James Oliver Curwood
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Note moyenne : 7.92/10Nombre d'évaluations : 79
0 Citations 34 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
A cause de, ou grâce à, ce livre, découvert enfant, j'ai longtemps rêvé de cette vie aventureuse en compagnie d'un chien-loup !
Magnifique roman, très bien écrit.
Afficher en entierLes illustrations de cet ouvrage sont tout simplement magnifiques, et c'est d'ailleurs pour ça que je l'ai lu. Mais l'histoire, bien que sympathique, ne m'a pas emballée. Je ne suis pas vraiment rentrée dedans... Dommage !
Afficher en entierMes souvenirs du film l'ours ont quelques peu gâché ma lecture mais cela reste un très bon roman qui m'a donné l'envie de revoir le film
Afficher en entierUne écriture rythmée sur un style contemplatif de la part de Curwood. Un bon moment d'évasion, un très bon roman.
Afficher en entierC'est en lisant la quatrième de couverture que j'ai appris que Jean-Jacques Annaud s'était inspiré de ce roman pour réaliser son film culte "L'ours".
Je garde un excellent souvenir de ce long métrage, et je ne pouvais donc pas être déçu de cette lecture. J'ai passé un excellent moment, immergé dans ces fantastiques montagnes Rocheuses, parmi une flore et une faune extraordinaires.
L'auteur maîtrise le rythme de son récit, entrecoupant ses descriptions de scènes pittoresques ou dramatiques selon les circonstances.
La postface est à lire impérativement car elle nous apprend ce qui a si bien inspiré James Oliver Curwood.
Afficher en entierBon livre qui est très émouvant sur les ours. Super histoire.
Afficher en entierLu lors de ma folle jeunesse, j'adore cette histoire (globalement j'adore tout ce qui concerne de près ou de loin les loups) c'est une histoire qui plairait à beaucoup d'enfant
Afficher en entierune très belle histoire, vraiment douce et émouvante et addictive que je recommande au amoureux de la nature et des chiens
Afficher en entierUn récit animalier très prenant, l'auteur parvient à nous rendre les personnages/animaux très attachants. Les paysages de la Colombie-Britanique sont extraordinaires sous sa plume. J'ai vraiment beaucoup apprécié cette lecture.
Afficher en entierJ'ai choisi ce livre pour sa couverture, comme souvent quand il y figure un ours. C'est plus tard, en lisant la quatrième de couverture, que j'ai réalisé que c'était ce livre dont s'est inspiré Jean-Jacques Annaud pour son merveilleux film L'ours. Ça date un peu, mais j'en garde un très bon souvenir.
Nous allons suivre Thor, un impressionnant et magnifique Grizzly qui vit dans les Rocheuses. Poursuivit par des chasseurs qui le veulent comme trophée, il prendra sous son aile, ou plutôt sous sa patte, un petit ours brun orphelin.
L'histoire est immersive et merveilleusement contée avec en plus des mots, les images, les sons et les odeurs. Les descriptions de la nature et des paysages sont juste incroyables.
"Par sa force, sa masse, sa solitude et sa suprématie, le grand ours était comparable aux sommets environnants : Il était sans rival dans les vallées de la même manière qu'ils l'étaient dans les cieux. Comme les montagnes, il venait de la nuit des temps. Il était indissociable d'elles."
Nous suivons en alternance le point de vue de l'animal et de l'humain avec d'une part Thor et l'ourson Muskwa et de l'autre le chasseur Langdon. C'est une histoire d'aventures, de rencontres, d'apprentissage, de respect. Elle nous offre également de beaux face à face : Thor et Muskwa, deux ours qui s'affrontent, le grizzly et le chasseur.
J'ai aimé suivre l'évolution de Langdon. Un parallèle avec la propre histoire de l'auteur qui a fait amende honorable et décide de ne plus chasser.
"Le monde sauvage nous offre un plaisir bien plus grand que celui de massacrer — et l'espoir qu'après m'avoir lu, d'autres comprendront que ce qu'il y a de plus passionnant dans la chasse, ce n'est pas de tuer, mais de laisser vivre."
Mais ce que j'ai préféré bien sûr, c'est la relation entre Thor et l'ourson. Le Roi de la forêt devient tout d'un coup baby-sitter d'une petite peluche vivante. Ce sont des moments touchants, plein d'émotions et des passages souvent drôles.
Ce livre est un roman d'aventures passionnant et attendrissant qui m'a émerveillée, mais aussi tendu une bonne partie de ma lecture. Une ode à la nature et au monde animal qui nous démontre que la respecter est bien plus enrichissant que la détruire.
Au final, un coup de coeur pour cette très belle histoire qui m'a fasciné. Un magnifique écrin pour un petit bijou. Un classique jeunesse qui ravira petits et grands, les amateurs de la nature et les autres. Je vous le recommande fortement.
https://www.facebook.com/lecturesnoirespournuitsblanches
Afficher en entierOn parle de James Oliver Curwood ici :
2020-02-06T21:17:11+01:00
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Dédicaces de James Oliver Curwood
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Editeurs
Hachette : 15 livres
Hachette Jeunesse : 4 livres
L'Éveilleur : 2 livres
Editions Tallandier : 2 livres
Pocket : 2 livres
Le Livre de Poche Jeunesse : 1 livre
Gallmeister : 1 livre
Editions Hemma : 1 livre
Biographie
Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Owosso,Michigan , le 12/06/1878
Mort(e) le : 13/08/1927
Biographie :
James Oliver Curwood est un romancier américain.
Avec Jack London, il est l'un des maîtres des récits du Grand Nord. On lui doit aussi bien des récits animaliers, parmi lesquels Kazan (The Wolf Dog) (1914), Nomads of the North (1919), ou le fameux Grizzly-King (1916) qui a été adapté au cinéma par Jean-Jacques Annaud sous le nom de L'Ours.
Il a d'abord été journaliste pour le Detroit News-Tribune et l'est resté jusqu'en 1907. En 1906, il décide de se lancer dans l'écriture de romans, mais la charge de son travail de journaliste l'empêche d'écrire comme il le souhaiterait. C'est la raison pour laquelle il démissionne de son emploi auprès du Detroit News Tribune en 1907. Il abandonne le journalisme et se consacre à l'écriture. En parallèle, il publie un grand nombre de nouvelles et de romans (le premier, The Wolf Hunters, en 1908), qui jouissent immédiatement d'un grand succès et sont largement adaptés au cinéma (The Alaskan, 1924, The Ancient Highway, 1925), en tout une centaine de films).
À partir de 1909, l'existence de Curwood connaît un tournant décisif après un premier voyage dans le Grand Nord canadien. Il passe près de six mois par an dans les solitudes glacées où il vit dans une cabane et se nourrit des produits de sa chasse. Son amour pour la nature le conduit à développer une philosophie de la nature proche du mysticisme, militant pour la protection de l'environnement et la limitation de la chasse.
Loin de la vision que Jack London offre du Grand Nord, Curwood y voit une source de vie, de laquelle l'homme tire une puissance physique et morale qui en fait un être à part.
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