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Pascal Henry

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de Pascal Henry

Sortie Poche France/Français : 2013-02-01

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par AdamdeCraponne 2013-04-13T10:28:28+02:00
Louise de La Hulotte

Cette histoire est illustrée par des dessins aux traits sans couleur qui rendent bien l’atmosphère du livre. Si ce récit s’inspire d’une histoire vraie comme l’annonce on est dans le roman historique pour jeunes. Il y a de très bons auteurs dans ce domaine, y compris chez cet éditeur L’Harmattan jeunesse. Claude Plocienack a récemment livré un excellent ouvrage "Le Naufragé de Kabylie : novembre 1962". Bertrand Solet est le grand modèle actuellement, il a sorti depuis 1968 des dizaines d’ouvrage qui relève de ce genre, et à cette date le dernier est paru en 2012 et a pour titre "En Algérie lointaine".

Certes ces deux ouvrages cités sont pour des jeunes de plus de dix ans alors que "Louise de La Hulotte" convient à des enfants de huit-dix ans. Les pages documentaires adjointes laissent croire au roman historique pour "Louise de La Hulotte", c’est d’ailleurs la partie la plus intéressante de l’ouvrage (à nos yeux), en effet l’auteur consacre deux pages à trois sujets : Jules Ferry (il aurait pu dire un mot sur la politique coloniale de celui-ci), l’apparition des premiers trains, Gustave Eiffel (avec la mention de l’exposition universelle de 1889 pour laquelle la Tour Eiffel doit être inaugurée) et l’opération de l’appendicite qui se développe grâce à la propagation de l’asepsie, du fait des travaux de Pasteur.

Le problème c’est que le récit tient du conte de fées, avec d’ailleurs en formule non magique redondante, sorte d’adaptation du jeu "Jacques a dit" : « Jules Ferry qui travaillait avec le Président de la République avait dit que ». Derrière ce refrain, les historiens nous livrent une réalité où l’école est obligatoire mais où il n’y a guère comme réprimande possible que la visite des gendarmes et les conseils de certains maires pour le rappeler aux familles. Il n'y a pas de sanctions réelles à cette époque, quoique des amendes soient prévues dans la loi. Cela n’est pas explicité dans l’ouvrage, comme n’est pas avancée l’idée que de Pâques à la mi-août (les vacances sont au quinze août jusqu’en 1915) et tout le mois d’octobre l’absentéisme est très massif dans les campagnes (la rentrée se fait au 1er octobre).

Dans ce récit on note un poème qui retravaillé par les enfants pourrait devenir amusant, si on proposait aux enfants toute une liste d’expressions, on pourrait alors avec la A de faire l’âne, avec le B glisser sur une peau de banane, avec le D se casser les dents …

Pour illustrer les compétences réelles de Pascal Henry en histoire, l’ouvrage commence par dire que dans les campagnes il n’y avait pas d’école "il y a plus de deux cent ans". Ceci est complètement faux et si au sortir de la période napoléonienne, la scolarisation est très faible en France elle était bien meilleure dans les dernières années de l’Ancien Régime. Des familles voient d’ailleurs des pères sachant lier et des fils ne le savant pas, un bon exemple se trouve dans la famille d’Émile Guillaumin surnommé justement "l’écrivain paysan".

Si l’action est censée démarrer en 1881, la très grande majorité de l’action se déroule autour de 1889 (année d’une exposition universelle à Paris). Louise, qui n’a jamais été scolarisée (sa grand-mère lui a appris à lire) réussit le concours d’école normale (on le devine). Chapeau ! Surtout quand on connaît combien de candidates pourvues du brevet élémentaire étaient recalées alors.

Toute seule elle décide de s’auto-nommer institutrice dans son village qui n’a pas d’école ; j’aimerais connaître le village français qui n’en a pas à l’époque. Et Guizot pourquoi il s’est décarcassé afin d’obtenir la scolarisation très massive des garçons ?

Dans le hameau de La Hulotte où résident des familles de bûcherons très rétives à l’envoi de leurs enfants auprès d’enseignants. Cette école, elle l’a fait dans une grange appartenant à sa grand-mère, mais avec des tables individuelles (suprême luxe inconnu alors, même en ville) ; dans les villages on est alors avec des bancs pour quatre à six. Et les maires et préfets pourquoi ils se décarcassent à l’époque ?

La meilleure exploitation pédagogique du récit avec les élèves est de jouer avec eux à chercher l’erreur dans les images et le récit (il y en a encore, comme les élèves avec un manuel de français et un de poésie, à l’époque du livre unique "Le Tour de la France" sorti en 1877), après avoir étudié avec eux la scolarisation des petits Français à partir de quelques documents bien choisis, pris pour la période 1830-1914. Non Jules Ferry n’est pas le nom de la baguette magique de ce conte et vulgariser ne se fait correctement qu'en passant des connaissances certes réduites mais exactes ! L’ouvrage peut également être acquis pour ceux qui collectionnent les très belles illustrations d’Émilie Dedieu.

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Commentaire ajouté par PascalHenry 2013-11-15T07:29:39+01:00
Louise de La Hulotte

Cher Adam de Craponne,

Vous avez compris, me semble-t-il, ce que je voulais faire lorsque j'ai écris Louise de La Hulotte. Mais, visiblement, vous n'aimez pas le mélange des genres. C'est dommage. Votre critique négative exprime bien que vous êtes imperméable à la démarche qui est la mienne dans ce livre : raconter les débuts de l'école publique, non pas de façon scolaire et rébarbative, mais sur un ton romanesque et ludique, à la manière d'un conte. Car je suis conteur, pas historien. Je ne prétends pas avoir écrit un manuel scolaire. Un conte, oui. Ou un petit roman. Puissiez-vous, à l'occasion, relire mon livre avec des yeux d'enfants. Et lorsque vous écrirez d'autres critiques, tâchez d'aller moins vite et de faire plus attention à votre orthographe.

Bien à vous,

Pascal Henry

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Commentaire ajouté par AdamdeCraponne 2014-02-09T08:36:47+01:00
Louise de La Hulotte

Lorsqu'on fait un conte, on fait un conte.

Lorsqu'on veut raconter les débuts de l'histoire publique, on le fait avec un minimum de connaissances sur le sujet.

Si vous voulez raconter les débuts de l'histoire publique, vous devez partir de connaissances sur celle-ci.

Cet objectif est revendiqué, il faut donc juger si ce livre apporte quelque chose sur la connaissance de ce sujet. Il apporte ici non une connaissance mais une méconnaissance. C'est peut-être pire car il demande à déconstruire ce qu'il avance.

Il est facile de cacher les imperfections d'un livre en disant que c'est quelque chose entre un conte et un roman historique.

Si c'est le cas ce doit être un bon conte et il doit être situé de façon correcte dans l'histoire. Cette histoire n'a ni la magie du conte, ni le minimum de rigueur d'un roman historique. Il y a par exemple des ouvrages très loufoques qui font intervenir des motifs du conte dans une dimension historique précise.

Bref dire qu'il relève des deux, c'est multiplier ses défauts au lieu de les excuser. Comme roman historique ce n'est pas bon et comme conte ce n'est pas très intéressant, à mon avis.

Que sous forme orale grâce à des dons de conteur, on soit capable d'en faire quelque chose qui captive les enfants c'est possible. Et je n'en doute pas.

D'ailleurs la représentation, que se feront spontanément l'école de Jules Ferry des enfants, sera peut-être plus intéressante que celle proposée ici dans l'illustration.

On parle du livre, rien que du livre.

S'il y avait eu un CD au lieu d'illustrations, j'aurais sûrement dit plus du bien du livre.

Il y a des auteurs qui font de très bons romans historiques pour les jeunes, car ils sont très plaisants et posent un cadre historique. Des romans historiques qui n'ont bien entendu rien à voir évidemment avec un manuel scolaire.

En matière de littérature de jeunesse, je lis plus de 100 ouvrages par an pour un lectorat de 3 à 12 ans principalement. J'ai donc des points de comparaison. De plus je lis ou fais lire à des jeunes des ouvrages de littérature de jeunesse tout au long de l'année.

Émilie Dedieu est par ailleurs une très bonne illustratrice en matière de fiction et j'invite à découvrir tous ses propres livres ou celles de contes écrits par d'autres.

S'ils ne sont pas présentés sur BOOKNODE, on en trouve des critiques ailleurs.

Mon correcteur d'orthographe ne me signale aucune erreur, mais il arrive parfois qu'il m'en créée. En tout cas l'erreur reste à découvrir. Mais il y a aussi des gens qui, faute de connaître les réformes officielles de l'orthographe certes timides mais réelles, trouvent des erreurs là où il n'y en a pas.

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Commentaire ajouté par AdamdeCraponne 2014-02-09T09:00:48+01:00
Louise de La Hulotte

Au fait sur Critiques libres quand un auteur répond il le fait dans un forum, ce qui lui évite d'avoir l'élégance de se coller 5 étoiles pour un livre qu'il a écrit. Et s'il prend un pseudonyme, il commence par dire qui il est.

Si un lecteur inhabituel se laisse peut-être prendre, mais avec un discours si excessif, même à ses yeux cela sentira la critique de complaisance, il est sûr qu'auprès des habitués de critiques libres, la qualité de son ouvrage vient de perdre là toute valeur... Pour bien nous faire rigoler, il a d'ailleurs pris comme pseudonyme Juste.

http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/35114

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Commentaire ajouté par PascalHenry 2014-02-09T21:24:32+01:00
Louise de La Hulotte

Mon cher Adam,

Il semble que, n'aimant pas vous-même mon livre, vous ne puissiez pas concevoir que quelqu'un puisse l'aimer et puisse avoir envie de le dire. Vous faites erreur en présumant que je suis "Juste". Désolé, mais non, ce n'est pas moi. Désolé pour vous, car pour moi il est plutôt réconfortant de lire sous la plume d'un lecteur - ou d'une lectrice ? - que mon livre a des qualités. Puissiez-vous prendre un jour la peine de le relire avec des yeux d'enfant. Peut-être saurez-vous y trouver alors le coeur des choses que j'essaie d'y raconter.

Bien à vous, mon cher Adam.

Pascal Henry

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Commentaire ajouté par AdamdeCraponne 2014-02-11T02:39:09+01:00
Louise de La Hulotte

Le fond est en effet très bon (l'idée défendue n'est pas originale pour autant) et c'est les prétentions qui pêchent, à mon avis.

Maintenant je suis a priori sévère sur ceux qui nous disent vouloir faire découvrir une époque, un évènement ou un fait de société "les débuts de l'instruction publique" et qui montrent leur ignorance sur le sujet. Ils attirent le chaland sur des promesses qu'ils ne tiennent pas.

Je suis sévère aussi sur ceux qui nous disent faire un livre pour les enfants en y mettant du vocabulaire ou des références culturelles non explicités, que ne possèdent pas les jeunes. De mémoire ce n'est pas le cas ici.

Pour votre ouvrage comme pour d'autres, il y a un minimum d'erreurs historiques à ne pas commettre quand on se donne un objectif tel que le vôtre. Les enfants voient assez de niaiseries audio-visuelles comme cela, ils manquent totalement de repères historiques et vous ne leur en apportez pas à part citer le nom de Jules Ferry d'une façon originale qui me plaît beaucoup (je le dis). Pire vous leur donnez de mauvais repères !

Maintenant je comprends que ce que je dis de votre livre mérite une réponse de votre part mais celle-ci ne me satisfait pas parce que vous revendiquez toujours ce rapport à l'histoire.

Une réponse, du type j'ai fait un conte et rien de plus aurait été bien reçue par moi.

Sur CRITIQUES LIBRES on reconnaît une critique de complaisance au fait que son auteur n'intervient que pour une critique-éclair (et n'apporte rien d'autres au site), note 5/5 le titre et a des propos louangeurs excessifs et "bateau". Vous avez ici 100% au critère critique de complaisance.

Si ce n'est vous le rédacteur, c'est quelqu'un qui a fait cela pour vous faire plaisir. De toute façon c'est le genre de chose qui ne s'avoue pas.

D'expérience dans une recherche sur google (ou un autre moteur de recherches) autour d'un livre remonte la critique sur Critiques libres avant celle sur Booknode. Si vous avez pris connaissance de la critique sur Booknode (où vous brillez par votre inactivité) c'est que vous avez eu connaissance de celle sur Critiques libres. Il serait bien que vous ne laissiez pas croire le contraire.

Vous n'avez vraiment pas de chance car vous tombez sur quelqu'un qui navigue aussi sur d'autres sites de critiques, à part les 2 évoqués, et qui connaît pas mal de choses sur la demi-douzaine de sites à peu près semblables à Booknode.

Ce qui me désole est de penser que mon jugement sur votre livre puisse nuire à votre spectacle qui est sûrement bien ficelé et plaît aux enfants. Et cela je le regrette beaucoup.

Par ailleurs nulle part je n'ai dit qu'aucun enfant n'aimerait ce livre. Je dis même dans ma critique de façon forte (mais non explicite) qu'un poème leur plaira.

Et je dis du bien de l'illustration ! Cela vous ne le relevez pas et ce n'est pas en votre faveur. Seriez-vous gêné que le talent de l'illustratrice soit mis en valeur quand on s'interroge sur les qualités de votre texte?

Je soulève le point du reflet de votre ignorance en matière de connaissances historiques et c'est tout, mais c'est beaucoup pour vous. Des auteurs de fiction, j'en connais par des échanges, font relire leur manuscrit par un historien. Quand on n'a pas certaines exigences vis-à-vis de ce qu'on présente à son futur lectorat, on s'en dispense.

Ce qui caractérise un auteur de littérateur de jeunesse "amateur" c'est qu'il répond aux critiques négatives, les professionnels s'en fichent royalement et préfèrent se consacrer à leur futur livre. Ceci est le fruit d'une expérience.

Par contre certains auteurs professionnels sont touchés par la façon dont on a perçu leur ouvrage et personnellement j'ai reçu des messages dans ce sens.

Vous remarquerez que sur toutes mes critiques, il n'y a que 2 livres que je n'aime pas. Je reçois spontanément un livre comme un travail à respecter et cherche à mettre en avant ce qu'il y d'intéressant dans un ouvrage.

Dans un ouvrage que je n'aime pas je tâche d'être précis afin qu'on comprenne pourquoi je ne l'aime pas. Ceci de façon à ce que le lecteur prenne connaissance de ce qui me gêne et peut ne pas le gêner. Ceux qui prescripteurs, se fichent de vos prétentions historiques, ont des raisons de dire qu'ils peuvent faire lire cet ouvrage.

Au fait j'attends toujours de connaître les horribles fautes d'orthographe que vous me prêtez dans mon premier texte. Manière fort maladroite d'attaquer une réponse, qu'elles existent ou pas.

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Commentaire ajouté par AdamdeCraponne 2014-02-12T16:14:21+01:00
Louise de La Hulotte

Ce que j'apprécie sur Booknode c'est ne ne pas devoir mettre une note.

J'informe de ce qui a retenu mon attention.

Il semblerait que je loue tout ce qui n'est pas de Pascal Henry dans ce livre : l'illustration et les pages documentaires. Car si on est capable de faire un contenu si judicieux pour ses dernières, on doit être capable de construire un récit qui n'est pas bourré d'anachronismes.

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Commentaire ajouté par AdamdeCraponne 2014-02-12T21:33:07+01:00
Louise de La Hulotte

"ce sont les prétentions"

et non

"c'est les prétentions"

évidemment.

Je ne fais pas de brouillon quand je réponds.

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Commentaire ajouté par AdamdeCraponne 2014-02-13T08:13:47+01:00
Louise de La Hulotte

Lorsqu'un auteur de littérateur de jeunesse "professionnel" répond à une critique, il se base que ce qui en est dit, de plus il sait parler des caractéristiques de sa production pour la mettre en valeur.

Il est capable de dire qu'il y a quelques maladresses et remercie pour ce qui en est dit de positif. Et ici il y avait de quoi relever ce qui était en faveur du livre.

Et jamais il ne dira "prenez la peine de le relire avec des yeux d'enfant". Ceci n'apporte strictement rien au débat et il en a conscience. C'est l'argument de celui qui est en difficulté pour expliquer les qualités de son livre.

Par contre il pourra dire longuement, parce qu'il sait parler de sa production, dans mon livre un enfant trouve...

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Commentaire ajouté par AdamdeCraponne 2014-02-13T08:15:07+01:00
Louise de La Hulotte

il se base sur que ce qui en est dit

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