiment hâte de l'avoir :)

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Sommes-nous seuls dans l'univers ?

Ce livre m'a ouvert les yeux sur ce qui nous entoure. Il m'a aussi persuadé que les " extraterrestre " ne sont pas forcément de la science fiction.

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Sommes-nous seuls dans l'univers ?

J’ai lu ce livre en octobre 2000, alors que je faisais partie du comité de lecture d’une médiathèque en milieu hospitalier, ce qui explique la concision du commentaire que j’en ai fait alors, destiné à être édité sur une fiche accompagnant le livre et à l’usage des bibliothécaires (bénévoles) que j’ai accompagnés pendant dix ans au chevet des malades :

« Pour qui s'intéresse à ce sujet, ce livre est passionnant. On peut supposer qu'il résume la pensée des hommes de sciences de cette fin de XX° siècle : Une vie intelligente extraterrestre ? "Possible mais peu probable !". Pour étayer le peu de chance que l'on a d'entrer en contact avec elle, on se reportera au paradoxe de Fermi bien explicité et au calendrier cosmique qui démontre à quel point il est peu probable que nous soyons à l'heure pour un rendez-vous. Les textes très clairs, s'adressent à un large public mais le sujet traité ne s'adresse qu'à des amateurs avertis et curieux. Dans tous les cas un livre qui provoque la réflexion ! »

A l’occasion du livre “Nos premières fois” de Nicolas Teyssandier (2019), il m’est revenu à l’esprit le calendrier cosmique décrit dans cet ouvrage-ci. J’en parlais à mon petit-fils de seize ans lui racontant le souvenir que j’avais de ce livre-là, il parut très intéressé et comme dans ces cas là il faut battre le fer tant qu’il est chaud et sauter sur l’occasion de le sortir de son smartphone, je me suis mis en quête de retrouver un exemplaire de ce document qui commence à se faire rare. Mais avant de le lui donner à lire je tiens à le reparcourir pour voir comment il a vieilli.

Spoiler(cliquez pour révéler)Donc quatre astrophysiciens s’expriment sur l’hypothèse d’une vie intelligente extraterrestre :

Jean Heidmann :

C’est un scientifique, il ne “croit” pas à l’existence d’extraterrestres. N’ayant aucune preuve scientifique, il ne peut rien affirmer dans ce domaine. Il “subodore”. C’est cette preuve qu’il cherche en écoutant le silence assourdissant du cosmos à l’aide de son radiotélescope géant de Nançay, près de Vierzon : « Nous cherchons des indices de technologies plus avancées que la nôtre. Si nous découvrons par exemple des ondes modulées d’une étrange façon, contenant une information nouvelle pour nous, nous pourrons avancer l’hypothèse que ces signaux émanent d’une intelligence. »

Mais comme pour le livre “Nos premières fois”, dans ce domaine également le TEMPS joue un rôle primordial. On peut envisager envoyer un message radio et espérer une réponse : « Les Américains ont imaginé d’adresser un message par l’intermédiaire du radiotélescope d’Arecibo. […] À qui l’adresser ? Les astronomes ont finalement choisi un amas globulaire constitué d’une centaine de milliers d’étoiles à une distance de treize mille années-lumière… » On peut donc espérer une éventuelle réponse dans… vingt-six mille ans ! Il est à parier qu’on aura oublié la question !...

Alfred Vidal-Madjar :

Directeur de recherches au CNRS, chercheur à l’Institut d’astrophysique de Paris et professeur de physique à Polytechnique, il se trouve aux avant-postes de l’observation des nouvelles planètes.

C’est ainsi qu’en observant toute la jeune étoile Bêta Pictoris (cent millions d’années) distante de soixante-six années-lumière et entourée d’un nuage de poussières, révélateur d’un système planétaire en formation, on pu mettre en évidence l’existence d’au moins une exoplanète (1984). Les conséquences sont énormes « beaucoup de gens n’ont pas encore réalisé l’importance de cette découverte : l’existence avérée d’une seule planète, relativement proche de nous, et maintenant de plusieurs dizaines d’entre elles, a multiplié tout d’un coup par plusieurs milliards la probabilité qu’il existe, quelque part dans notre Galaxie, un autre monde habitable ! »

Alors, cela signifie-t-il que nous avons de grandes chances d’y trouver de la vie ? « On pourrait le penser. D’autant plus que notre Système solaire et notre planète n’ont vraiment rien d’original. Nous sommes même dans un environnement terriblement banal. […] Sommes-nous la plus grosse planète, ou la plus petite ? Ni l’un ni l’autre. […] Le Soleil est une étoile assez moyenne. […] Il est au milieu de sa vie. […] Notre Galaxie est-elle exceptionnelle ? Non, […] C’est une galaxie très ordinaire. […] Si notre situation est tellement banale, les conditions de la vie peuvent se retrouver partout. »

Au passage, notons qu’en août 2018, 3 815 exoplanètes ont été confirmées dans 2 853 systèmes planétaires…

Mais alors compte tenu des milliards d’exoplanètes qui restent encore à découvrir, probablement que la vie doit pulluler et qu’immanquablement d’autres civilisations doivent exister ?

J’ai hésité à développer la pensée de Alfred Vidal-Madjar, mais si vous lisez ces lignes c’est que vous souhaitez en savoir plus, tout en ne voulant pas lire l’ouvrage.

Donc là se place la référence au calendrier cosmique (dont il faudrait, peut-être, modifier quelques chiffres) : « Le principe est simple : supposez que l’âge de l’univers, d’environ quinze milliards d’années, soit réparti sur une seule de nos années. Ainsi le big-bang à lieu le 1er janvier à 0 heure, 0 minute, 0 seconde, et nous sommes le 31 décembre à minuit pile. Dans ce schéma les premiers mois sont occupés par la formation des galaxies. Dès avril ou mai, dans les grandes lignes, notre Galaxie est achevée. […] Le Soleil apparaît donc vers le 13 septembre, et le Système solaire se met en place très rapidement : Jupiter se forme en quelques heures du calendrier cosmique, puis la Terre, en quelques jours. Disons que tout le Système solaire est quasiment bouclé en une semaine… Et la Terre commence à mener sa petite vie. Les fossiles des premiers êtres vivants connus datent de la fin septembre, ou du début octobre. […] Et c’est ainsi qu’il y a environ six cents millions d’années sont apparus des êtres multicellulaires – soit vers le 15 décembre selon le calendrier cosmique. […] Les dinosaures commencent le 26 décembre leur long règne de cent soixante millions d’années – soit plus de trois jours, une durée considérable ! […] Et notre civilisation ? Elle commence dans les dix dernières secondes du dernier jour de l’année ! »

C’est bien joli tout ça, mais à quoi servent ces élucubrations ? Notre ami Alfred Vidal-Madjar nous explique que ça sert à prendre la mesure du temps, à prendre conscience de notre place dans l’échelle du temps et que cette place est insignifiante. Mais le véritable impact du calendrier cosmique se fait sentir quand on le prolonge dans l’avenir. Que se passera-t-il après le 31 décembre ?

Que se passera-t-il pendant la première seconde du 1er janvier suivant ? Une seconde représente cinq cents ans ! « On peut raisonnablement prédire que l’humanité aura colonisé toutes les planètes du Système solaire. »

Pour faire court, considérant l’accélération exponentielle des progrès techniques, et si nous ne nous autodétruisons pas, où en serons-nous dans mille ans, dans cent mille ans, dans cinquante millions d’années ? « Admettons donc que tous les mille ans les hommes colonisent un nouveau système planétaire. Mais dites-moi : combien de temps à ce rythme, mettrons-nous pour aller dans toutes les étoiles de la Galaxie ? […] Il faut environ cinquante millions d’années. » Soit une journée du calendrier cosmique.

Et c’est là qu’intervient le paradoxe de Fermi :

Notre étoile est relativement jeune, dans notre Galaxie, supposons qu’il existe dans l’univers une planète qui soit née deux jours cosmiques avant la Terre, ce qui tout à fait envisageable. Les lois de la physique étant les même partout dans l’univers, on imaginer le développement d’une civilisation avancée sur cette planète jumelle de la Terre. Si une telle civilisation nous a précédé, ne serait-ce que d’une seule journée cosmique, comment ce fait-il qu’elle ne soit pas arrivée jusqu’ici ? Jean Heidmann devrait être débordé, or ils ne sont pas là et l’espace est silencieux !

Nicolas Prantzos :

Chargé de recherches au CNRS et membre de l’Institut d’astrophysique de Paris, ce brillant universitaire est un fervent défenseur de l’aventure spatiale : « Le plus important […] est qu’elle nous a permis de mieux connaître notre propre planète. Les milliers de satellites qui sont actuellement en orbite autour de la Terre, à diverses altitudes, nous permettent de recueillir une incroyable quantité d’informations sur nous-même. Ils servent aux télécommunications (radio, télévision, téléphonie), à la navigation (GPS), à la météorologie… » De même il est convaincu de la nécessité de se rendre sur Mars et d’envisager sa terraformation afin de la rendre habitable : « Cela s’avèrera peut-être un jour très précieux si la Terre est détruite par l’homme […] ou par une collision avec une comète ou un astéroïde. » Mais raisonnablement une telle transformation ne peut se faire qu’à l’échelle du millénaire. L’aventure spatiale répond à des impératifs technologiques mais également budgétaires : Quels bénéfices peut-on en tirer ? Dans l’état actuel des connaissances, l’un des intérêts majeurs des voyages spatiaux serait l’exploitation des ressources des astéroïdes, transformant les astronautes en mineurs de l’espace.

Les propulseurs à fusion nucléaire semblent prometteurs pour assurer les futurs voyages spatiaux, mais ile utilisent de l’Hélium-3, absent sur la Terre mais présent en quantité colossales dans l’atmosphère des géantes gazeuses (Jupiter, Saturne) son exploitation pourrait subvenir à nos besoins énergétiques pendant des milliards d’années !

Enfin, depuis qu’Homo sapiens à quitté son Afrique originelle, il n’a jamais cessé de s’étendre et de conquérir de nouveaux espaces, par curiosité, par instinct. Comme disait Konstantin Tsiolkovski « La Terre est le berceau de l’humanité, mais on ne vit pas dans son berceau toute sa vie », rappelle Nicolas, et si on lui demande s’il pense qu’il existe une autre intelligence, ailleurs, dans l’univers, il répond que c’est tout à fait possible, qu’il aimerait bien que ce soit le cas, mais qu’il est prêt à parier que non ! Et pourquoi ? Toujours à cause de ce sacré paradoxe de Fermi, encore lui : « Notre Soleil est né il y a 4,5 milliards d’années mais à cette époque notre Galaxie avait déjà huit milliards d’années. La vie avait eu largement le temps d’éclore ailleurs et d’arriver jusqu’ici. […] Si plusieurs civilisations ont vraiment émergé, au moins l’une d’entre elles aurait déjà dû arriver jusqu’ici. Or nous n’avons, jusqu’à présent, aucun indice d’une telle visite. »

Hubert Reeves :

Wikipédia nous dit : Hubert Reeves, né le 13 juillet 1932 à Montréal, est un astrophysicien, vulgarisateur scientifique et écologiste québécois. Ayant commencé sa carrière en tant que chercheur en astrophysique, il pratique aussi la vulgarisation scientifique depuis les années 1970 et s'avère aussi un militant écologiste depuis les années 2000.

Ajoutons qu’il est entré au CNRS en 1965 et qu’en 1978, son livre de vulgarisation “Patience dans l’azur” le propulse dans la célébrité avec un million d’exemplaires vendu en vingt ans : « À la télévision, avec sa barbiche blanche, son caractère enjoué et bienveillant, le vieux sage fait un malheur. »

Il est intéressant de noter d’autres formes de vie que celle que nous connaissons, ainsi « on a découvert, il y a quelques années, dans l’obscurité des fosses océaniques, près des fumerolles volcaniques, des formes de vie très différentes de celles que nous connaissons. Ce sont de longs tubes mous et colorés, collés comme des ventouses sur la roche, qui foisonnent à des températures supérieures à cent degrés Celsius. Ils obtiennent leur énergie par oxydation des molécules sulfurées des fumerolles sous-marines. […] Et on vient de découvrir encore une nouvelle forme de vie à quelques kilomètres sous terre : des bactéries qui vivent dans des interstices rocheux. […] elles produiraient leur énergie en en fabriquant de la rouille. […] Ces découvertes de l’élargissement des modes d’extraction de l’énergie biologique ouvrent de nouveaux horizons pour la possibilité de vie extraterrestre. » Dans le même ordre d’idée on a découvert dans des insectes emprisonnés dans des pierre d’ambre datant de plusieurs dizaines de millions d’années, des bactéries qu’il a été possible de réanimer ! De là à imaginer que des bactéries, bien insérées dans une météorite, aient pu effectuer des voyages interplanétaires de plusieurs millions d’années, il n’y a qu’un pas !

En 1970, Jacques Monod, écrit dans “Le Hazard et la Nécessité” que l’apparition de la vie serait un phénomène tellement extraordinairement improbable qu’il n’aurait pu se produire qu’une seule fois… Mais depuis cette époque un certain nombre de faits ont ébranlé cette conviction :

- Des chimistes américains ont simulé les conditions terrestres initiales dans une enceinte fermée contenant de l’eau, de l’oxygène, de l’hydrogène, du carbone et de l’azote, ils ont irradié le tout avec des décharges électriques pendant plusieurs jours. Et ils ont observé l’apparition de molécules d’acide aminé que l’on trouve dans la composition des protéines.

- Dans l’espace, la densité des du nombre d’atome est très faible. En conséquence la probabilité, par exemple, pour que deux atomes d’hydrogène rencontrent un atome d’oxygène pour former une molécule d’eau est très faible. L’observation au radiotélescope a montré, contre toute attente, que l’espace fourmille de molécules complexes comportant toutes du carbone.

- Enfin, sur certaines météorites carbonées tombées du ciel, on trouve près d’une centaine d’acide aminés. Huit d’entre eux se trouvent dans la constitution des protéines.

Notre ami Hubert Reeves est à la fois philosophe et incorrigible optimiste, il trouvera toujours mille et une raisons pour faire fi des oppositions façon Jacques Monod ou Enrico Fermi « Je crois que, dans notre état d’ignorance, il y a de la place pour une grande variété d’opinions. Il faut rappeler encore une fois combien notre imagination est limitée ! […] Nous pouvons nous attendre à beaucoup de surprises encore… »

Et bien, après relecture, je peux dire que vingt plus tard ce livre n’a rien perdu de son caractère PASSIONNANT, je l’ai même redécouvert comme s’il était fraichement sorti des presses. Bon, on est passé de 30 à 4000 exoplanètes et sans doute plus à l’instant où j’écris ces lignes, mais cela ne change rien au problème. Que je sache, nous n’avons toujours pas la preuve de l’existence de vie intelligente extraterrestre et donc « S’il s’avère que nous sommes seuls dans l’univers, nous devons faire face à une formidable responsabilité : préserver aussi longtemps que possible cette unique expérience “réussie” de la nature, la répandre dans le reste de l’univers, et tenter d’y faire quelque chose de bien. »

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L'Homme qui savait tout, le roman de Pic de la Mirandole

Pic de la Mirandole (1463-1494) était un philosophe et humaniste italien qui, très jeune, força l'admiration de ses pairs dans toute l'Europe par son érudition et sa capacité à discuter de tous les systèmes philosophiques et religieux connus (ou méconnus) en cette fin du XVe siècle. Il rêvait de réaliser une synthèse entre les thèses de Platon et celles d'Aristote. Ce roman très documenté nous raconte sa vie et en particulier la confrontation qu'il eut (ou qu'il put avoir) avec Savonarole lorsque celui-ci appela les Florentins à brûler les "mauvais" livres. Humanisme contre fanatisme, cette histoire n'est pas sans échos encore aujourd'hui.

Quand au résultat,Je suis mitigé.Certains aspects m'ont beaucoup plu: les éléments historiques et culturels, l'atmosphère effrayante de la ville sous la coupe de Savonarole, le parti-pris de l'auteur en faveur de l'humanisme.

D'autres m'ont déçu: la construction en flash-back, les dialogues parfois naïfs

Tout cela reste intéressant tout de même.

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Babylone, Tome 1 : Le Réveil des passions

Un roman entre thriller et saga historique qui nous entraine dans les entrailles d'une Babylone passionnée et sulfureuse. Ce dernier point et le titre du roman colle à merveille à l'histoire, car on y découvre la passion sous toutes ses coutures, parfois même un peu trop dérangeante. Néanmoins, la partie historique, les coutumes et les illustrations accompagnant ce roman sont très enrichissantes.

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Babylone, Tome 1 : Le Réveil des passions

Dans ce livre raconté à la 3e personne, nous suivons de nombreux personnages. Chaque chapitre est centré sur un personnage :

- le scribe et sa fille

- le général

- le roi, la reine, le prince

- un armateur

- des conspirateurs

- des prêtres...

On suit à la fois quelques évènements historiques (un coup d'état) et une histoire d'amour, ainsi qu'une "enquête" policière car des meurtres se succèdent.

L'originalité du livre est qu'il se passe à Babylone, à l'Antiquité, c'est un monde qu'on a peu l'habitude d'explorer.

L'auteur nous donne beaucoup de descriptions des lieux, des odeurs, de la cuisine, des vêtements... Ca donne envie d'y être.

Le gros point négatif, c'est que le roman reste très superficiel. Les chapitres ne font que 3-4 pages. On nous décrit des évènements forts (meurtres, guerre, scènes de sexe, etc.) mais sans jamais rentrer dans les détails, tous les évènements importants sont expédiés en 10 lignes. On ne s'attache pas aux personnages non plus, on lit ce roman de très loin sans s'y impliquer.

L'enquête policière n'est pas résolue à la fin. L'histoire d'amour est fade et peu crédible. On a tendance à s'ennuyer.

C'est dommage car le cadre a pris le pas sur l'intrigue.

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Babylone, Tome 1 : Le Réveil des passions

J'ai choisi ce livre parce que j'avais très envie de lire un polar historique. Le problème c'est que ce n'est absolument pas un polar.

Les meurtres ne sont qu'une petite partie de l'histoire et en réalité personne enquête vraiment. Donc pour moi le résumé est plutôt éloigné du livre. En réalité il est question de complots politiques.

D'ailleurs j'ai plutôt aimé être plongée dans la politique babylonienne. Il y a plein de personnages et les descriptions sont superbes.

Malheureusement je n'ai pas accroché aux personnages. Et le rôle des personnages féminins m'a pas mal posé problème. Ça me fatigue qu'en 2020 on trouve encore normal de sexualiser le corps d'une jeune fille qui "va sur ses quinze ans". Alors c'était peut être comme ça à l'époque mais maintenant je pense qu'on peut faire mieux qu'un couple entre une enfant qui n'est jamais sortie de chez elle et un général qui est passé par toute les prostitués de l'empire. Pour une femme en recherche d'émancipation je m'attendais aussi à mieux qu'une gamine qui est enfermée la moitié du livre et qui attend de se faire délivrer. Le personnage de la reine avait beaucoup de potentiel et j'aurai aimé qu'elle ne passe pas pour la femme superficielle et méchante.

En réalité tous les personnages féminins sont nuls c'est dommage il y avait tellement mieux à faire.

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Babylone, Tome 1 : Le Réveil des passions

Une fresque historique captivante aux ruelles envoûtantes.

Quand on a une Pile-à-Lire tellement énorme qu'on se demande s'il ne va pas falloir déménager pour pouvoir lui laisser de la place, il y a des opérations à éviter. Bon, autant vous le dire tout de suite : je suis tombée en plein dans celle de Pocket de l'été : 2 + 1. Babylone, Le Réveil des Passions a donc été acheté dans ce cadre. Sa couleur a tout de suite attiré mon œil et son résumé m'a paru bien prometteur. Babylone, meurtres, complots et amour, que demander de plus ?

Dès les premières pages, Babylone, Le Réveil des Passions nous plonge dans l'atmosphère envoûtante de la cité millénaire. Catherine David et Françoise Bouron nous offrent un voyage captivant dans le VIe siècle avant Jésus-Christ, où la rumeur gronde et les passions s'éveillent. La richesse historique du roman est indéniable, transportant le lecteur dans les ruelles de Babylone, au cœur de ses luttes de pouvoir et de ses mystères.

Sans être un coup de cœur, j'ai bien apprécié ce roman dont la force tient dans la richesse historique. À sa lecture, j'ai été transportée dans les rues babyloniennes, à la découverte d'une cité d'un autre temps aux côtés de ses habitants. On y fait la rencontre de nombreux personnages dont Yasîm ou encore Laliya, une jeune femme très attachante et éprise du beau général Nungal.

Les auteures nous font découvrir une galerie de personnages intrigants et attachants. Yasîm et Laliya se démarquent par leur force et leur détermination. Leurs parcours entrelacés avec ceux d'autres protagonistes, tels que le roi malade Nériglissar, la reine conspiratrice Kassaia et le prince fou Lâbâsi-Marduk, tissent une trame complexe où se mêlent amour, ambition et trahison. Les relations entre les personnages sont habilement développées, ajoutant une dimension émotionnelle à l'intrigue.

Mais ce qu'ils ne savent pas, c'est à quel point la cité mésopotamienne est sur le point de basculer : le roi guerrier Nériglissar est mourant et se pose plus que jamais la question de sa succession. L'accès au trône de son fils Lâbâsi-Marduk, atteint de profonds troubles mentaux, pourrait détruire tout ce qu'il a construit. Mais Kassaia, la reine-mère, semble bien déterminée à ce que son fils devienne roi, lui, le descendant du grand roi Nabuchodonosor ! Au milieu de ces conflits politiques, le peuple gronde : des cadavres sont retrouvés, terriblement mutilés… Les dieux sont en colère ! Quel rôle Yasîm, Laliya et Nungal vont-ils tenir ? Babylone s'écroulera-t-elle ?

L'intrigue politique et les enjeux de pouvoir sont au cœur du récit. Les auteures nous plongent dans les intrigues de la cour babylonienne, où complots, manipulations et trahisons s'entremêlent. Les mystérieux meurtres qui surviennent dans la cité ajoutent une tension palpable, faisant planer le doute sur l'origine divine ou humaine de ces crimes abjects. Les personnages principaux se retrouvent au cœur de ces événements, confrontés à des choix difficiles qui auront des conséquences sur l'avenir de Babylone.

J'aurais aimé un roman plus tourné sur le thriller et le politique que sur la romance. Non pas que je n'apprécie pas les romances, c'est juste qu'au moment de cette lecture, ce n'est pas ce que je voulais lire. Et il faut dire que le début était plutôt accrocheur avec un bon suspense !

L'aspect romance du roman, bien que présent est trop en retrait malgré une bonne accroche des premières pages, où le suspense prédominait et laissait présager une intrigue plus tournée vers le thriller politique.

Arrivée à la moitié, j'ai progressivement décroché, au fur et à mesure que la romance prenait le pas. Et le roman souffre d'une certaine linéarité, au point d'en devenir trop prévisible. Cela donne une lecture convenue mais malgré tout agréable.

Face à l'évolution du récit, j'ai ressenti une légère déception en constatant la prédominance de la romance qui a conduit à une certaine linéarité. Cette prévisibilité a atténué l'effet de surprise et le potentiel d'intrigue plus intense. Toutefois, malgré ces quelques réserves, la lecture reste agréable grâce à la richesse historique et à l'atmosphère immersive de Babylone.

Conclusion

Babylone, Le Réveil des Passions est un bon roman, à l'histoire prenante et bien amenée. La fresque historique permet une immersion captivante dans la civilisation mésopotamienne et ses conflits de pouvoir et invite les amateurs d'histoire et d'intrigues à la découverte.

https://flowerpanda04.wixsite.com/pandaflower/single-post/%C3%A9-de-catherine-david-et-fran%C3%A7oise-bouron

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Dédicaces de Catherine David
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

Seuil : 4 livres

Actes Sud : 3 livres

Pocket : 3 livres

LGF - Le Livre de Poche : 2 livres

Calmann-Lévy : 2 livres

Maisonneuve & Larose : 2 livres

XO Editions : 2 livres

Robert Laffont : 1 livre

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