Yves Swolfs
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Note moyenne : 7.57/10Nombre d'évaluations : 362
0 Citations 133 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
On reste dans du western classique, mais le scenario est mieux construit que dans les trois tomes précédents, il me semble. On aborde ici le début d'un cycle. Swolfs s'attaque donc à un récit plus ambitieux, Amos se présentant comme un personnage récurrent.
Afficher en entierUn épisode qui ne tient pas les promesses du précédent. Le dessin reste égal à lui-même, mais le scénario accuse un coup de mou, avec une accumulation de scènes assez invraisemblables. Dommage, parce qu'on a un peu du mal à y croire. La série atteindrait-elle ses limites ?
Afficher en entierPan pan piou, argh, prends ça rascal, argh, au secours, je meurs ! Oh non, pas toi SALAUDS !!!!!! Ratatatatata. Crève bâtard, oh merde, j'ai deux balles dans le ventre, je n'en sortirai pas.
I'm a poor lonesome cowboy... Durango quoi.
Afficher en entierDécidément, je trouve que la neige réussit mieux à Durango que le désert. "Loneville" est une bonne petite histoire bien ficelée en un seul tome, avec des méchants bien plus intéressants et moins caricaturaux que dans la série "Amos". Et Swolfs se permet d'effleurer le sujet de l'homosexualité. Je me demande si ce n'est pas le meilleur album de la série.
Afficher en entierL'amorce d'un nouveau cycle, avec un nouveau comparse pour Durango, qui paraît quand même parfois bien naïf. Agréable à lire et efficace.
Afficher en entierPlutôt un bon épisode, parfois un peu caricatural, mais efficace. Les motivations de Durango sont parfois étranges, mais l'action est rondement menée. Pour les fans du genre.
Afficher en entierOù l'on peut supposer que Swolfs regrette un peu d'avoir tué Amos... Son indien en quête de sa femme lui ressemble quand même pas mal. Durango poursuit son alternance paysage enneigé - désert mexicain et s'embarque sans qu'on comprenne très bien pourquoi dans une quête improbable. Mais sans surprise, il y a des coups de feu, des affrontements disproportionnés, des méchants méchants et pas très futés. On ne s'ennuie pas, mais si vous cherchez l'originalité, passez votre chemin !
Afficher en entierUn tome enlevé et efficace, avec un bon équilibre entre la trame narrative des héros et des méchants. Ce n'est pas du Blueberry, mais on ne s'ennuie pas.
Afficher en entierUne entrée en matière très efficace, qui donne envie de poursuivre !
Afficher en entierUn tome plein d'événements et qui donne envie de connaître les aventures de la famille "maudite".
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Yves Swolfs
et autres évènements
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Editeurs
Le Lombard : 23 livres
Glénat : 21 livres
Soleil : 16 livres
Alpen Publishers : 14 livres
Glénat BD : 6 livres
Dargaud : 1 livre
Biographie
Né le 24 Avril 1955, Yves Swolfs est de Nationalité belge. Il est scénariste aussi bien que dessinateur. Diplômé de l’institut Saint-Luc à Bruxelles, Swolfs anime dès 1978 sa première BD, Durango (un western spaghetti), immédiatement sortie par les Editions des Archers sans prépublication. Cette série sera rachetée par Dargaud 10 ans plus tard. En ce qui concerne le graphisme dans Durango , Swolfs est fidèle aux techniques de ses idoles, principalement Giraud:
il conserve tout de même son propre style en utilisant les techniques de cadrage et de découpage propres au western italien.
En 1987, il commence sa collaboration avec Glénat en pré-publiant dans le magazine Vécu la série de genre historique Dampierre qu’il anime tout seul avant de se concentrer sur le scénario en laissant Eric puis Legein s’occuper des dessins.
En 1994, Swolfs s’attaque à un autre genre en lançant Le Prince de la Nuit , toujours chez Glénat et qui va connaître un succès mérité. En 2001, six tomes sont déjà sortis, soit deux cycles. Yves prévoit de continuer sur deux autres cycle: l'un traitera de Kergan et de son passé, l'autre de la suite de l'histoire.
Attiré dès sa jeunesse par les oeuvres de Jean Ray et de Bram Stoker, Yves Swolfs trouva dans les récits du Prince de la nuit l'occasion de souligner l'aspect typiquement "néogothique" de l'image du vampire. Par son refus de décaler le mythe par la surenchère ou le burlesque, il souligne cependant la fragilité de notre vie affective en permettant au cauchemar de faire irruption dans notre vie quotidienne.
Il a récemment attaqué en collaboration avec Marc-Rénier un western intitulé Black Hills, également publié par Glénat, ainsi que Vlad, réalisé avec Griffo pour Le Lombard (la troisième vague...).
Doué pour le dessin au point de s’être détaché de toute influence, Swolfs dispose d’une corde supplémentaire à son arc avec de grandes qualités de scénariste.
Guitariste à ses heures perdues, il a fait partie du groupe belge de hard-rock Lazare.
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