Fred Fordham
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Note moyenne : 7.83/10Nombre d'évaluations : 36
0 Citations 19 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Bon.
D’accord, c’est bien narré, c’est joliment mis en image.
Adaptation d’un best-seller américain, ça sent cependant la nostalgie (écrit en 1960 pour raconter une histoire des années 30, j’ai eu du mal à entrer dans cette ambiance très américaine…).
J’ai également eu beaucoup de mal à savoir où l’histoire voulait en venir : acceptation du gamin qui vient en vacances ? Grandir quand on est une fille ? Suit-on l’histoire de l’homme mystérieux dans la demeure ? Le père étrange ?
Au final, plein de jalons sont posés qui ne servent quasiment pas puisque c’est le procès qui nous intéressera et qui arrive tardivement, le reste n’étant pas réellement primordial.
Ça a beau être bien dessiné et rendre parfaitement l’époque
Afficher en entierL’oiseau moqueur, c’est Tom. Il n’a aucune raison de mourir, mais il va quand même mourir. Harper Lee a su bien décrire l’histoire des esclaves noirs, de l’injustice au racisme. Les illustrations de Fred Fordham soulignent le texte de Lee avec brio et délicatesse. La simplicité des images donne la chance au lecteur d’observer les détails, de comprendre les émotions et l’histoire complexe.
Afficher en entierCe livre est l'adaptation en roman graphique du chef d'oeuvre d'Harper Lee, la "Jane Austen de l'Alabama". Je n'ai pas lu le roman éponyme mais je connaissais l'histoire grâce à l'adaptation cinématographique "Du Silence et des Ombres". Une fois encore j'ai été emportée par l'histoire, les mots simples mais attachants de la narratrice, l'humanité de son père, Atticus, ou encore la solitude de son voisin Boo Radley. Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur est un livre que tout le monde se doit de lire, ne serait-ce que pour mieux se respecter les uns les autres...
Afficher en entierAprès avoir eu l’agréable surprise avec le roman, qui m’avait beaucoup plu et dans lequel je m’étais laissé embarquée, j’étais avide de lire la bande-dessinée, afin de mettre des images sur les personnages et les actions. D’après mes souvenirs du roman de Harper Lee, le récit est fidèlement retranscrit dans cette bande-dessinée. On y retrouve bien évidemment les thèmes forts et marquants de l’histoire des Etats-Unis : la ségrégation, le racisme, les inégalités, les exclusions et la discrimination. Les illustrations sont très belles et ont une petite touche de douceur qui fait du bien et qui apaise face à ce récit emprunt constamment de dureté.
Afficher en entierJe confirme, une fois de plus, le bonheur de replonger dans une histoire que l’on connaît et ce, grâce au roman graphique. Frère et sœur qui vivent dans l’Alabama des années 30 auprès de leur père avocat. Homme intègre qui défendra un homme de couleur accusé de viol. Les enfants assisteront au procès. Et quel est cet étrange voisin qui ne sort jamais de chez lui ? Fidèle au roman d’origine, agrémenté de dessins et couleurs réalistes et d’époque. De belles expressions de visages. Incontournable !
Afficher en entierCette adaptation est juste magnifique, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur est mon livre préféré, et je ne pouvais pas passer à côté de ce roman graphique. Je le conseille à ceux qui n'ont pas le courage de se lancer dans le roman, parce que cette histoire vaut vraiment le coup.
Afficher en entierUn roman graphique qui permet de découvrir l'œuvre de Harper Lee d'une belle manière, notamment pour ceux qui ont du mal à lire les classiques.
Afficher en entierLe roman culte d'Harper Lee lu il y a quelques années a été un grand coup de coeur. Quand j'ai vu cette adaptation graphique, je n'ai pu résister. Grand bien m'en a pris, coup de coeur également pour cette sublime bd.
La vie d'une petite ville de l'Alabama des années 1930 vue par Scout, une fillette de 8 ans. Malgré son jeune âge et son innocence, elle sera confrontée au racisme, aux préjugés, à la violence des hommes. Elle vit avec son frère Jem et son père Atticus. Pendant que les enfants profitent de l'été pour faire les 400 coups, le père, avocat, accepte de défendre un homme noir accusé du viol d'une femme blanche. En pleine ségrégation, ils vont bientôt être rejetés par ceux qui se disaient leurs amis.
J'ai adoré le graphisme. Le dessin au trait épuré et aux couleurs douces est très réaliste, avec un petit côté suranné qui illustre parfaitement l'époque. Les visages sont très expressifs.
Fred Fordham retranscrit pour l'essentiel le texte du livre, une chose fort appréciable. Comme toute adaptation il faut bien entendu condenser mais le graphique faisant presque 300 pages, cela permet de bien dérouler l'histoire et de retrouver l'essence du roman.
Encore une merveilleuse lecture en compagnie de Scout qui m'a enchantée. Je vous la recommande si vous souhaitez vous replonger dans cet incontournable ou tout simplement le découvrir.
https://www.facebook.com/lecturesnoirespournuitsblanches
Afficher en entierJ'ai trouvé que c'était une excellente adaptation, bien que ce récit m'a semblé un peu trop réduit et minimmalisé par moment.
Afficher en entierCher Vous,
Ce roman d’anticipation dystopique est sorti en 1932, donc écrit lors du départ de la grande dépression qui fait suite au krach boursier de 1929.
Huxley y décrit un monde eugéniste où il n’y a plus qu’un seul Dieu, Henri Ford, où tout être humain est sous le contrôle d’une drogue, le Soma. Pas de cours d’Histoire, pas d’individualisme ni de culture, on bosse, on baise et on vénère notre Ford… Tous ces détails font que ce livre, jusque dans les années 1980 a subi les foudres de la censure.
Ce roman de SF tombe parfois dans l’oubli, puis une personne le relit et le fait découvrir à une nouvelle génération, il revient et un nouveau lectorat en découvre la force.
Quelle merveilleuse idée a eu là l’éditeur Philéas que d’en faire une adaptation graphique !
Un dessin aux traits fluides, une belle mise en couleurs, et surtout le respect complet du roman original.
Une nouvelle vie pour cette œuvre qui fait quelque peu réfléchir aux bonheurs artificiels.
Est-ce bon de ne pas vieillir, de ne plus enfanter, d’utiliser la sexualité juste comme un moyen de se détendre, de tenir le peuple, peu importe la personne et le nombre de participants…
Bref, un roman dystopique qui fait partie des classiques et que l’on peut (re)découvrir dans ce nouveau format fort bien réussi…
Stanislas Petrosky http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2023/07/15/39974273.html
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