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Maël

Auteur

35 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par Lilou 2010-10-18T19:44:12+02:00

Biographie

Martin Leclerc, dit Maël, nait pas très loin de Grenoble sous les chutes de neige d'avril 1976.

Maël a 33 ans. Il vit à Grenoble. Chanteur et musicien, il est le leader du groupe folk-rock HitchcockGoHome ! Dessinateur et auteur de bande dessinée, il a déjà publié dans la collection « Aire Libre », chez Dupuis, Les Rêves de Milton (deux tomes, avec Sylvain Ricard et Frédéric Féjard) et L'Encre du passé (en collaboration avec Antoine Bauza). Quelque temps auparavant, il publia Dans la colonie pénitentiaire, d'après Kafka, chez Delcourt. 2009: Notre-Mère la guerre, tome 1, scénario de Kris, éditions Futuropolis.

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7.57/10
Nombre d'évaluations : 23

0 Citations 11 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Maël

Sortie France/Français : 2014-11-06

Les derniers commentaires sur ses livres

Notre mère la guerre, Tome 1 : Première complainte

Bon la BD c'est pas mon truc.

J'ai apprécié ici les dessins qui sont percutants et très réalistes. On y voit la guerre comme si on y était.

Mais ce scénario m'a paru tout à fait insolite. Envoyer le lieutenant Vialatte enquêter dans les tranchées sur les assassinats de jeunes femmes dans le même périmètre, ça me semble abérant.

Croyez-vous qu'il n'y a pas d'autres chats à fouetter ?

Enfin, on fait ici la connaissance d'une escouades de gamins tous enrôlés comme ayant 21 ans alors qu'ils en ont 16 ou 17. On les a sortis de leur prison pour en faire de la chair à pâté et ils sont fortement soupçonnés de ne pas être étrangers aux crimes.

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Notre mère la guerre, Tome 2 : Deuxième complainte

Tome 2 du titre. Vialatte continue à recueillir de dérisoires indices.

D'autres femmes sont assassinées.

Ses soupçons semblent se porter aussi sur le Capitaine Janvier dont la dernière victime lui était très attachée.

Jolicoeur a pu être ramené dans sa tranchée mais une attaque se déchaîne à cet instant précis, qui sortira vivant et quel sera le dénouement d'une telle histoire ?

RV au tome 3.

Quant à moi, je pense que je vais revenir à des lectures plus classiques je n'ai pas suffisamment d'appétance pour ce genre de bouquins.

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Commentaire ajouté par Sheldie 2014-11-03T17:18:20+01:00
Entre les lignes

Encore une fois Maël nous subjugue par la beauté de ses planches. Il est aussi ici à l'écriture, de petites scènes de la vie des tranchées, à quelques histoires très joliment peintes, le tout ne manquant pas de poésie, cette oeuvre est magnifique.

À lire.

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Commentaire ajouté par Sheldie 2014-11-15T15:03:22+01:00
Notre mère la guerre, HS : Chroniques

Kris et Maël font un dernier adieu aux personnages de Notre mère la guerre en racontant la vie de ceux qui leur ont inspiré leur histoire, c'est extrêmement bien écrit (Kris est un auteur merveilleux), les dessins portent très bien les sujets, bref une BD essentielle, qui nous ramène aux origines de la saga éponyme.

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Commentaire ajouté par maudi33 2014-12-26T21:47:23+01:00
L'encre du passé

Belle histoire, poétique, simple et efficace. Illustrations plaisantes.

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Commentaire ajouté par MiLn 2017-01-01T10:35:32+01:00
Revenants

"Revenants" raconte le tournage du film documentaire d’Olivier Morel sur les soldats américains de retour d’Irak, le difficile retour à une vie normale...

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Notre mère la guerre, Tome 1 : Première complainte

Comment aborder la Der des Ders, la Grande Guerre, d’une autre manière ?

Comment nous faire traverser les tranchées, aborder le No man’s land, éviter les corps morts, patauger dans la boue, bref, comment nous faire revivre cela une fois de plus sans que cela fasse déjà-vu ?

Non pas que je sois blasée, c’est impossible, il y a tant à dire, mais je connais les gens, il le sont vite, eux, blasés.

Il suffisait d’y penser : nous faire entrer dans la Grande Guerre à reculons, à petits pas, puisque nous enquêterons avec le lieutenant de gendarmerie Roland Vialatte sur des meurtres de femmes commis non loin des tranchées, dont un dans une tranchée.

On a bien fusillé un soldat qui avait eu des mots avec la première victime, sans sa poser la question de savoir s’il était coupable ou non, fallait juste un exemple, un mort pour prouver aux autres que les chefs, c’étaient pas eux et qu’ils avaient intérêt à se tenir à carreau, nom de dieu.

Pas de bol, juste après avoir fusillé le coupable, d’autres meurtres de femmes ont eu lieu… Alors, on fait venir un gendarme pour enquêter, sans doute pour éviter d’en fusiller encore, des innocents à grande gueule.

L’album commence lui-même d’une manière non conventionnelle : un soldat chantonne ♫ Je suis petit oiseau, c’est la faute à Rousseau ♪ alors qu’il est blessé gravement par des balles, puis, on avance dans le temps (1935) et on passe sur le lit de mort d’un certain Roland qui nous raconter une histoire…

Le scénariste a fait en sorte de nous plonger de manière réaliste dans la Première Guerre Mondiale, avec ses soldats dont certains étaient fait de bric et de broc, sortis des prisons, ou alors des gamins encore humides derrière leurs oreilles…

Entre les gradés qui se planquent, qui ne risquent rien mais qui jouent avec la vie de leurs soldats, pour quelques arpents de terre Française, le froid, la boue, la pluie, le manque de sommeil, la folie qui guette chacun, le tout passera dans le récit, faisant de Roland un spectateur malgré lui, lui qui est resté à l’arrière pendant que d’autres mourraient devant.

Des dessins qui sont des aquarelles, ça donne une majesté à un récit qui n’avait besoin que de ça pour se sublimer encore un peu plus. J’ai même eu l’impression que, une fois de plus, l’enquête n’était qu’un prétexte pour dénoncer les imbécilités et les horreurs qui eurent lieu durant celle que l’on pensait être la dernière.

L’ambiance n’est pas aux tons chaleureux, vous vous en doutez, le tout est dans des gris froids, glacés. Normal, il fait un temps à ne pas mettre un Poilu dehors, ni même un casque à pointe.

Sans en faire des tonnes, avec peu de mots, mais des mots justes, qui claquent comme les balles des Fritz d’en face, les auteurs nous montrent toute la brutalité et les abominations de cette guerre de tranchée, comme si vous y étiez.

Un premier tome qui met la barre très haut, des crimes toujours pas résolus, même si on a un poilu hautement bizarre qui m’a tout l’air d’être LE meurtrier, sauf si je me trompe et je parie que je me plante royalement.

Bon, le suspense est à son comble, les tripes sont nouées, pari réussi de me donner des sueurs froides et de faire passer des meurtres de femmes au second plan, quasi. Il ne me reste plus qu’à me jeter sur les tomes suivants.

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Notre mère la guerre, Tome 2 : Deuxième complainte

Nous avions laissé nos jeunes soldats, des gamins encore, assister à la lente agonie d’un des leur, au fond de leur tranchée et c’est là que nous les retrouvons, mais un peu avant, avec l’appel des survivants de cette grande boucherie.

On assiste déjà à l’imbécilité faite homme avec celui qui fait les appels et qui demande au caporal Peyrac s’il a bien vérifié le décès du soldat touché par une salve d’artillerie de son propre camp…

L’auteur sait si bien mettre les mots sur les maux… Et l’émotion transperce des cases, des paroles, vous prend à la gorge et vous la serre, comme le ferait une grosse main avec un petit cou de moineau.

Je pensais avoir le fin mot de l’histoire dans ce tome-ci, mais en fait, l’enquête sur les trois femmes assassinées va passer un peu au second plan tant les combats font rage sur le front et les auteurs n’émargent pas les lecteurs, ne manque plus que le bruit et l’odeur et on s’y croirait.

Attention, l’enquête passe au second plan, mais ce n’est pas pour autant qu’elle est reléguée aux oubliettes ou en pertes et profits…

Bien que niveau pertes, nous devrons ajouter, aux multiples soldats qui meurent, une nouvelle victime du tueur, une fille qui donnait de la joie et cette fois-ci, nous aurons des témoins, des pauvres tirailleurs, qui sont encore moins bien lotis que les autres.

Marrant, si je puis dire… On assassine des femmes, et la gendarmerie enquête, mais dans les tranchées, on assassine des hommes, on a transformé des terres en abattoir à ciel ouvert mais personne ne songe à mettre fin à cette boucherie.

Oui, je sais, certaines imbécilités des Hommes peut prêter à sourire 100 ans plus tard, heureusement que je ne serai plus là quand dans un siècle, on jugera nos actions à nous et à nos gouvernants.

Petit à petit, nous entrons un peu plus dans la compagnie du caporal Gaston Peyrac, cette compagnie fait de jeunes gamins qu’on a sorti de prison pour envoyer au front. Si les soupçons pèsent sur des membres de cette compagnie, nous ne saurons pas encore le nom du coupable puisqu’un assaut des casques à pointes à foutu tout en l’air.

Ah, le suspense me tuera et la justesse des dessins et des propos aussi… Les aquarelles donnent une autre dimension aux dessins et la plume aiguisée du scénariste va piquer là où ça fait le plus mal.

Une fois de plus, un tome magnifique, si c’est possible de faire du beau avec de l’aussi laid : la grande faucheuse travaillant à la chaine avec des rendements qui font toujours aussi froid dans le dos.

Une deuxième complainte qui fait grincer des dents et serrer les tripes.

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Notre mère la guerre, Tome 4 : Requiem

Ce dernier album clôt l’enquête de Vialatte, qui, pour le moment, patauge toujours dans la boue et n’a pas réussi à prouver l’implication de l’unité du caporal Peyrac dans les meurtres des 4 jeunes filles dont on avait retrouvé les corps non loin des premières lignes du front.

Petit retour en arrière pour nous présenter un peu plus en détail le fameux caporal Peyrac, celui qui devait diriger une unité de jeunes gamins pré-pubères qui venait d’une maison de redressement.

Alternant les passages se déroulant sur le front à ceux se déroulant ailleurs, les auteurs nous livrent enfin le QUI et surtout, le POURQUOI de ces quatre crimes. J’avais eu beau chercher, je n’avais pas trouvé.

Il règne, dans ce dernier album, des sentiments de colère et d’incompréhension chez les soldats. Tout le monde en a marre de cette guerre, de ces morts et de cette France, qui, au travers des lettres des épouses, dit à ses soldats qu’il faut lui faire honneur, qu’il faut avoir du courage et se battre. Facile lorsqu’on n’est pas au front…

Les dessins, dans des tons camaïeux de gris et de sépia collent à l’ambiance sombre et terne du front et de la série. La guerre de tranchée est bien représentée, on voit la boue, elle colle aux godillots, elle pénètre dans les vêtements et génère le froid.

Mon seul bémol sera pour les dialogues en allemand qui ne sont pas traduits. Ce n’est sans doute rien d’important, mais une petite traduction dans la case ou en fin de page n’aurait pas nuit à la chose.

Un dernier album qui termine, magistralement, une enquête longue et laborieuse, où les indices n’étaient pas légions, où les scènes de crimes se détérioraient très vite, rendant la tâche du lieutenant Vialatte plus difficile.

Une belle saga consacrée à la Première Guerre Mondiale, qui a exploré les tranchés, l’âme et les pensées des soldats, mais aussi celle des français moyens, ceux qui se trouvaient à l’arrière (pour des raisons X) et qui regardaient les soldats avec regard où se mélangeait l’admiration mais aussi la peur de se faire salir par eux.

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Commentaire ajouté par Blandine1 2021-04-02T21:19:42+02:00
Revenants

Les dessins sont magnifiques de par les expressions des visages et les fonds travaillés. Un homme fait un reportage sur un film (que je n'ai pas vu) où il interroge des vétérans de la guerre d'Irak. Des témoignages forts et terribles qui bouleversent celui qui fait cette B.D. et aussi le lecteur.

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Dédicaces de Maël
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Editeurs

Futuropolis : 3 livres

Gallisol : 2 livres

Daniel Maghen : 1 livre

Dupuis : 1 livre

Soleil : 1 livre

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