Pierre Szalowski

Une jolie lecture et assez rapide (moins de 300 pages). Personnellement j'ai mis du temps à accrocher, notamment car les personnages ne me plaisaient pas beaucoup. Au fil de la lecture on s'intéresse à l'intrigue.

Pour moi les choses sont trop irréalistes pour ce type de livre, certaines vont trop vites et on a l'impression qu'on tente de voir la fin rapidement. Mais on apprécie malgré tout de découvrir la fin.

Spoiler(cliquez pour révéler)J'ai trouvé réellement dommage que tout s'arrête entre Martin, Louise et son fils, si brutalement, en l'espace d'une page. A la fin, de la même manière, j'ai trouvé irréaliste les retrouvailles entre Martin et ses parents. Et j'aurai aimé en savoir plus sur ce fils qu'il ne connait pas.

Un bon roman, plein d'optimiste sans non plus être transcendant. J'ai pu découvrir un écrivain québécois et j'ai apprécié lire des dialogues avec du vocabulaire de ce pays.

Best seller au Québec (et c'est vraiment mérité) . Sans la grande tempête, les voisins ne se seraient jamais rencontrés et surtout découverts. Un peu d'amour, de science et beaucoup d'humour. Tout simplement adorable. J'ai vraiment aimé !

Optimiste et vivifiant.

Dans une histoire, mettez :

Un garçon, un caméscope et deux parents qui divorcent.

Un ancien hockeyeur russe qui réalise une thèse sur les poissons

Une danseuse dans un bar de nuit

Un musicien célibataire vivant avec un fils bagarreur

Un couple de « frère » vivant caché avec leur chien

Mélangez le tout dans une ambiance de tempête de verglas au Canada.

Vous obtiendrez un cocktail détonnant , une histoire drôle et optimiste avec une fin heureuse,

Lire un roman plein de bonheur et d'insouciance dans ce monde de brute m'a fait passer un agréable moment de plaisir.

Ce court roman raconte l'histoire d'un homme rattrapé par son passé. Le fort sentiment de culpabilité dont il était parvenu trop facilement à se défaire va se transformer 20 ans plus tard en une angoisse qui ne le lâchera pas.

On fait des allers-retours incessants entre le Canada où Dan est agent immobilier et la France où des ossements humains et une petite broche représentant un avion sont retrouvés lors de l'explosion d'un appartement.

Pourquoi tous ces déplacements à travers de très courts chapitres ? Parce que Dan qui menait enfin une vie tranquille auprès de sa femme et de son fils, a accepté l'invitation sur Facebook d'une femme qu'il a connue à cette époque. Le problème c'est que cette femme a disparu depuis tout ce temps. Cette invitation est étrange, elle replonge Dan 20 ans en arrière, à Paris, alors qu'il se destinait à une carrière d'acteur.

J'ai pu lire que Pierre Szalowski s'était prêté au jeu de l'écriture d'une histoire sur un thème imposé.

L'histoire est bien menée et maintient son suspense jusqu'à la fin. Quelle est la part de hasard, de coïncidences, de destin, de vengeance, de préméditation ? Un homme qui pensait avoir réussi à tout oublier est tombé dans la souricière de la culpabilité.

Un beau livre plein de bons sentiments.

Petite lecture sympa pour cette fin d'année.

Livre plutôt surprenant et plein d'humour. J'ai eu un peu de mal à suivre l'histoire par moments, car l'auteur passe régulièrement d'un groupe de personnages à l'autre pour continuer l'histoire qui se déroule. Mais l'histoire se passe lors d'un épisode de verglas qui change bien des choses. Bien du suspence ! Et tout à coup, le cours de la vie et leur façon de penser est modifiée. Comme quoi, parfois, il ne faut pas grand chose...

J'avais hâte de lire ce livre et j'étais heureuse de l'avoir trouvé dans une boite à lire pas loin de chez moi. Je n'ai pas vraiment été déçue de la lecture, mais je crois que j'en avais un peu trop espéré. C'est un bon scénario feel good avec des personnages tous différents (et un langage canadien très prononcé dans les dialogues alors attention, soyez prévenu). Pas long, pas compliqué. Une petite lecture sympa.

On s'attache aux différents personnages et à leurs histoires

Coup de coeur

Un livre rafraîchissant, très agréable à lire, léger et mignon. Plein de positivité.