Geneviève Lefebvre
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Note moyenne : 6.95/10Nombre d'évaluations : 20
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Quand on m'a proposé ce partenariat, je ne pouvais refuser ! Avec une couverture et un synopsis des plus attrayants... pourtant la magie annoncée n'a pas été au rendez-vous...
Nous voici à Montréal où l'on rencontre Julia Verdi, 37 ans, et à qui les galères s'accumulent devant sa porte ! Ses relations avec les hommes sont plutôt catastrophiques, sa vie tourne autour de sa petite personne et son boulot ce qui ne lui réussit pas. La remise en question est inévitable ! Et si ce petit chien abandonné dans sa ruelle était la réponse à ses questions ?
Geneviève Lefebvre a une plume assez directe, c'est le moins que l'on puisse dire. Ce qui m'a parfois dérouté car ça ne m'a pas permis de m'attacher aux différents personnages. L'écriture est fluide, moderne et bien ficelée. Le tout narré avec une franchise décapante, on en prend pour son grade, que l'on soit une femme ou un homme!
Bien que j'ai eu du mal à m'accommoder avec le style de l'auteur au début. J'ai vraiment bien accroché à la deuxième partie qui est plus riche en rebondissements qu'il devient difficile d'arrêter cette lecture !
La suite sur mon blog : www.s0kellys.com
Afficher en entierCe qui m'a attiré c'est tout d'abord la couverture ainsi le résumé. Mais je pensais que je prendrais plus de plaisir à le lire, mais j'ai bien aimé quand même!!!
Au début, l'histoire dépeint l'héroïne, Julia; et là c'est vraiment pas le top. Elle est égocentrique, ne se remet jamais en question; pour elle, tous ses échecs sentimentaux ne sont pas de sont fait, mais celui des hommes!!! Elle a plaqué son 1er petit ami à 17 ans, afin de trouver un "vrai" homme!!! Depuis elle essuie échec sur échec; sa dernière rupture c'est passée à la sortie d'un restaurant où une voyante lui a prédit au tarot Gloire et Fortune. En désespoir de cause Julia se plonge encore plus dans le travail, si cela est possible, afin de (se) montrer quelle battante elle est, et qu'elle peut rivaliser avec n'importe quel homme. Puis au bout de 20 ans elle décide de reprendre contact avec son ex petit ami. Ils se fixent un point de rencontre équidistant de leurs domiciles respectifs mais........Et à partir de ce moment, le livre devient plus intéressant.
En rentrant chez elle, Julia trouve dans sa rue un chien abandonné à un lampadaire. Quelle horreur!!!! Non pour le chien, mais pour elle qui déteste les animaux et plus particulièrement les chiens car ils bavent et puent, et sont méchants.Et elle en a peur. Mais finalement, elle ne peut se résoudre à laisser ce chien dehors alors qu'il fait froid, et le ramène chez elle, bien décidée dès le lendemain à faire ce qu'il faut pour qu'il retrouve des maîtres.
Et à partir de ce moment, Julia commence une nouvelle vie. En mieux, en pire?????? A vous de le découvrir en lisant ce livre!!!!!
Afficher en entierPas mal dans l'ensemble, une joie leçon de vie, une jeune fille un peu paumée côté amour, mais qui se retrouve dans le profil d'une petite chienne abandonnée, elles deviennent vite inséparables...Une jolie histoire à lire.
Afficher en entierQui a dit que les visites au musée étaient longues et ennuyeuses? Sûrement pas l'une des dix-huit auteures que vous retrouverez dans ce recueil de nouvelles!
Après Crimes à la librairie et Crimes à la bibliothèque, voilà une troisième anthologie, qui cette fois-ci, regroupe dix-huit auteures venant du Québec et de l'Europe francophone. Richard Migneault a eu la brillante idée de regrouper que de grands talents féminins autour d'un thème récurrent et je dois dire que cela fonctionne à merveille!
Certaines nouvelles m'ont réellement surprise tant par leur créativité entourant leurs personnages que par leurs intrigues, d'autres m'ont donné des frissons tandis que certaines sont un peu trop glauques à mon goût. Le point commun de toutes ces nouvelles est sans contredit, le talent de ces auteures.
Je retiendrai une nouvelle en particulier, celle rédigée par Karine Giebel : Virginie travaille en tant qu'assistante du directeur au musée d'Art moderne. Mais ce directeur devient son bourreau et son fils, témoin indirect et silencieux, voudrait bien intervenir. Une fin surprenante qui laisse non seulement notre protagoniste bouche bée, mais le lecteur aussi!
Il y a également Dominique Sylvain avec sa nouvelle Le chef d'œuvre : Un gangster tatoué sur tout le corps se fait approcher pour que sa peau soit exposée au Musée après sa mort. Iriez-vous voir ce type de peau dans un musée? Et si c'était vous qu'on approchait, seriez-vous d'accord avec le fait que votre peau soit exposée ainsi aux yeux de tous?
Je connaissais plusieurs de ces auteures par leur notoriété en raison des chroniques que j'ai pu lire sur leurs œuvres, mais avec la lecture de ce recueil, je dois avouer que maintenant, j'ai le goût d'en découvrir certaines d'entre elles. Et j'adore le fait qu'après chaque nouvelle, Richard Migneault prend le temps de nous parler des habitudes d'écriture de ces auteures, mais aussi de leurs œuvres. Au final, grâce à ce recueil, ma wishlist vient de s'allonger...
http://alapagedesuzie.blogspot.com
Afficher en entierUn bouquin qui contient 18 nouvelles, 18 auteures féminines dont de grands noms du thriller, 18 histoires belges, françaises et canadiennes …C’est un plaisir qui ne se refuse pas !
Les auteures françaises et belges : Karine Giebel, Barbara Abel, Ingrid Desjours, Dominique Sylvain, Elena Piacentini, Marie Vindy, Danielle Thiéry, Nathalie Hug, Stéphanie de Mecquenem.
Les auteures québécoises : Andrée A. Michaud, Claudia Larochelle, Marie-Chantale Gariépy, Martine Latulippe, Geneviève Lefebvre, Florence Meney, Claire Cooke, Ariane Gélinas, Catherine Lafrance.
Le tout dirigé par Richard Migneault grand manitou du blog Polar, noir et blanc qui entre chaque nouvelle vous laissera une présentation de l’auteure et ses habitudes d’écritures. Très instructif !
Pas facile l’exercice de la Nouvelle, car il faut réussir à attraper le lecteur en très peu de temps et lui faire vivre autant d’émotions que sur 300 pages. Je trouve l’exercice encore plus périlleux et exigeant que d’écrire un roman.
La particularité de ce recueil est bien entendu son lien commun : Le musée plus ou moins prononcé, en toile de fond ou suggérée, mais toujours bien présent.
La seconde et j’en ai déjà parlé plus haut : Les auteures ne sont que des femmes. Certaines sont d’illustres inconnues et pourtant elles sont aussi bluffantes que les plus émérites ! Le plaisir est aussi de découvrir des auteures canadiennes qui n’étaient pas arrivées jusqu’à moi.
Je pourrais vous écrire un petit speech sur chaque nouvelle, mais je vais finalement vous laisser le plaisir de découvrir par vous même ces intrigues. Toutes ont un univers. Certaines vous emmènent au Japon, dans un commissariat, au sein d’un conflit familial …Chaque femme à sa personnalité, leur nouvelle également.
https://lesciblesdunelectriceavisee.wordpress.com/2017/09/12/crimes-au-musee/
Afficher en entierhttp://sweetie-universe.over-blog.com/2017/09/recueil-de-nouvelles-crimes-au-musee-collectif.html
Je ne vais pas décrire et critiquer chaque nouvelle, tout d'abord parce qu'il y en a trop, ensuite parce que certaines ne m'ont pas marquée, et enfin parce que j'ai eu du mal à lire ce recueil de bout en bout. En effet, j'ai lu ce recueil sur un temps plutôt long. Ce qui m'a le plus gênée, ce sont les laïus, qui s'étalent sur plusieurs pages, après chaque nouvelle. J'avoue avoir rapidement sauté ces descriptions systématiques, sauf lorsque la nouvelle m'a spécialement plu. Je peux comprendre l'intention, mais je dois dire que ça gonfle le nombre de pages et interrompt la lecture et le suspens instauré par les ambiances des différentes nouvelles.
Je vais maintenant me concentrer sur les nouvelles, puisque c'est le plus intéressant. Le thème fédérateur est le musée. C'est plutôt original. Certaines nouvelles se passent directement dans un musée, d'autres y font simplement référence. Chaque texte est différent et offre une ambiance inédite dans le recueil. Certaines nouvelles m'ont simplement divertie sans me marquer vraiment, parce que finalement, elles n'étaient pas surprenantes. D'autres m'ont surprises par leur originalité souvent morbide. Je pense ici à "Il faut savoir se salir les mains", de Claudia Larochelle, qui présente une artiste travaillant des matériaux étranges et offre une perspective pour le moins créative. Barbara Abel a aussi su m'émouvoir et me surprendre en présentant un personnage totalement dépassé par la vie et à la limite de la folie. Et enfin, il y a des nouvelles qui m'ont bouleversée et donné envie de découvrir l'univers de leur auteur. C'est le cas de "L'intérieur", de Karine Giebel. Par sa plume, cet autrice a su rendre l'abominable encore plus insoutenable. C'est sans aucun doute la nouvelle qui m'a le plus émue. Quant à la nouvelle d'Ingrid Desjours, elle fait partie de mes préférées de ce recueil, comme je m'y attendais. La créativité de celle qui m'a attirée dans le monde du polar m'a totalement conquise. Je me suis laissée avoir par son "Second linceul", et je n'en ai pas senti venir la chute !
Conclusion : ♥♥♥ C'est un recueil appréciable qui ravira tous les amateurs de polars grâce à la diversité de ses propositions. Il aurait été cependant plus judicieux d'ôter les "biographies" après chaque nouvelle ou de les réduire drastiquement, selon moi.
Afficher en entierÉvidemment à chaque fois que je lis des nouvelles, je pense que je vais aimer ça, mais je suis mitigée. Ce sont toutes des femmes qui ont écrit ces nouvelles policières. C’est inégal et j’aime particulièrement 3 histoires : l’intérieur de Karine Giebel, Mobsters’ memories de Andrée A. Michaud qui sont des écrivaines que j’aime dont les nouvelles sont à la hauteur de leurs livres. La troisième histoire est ma préférée : le second linceul d’Ingrid Desjours. C’est une histoire originale qui m’a entièrement absorbée et qui m’a vraiment mystifiée.
Les autre histoires m’ont laissée froide et m’ont même ennuyée.
Afficher en entierun bon livre pour découvrir des auteurs de polars !
Afficher en entierJ'ai beaucoup aimé ce recueil de nouvelles Québécoise. Celles-ci portent toutes un thème se rapprochant à la nourriture. c'est ce qui m'a plu.
Afficher en entierUn road trip entraînant! Un entre-deux parfait.
Dans chacun des tomes de cette édition, il y a des personnages avec des caractères vigoureux, robustes, déstabilisants. Attachants. Attendrissants. Chacune des histoires est remplie d’un immense romantisme et pleine de rebondissements. Délicieuse. Chaleureuse.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Geneviève Lefebvre
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Libre expression : 5 livres
Les Éditions Libre Expression : 1 livre
Nil : 1 livre
VLB éditeur : 1 livre
Belfond : 1 livre
EDITIONS DRUIDE : 1 livre
Québec Amérique : 1 livre
De Borée : 1 livre
Biographie
Réalisatrice, auteure et scénariste chevronnée, Geneviève Lefebvre a écrit abondamment pour le cinéma et la télévision. Au cinéma, elle a scénarisé divers longs métrages, dont Petit drame dans la vie d'une femme (sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes) et Les Amazones. Elle a aussi scénarisé et coréalisé son premier long métrage de fiction Le Ciel sur la tête avec André Melançon, avec qui elle avait collaboré au scénario du film Fierro… l'été des secrets.
Pour le petit écran, elle a scénarisé près d'une vingtaine de projets. Elle est aussi conceptrice, scénariste, réalisatrice et productrice des savoureuses capsules webChez Jules, nominées aux prix Gémeaux 2009 dans la catégorie « meilleure série dramatique pour les nouveaux médias ».
Geneviève Lefebvre a aussi assuré la traduction française de la pièce de Charles Ludlam, Le Mystère d'Irma Vep, coup de cœur du Festival Juste pour rire 2004, deDécadence de Steven Berkoff, de La Leçon d'histoire d'Alan Bennett et de Denial d'Arnold Wesker pour la Compagnie Jean Duceppe.
À titre de chroniqueuse, Geneviève a écrit pour divers magazines tels que ELLE Québec, Coup de pouce, Vita et Clin d'œil. Elle a collaboré à l'émission de radio Tout l'monde debout à Rock Détente avec sa chronique « La vie est une aventure » et a été lue, chaque semaine, dans le cahier « Opinion » du Journal de Montréal. Elle est également l'auteure du blogue de fiction et d'opinion Chroniques blondes, dont la qualité des textes lui a valu deux nominations aux Canadian Weblog Awards 2010.
Je compte les morts, son premier roman publié en 2009, a été finaliste au Prix littéraire France-Québec et aux Arthur Ellis Awards. Son deuxième, La Vie comme avec toi, remporte le prix Coup de cœur du festival du roman policier de Saint-Pacôme. Sous le pseudonyme « Blonde », elle publie ensuite Dis oui, dans la collection Expression rouge. Va chercher est son quatrième roman.
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