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Sarah Bernhardt [1] est une comédienne française née le 22 octobre 1844 à Paris dans l'ancien 12e arrondissement (actuel 5e)[2] et morte le 26 mars 1923 à Paris 17e. Elle est inhumée au cimetière du Père-Lachaise (division 44).
Sa mère, Judith-Julie Bernardt[3], était une courtisane néerlandaise[4] et Sarah elle-même a usé de ses charmes à ses débuts pour se faire une situation, comme l'indique son inscription dans le « fichier des courtisanes » établi par la Préfecture de police de Paris[5]. On ignore en revanche qui était son véritable père, Sarah ayant toujours gardé le silence sur son état-civil[6]. Elle eut au moins trois sœurs et souffrit en particulier longtemps de la préférence de sa mère pour sa jeune sœur Jeanne-Rosine, également comédienne.
Elle était surnommée « la Voix d'or » (expression de Victor Hugo) ou « la Divine » mais aussi « la Scandaleuse ». Considérée par beaucoup, avec Rachel, comme une des plus grandes tragédiennes françaises du XIXe siècle, elle fut la première comédienne à avoir fait des tournées triomphales sur les cinq continents, Jean Cocteau inventant pour elle l'expression de « monstre sacré »[4].
Sa devise était « Quand même » en référence à son audace et à son mépris des conventions. On lui attribue aussi ce « mot-programme » : « Il faut haïr très peu, car c'est très fatigant. Il faut mépriser beaucoup, pardonner souvent, mais ne jamais oublier. »
Biographie
Sarah Bernhardt [1] est une comédienne française née le 22 octobre 1844 à Paris dans l'ancien 12e arrondissement (actuel 5e)[2] et morte le 26 mars 1923 à Paris 17e. Elle est inhumée au cimetière du Père-Lachaise (division 44).
Sa mère, Judith-Julie Bernardt[3], était une courtisane néerlandaise[4] et Sarah elle-même a usé de ses charmes à ses débuts pour se faire une situation, comme l'indique son inscription dans le « fichier des courtisanes » établi par la Préfecture de police de Paris[5]. On ignore en revanche qui était son véritable père, Sarah ayant toujours gardé le silence sur son état-civil[6]. Elle eut au moins trois sœurs et souffrit en particulier longtemps de la préférence de sa mère pour sa jeune sœur Jeanne-Rosine, également comédienne.
Elle était surnommée « la Voix d'or » (expression de Victor Hugo) ou « la Divine » mais aussi « la Scandaleuse ». Considérée par beaucoup, avec Rachel, comme une des plus grandes tragédiennes françaises du XIXe siècle, elle fut la première comédienne à avoir fait des tournées triomphales sur les cinq continents, Jean Cocteau inventant pour elle l'expression de « monstre sacré »[4].
Sa devise était « Quand même » en référence à son audace et à son mépris des conventions. On lui attribue aussi ce « mot-programme » : « Il faut haïr très peu, car c'est très fatigant. Il faut mépriser beaucoup, pardonner souvent, mais ne jamais oublier. »
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