Jean Tabary

Une bonne BD de temps en temps fait beaucoup de bien.

Peu de gens dans mon entourage connaissent Iznogoud. Je compte bien le leur conseiller.

Un scénario construit sur la jalousie et le désir d'éliminer le calife. Beaucoup d'imagination dans ces plans machiavéliques pour supprimer cet obstacle à son ambition le vizir rend cette bande dessinée très drôle.

Un album agréable à lire mais qui ne figure pas parmi mes bandes dessinées préférées.

Décidément je n'accroche pas à Iznogoud. L'humour et les scénarios de cette série tournent autour de l'absurde, et j'ai du mal à entrer dedans. Les différents anachronismes me sortent souvent du contexte de l'époque présentée.

Dans ce tome, c'était intéressant de découvrir la genèse des personnages, mais voir le passé et le présent se mêler m'a encore une fois dérangée.

J'ai reçu ce très beau cadeau de la part de mes collègues quand j'ai quitté la société. Cela m'a bien fait rigoler, vu que j'étais connue pour dire que je voulais remplacer ce chef technique plus tard. J'ai passé un moment très sympa à parcourir ces différentes histoires.

Brillantissime, encore une fois, le second meilleur tome de Tabary seul à mon goût, après l’enfance d’Iznogoud.

Blindé d’idée qui se croisent, de la paye de Dilat au type du miroir en passant par le garde sourd-muet, le cadeau à offrir au Calife ou celui de la guilde des magiciens…

C’est drôle, ça n’arrête pas, c’est vif, inventif, c’est nickel.

Le personnage d’Izgnogoud est drôle mais malheureusement je trouve que la BD, contient beaucoup trop de textes, de plus la mise en place est super longue. Il faut attendre la moitié du tome pour que Iznogoud entre enfin sur le marché, puis enfin on découvre comment cette fois-ci, il va essayer de tuer le calif. En plus du texte lourd sur certaines planches, la répétition des gags est un peu dommage à la longue. Je ne me rappelais plus avant de lire cette bande dessinée que les tomes était aussi long, je suis un peu déçu.

C'est une bande dessinée cool et drôle, mais j'avais en mémoire quelque chose de plus humoristique et avec bien moins de texte à lire. J'ai été un peu rebuté par ce dernier point, car je n'avais pas l'impression d'avancer dans ma lecture. Le gros point positif est le personnage d'Iznogoud qui est vraiment excellent.

Une bande dessinée amusante à lire et à relire.

Premier opus des aventures du Grand Vizir, un peu inégales, avec l’impression que Goscinny s’amuse sans forcément creuser, comme par la suite, l’idée pour en tirer toujours toute sa saveur.

Le génie - 4

Basique dans l’idée, bien vu dans la concrétisation, avec une utilisation complète de ce génie qui obéit au pied de la lettre à toutes les maladresses d’expressions qu’on peut avoir ou les situations incongrues autour des babouches, et une fin qui boucle parfaitement. Cool.

Voyage officiel – 3,5

Sympa mais un peu mitigé… L’ensemble se déroule bien agréablement, avec humour et diverses scènes variées qui font que ça se déroule vite et bien, mais quelques scènes de liesse ou installation sont plus banales… Et surtout, les astuces pour déjouer les plans moins originaux du viziesont un peu faciles…

Les hommes de main – 4

Amusant parce que ça bouge pas mal dans les idées diverses et les contre-attaques amusantes ainsi que toutes les utilisations d’expression avec « main ». L’histoire n’est pas super intéressante mais tous les à-côtés font que ça passe bien,

La horde – 4

Ça démarre bon enfant, avec une série de jeux de mots certes amusants, mais qui promet une histoire gentillette – ce qu’elle se révèle être au début. Mais le final est une idée magistrale et super bien traitée ! Cool.

Un sosie – 3

Un peu banal, celui-ci. D’abord, il est hyper répétitif, barbe, plus barbe, poids, boutons, c’est la même chose qu’on voit sans cesse… Et la fin se laisse globalement deviner avant, y compris le détail final avec l’associé… Un peu faible.

L’île des géants – 3,5

Quelques situations sympathiques mais un ensemble un peu court qui fait qu’on va vers la chute sans, parfois, beaucoup de logique ou alors avec beaucoup de facilités. Ce qui tient vraiment l’histoire, ce sont tous les jeux de mots, même légers, les sonorités, les sens… Agréable.