Barbara Sadoul
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Note moyenne : 6.81/10Nombre d'évaluations : 124
0 Citations 79 Commentaires sur ses livres
Dernier livre
de Barbara Sadoul
Sortie Poche France/Français : 2014-10-22
Les derniers commentaires sur ses livres
Diverses histoires tirées de différents livres. Du conte de fées au suspens. C'est un livre sympa qui offre tout un éventail de découverte dans les styles de sorcières.
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Relu récemment, j'avais étudié ce livre en classe de 4ème. C'est une très bonne anthologie de nouvelles d'auteurs variés, celle qui m'a le plus marquée est La Clevelure de Maupassant, très perturbante ! Mais je vous conseille cette collection pour rentrer gentiment dans l'univers des nouvelles fantastiques !
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Une petite lecture fort sympathique avec un bon assortiment de contes tous bien différents les uns des autres ! De plus je tiens à souligner la beauté de cette illustration en première de couverture qui donne vraiment envie de lire ce recueil, contrairement à d'autres livres scolaires moins attrayants... alors bravo à la maison d'édition !
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un très bon recueil de nouvelles évoquants les fées socières et diablesses cela m'a donnée pleins d'idées de lectures car je suis constamment en recherche de lecture sur les fées il s'agit principalement de textes anciens mais purement authentiques
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Un recueil de nouvelles vampiriques à la fois fascinant et effrayant.
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Mes notes pour les 13 nouvelles (sur 1 à 5 étoiles) de ce recueil :
- L'Homme au sable [Le Marchand de sable] (Der Sandmann, 1816) de Ernst Theodor Amadeus Hoffmann ⭐⭐⭐
- La Cafetière (1831) de Théophile Gautier ⭐⭐⭐⭐
- Le Portrait ovale (The Oval Portrait, 1845) de Edgar Allan Poe [traduction de Charles Baudelaire] ⭐⭐⭐⭐
- Le Monstre vert (1849) de Gérard de Nerval ⭐⭐⭐
- La Montre du doyen (1860) de Erckmann-Chatrian ⭐⭐⭐⭐
- La Légende de l'homme à la cervelle d'or [L'Homme à la cervelle d'or, 1860 et révisée en 1866] de Alphonse Daudet - La version proposée est celle de 1860 ⭐⭐
- L'Orgue du Titan (1876) de George Sand ⭐⭐⭐⭐
- Véra (1874) de Auguste de Villiers de L'Isle-Adam ⭐⭐⭐
- La Chevelure (1884) de Guy de Maupassant ⭐⭐⭐
- Je suis d'ailleurs (The Outsider, 1926) de H. P. Lovecraft ⭐⭐⭐
- La Choucroute (1947) de Jean Ray ⭐⭐⭐⭐
- Le Meneur de loups (1947) de Claude Seignolle ⭐⭐⭐⭐
- Escamotage (Disappearing Act, 1953) de Richard Matheson ⭐⭐⭐⭐⭐
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Dans l'ensemble, il s'agit de nouvelles du 19e siècle, empreintes d'un romantisme ténébreux et parfois un peu pervers. Les auteurs partent de fantasmes angoissants de l'être humain pour en faire leurs nouvelles : secrets se mêlent à la folie, le vivant imagine la vie après la mort, les objets mécaniques comme naturels prennent vie. Du fait de la variété des sujets de nouvelles, ce qui fait peur peut être différent selon le lecteur... En cela, le recueil est intéressant.
Par contre, il ne s'agit pas d'un ouvrage qui m'a franchement enthousiasmée, ni plu. Je me suis même un peu ennuyée. Est-ce parce que les auteurs n'ont pas le temps de développer leurs histoires ? Ou parce l'alternance des histoires manque de rythme ? Je ne sais pas trop...
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Certaine histoire sont trop longue et compliqué à comprendre (pour une ado) mais les histoires sont variées et aborde plusieurs thème différents. Personellement je trouve que la dernière est incroyable.
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Etant donné qu'on approche d'Halloween, j'avais envie de me mettre dans l'ambiance en lisant un livre qui fait peur. Bon c'est raté avec celui-là car je n'ai pas tremblé ni même frissonné une seule fois. J'avais déjà lu la nouvelle écrite par Théophile GAUTIER ( la cafetière), et elle ne m'avait pas marqué plus que ça à ma première lecture, ça ne sera pas le cas non plus cette fois-ci. Quand aux autres, elles aussi ne me resteront pas en mémoire très longtemps. Finalement si je veux un livre horrifique, il faudra que je choisisse du King ou du Hitchcock
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Une belle découverte pour moi ! Je trouve ça super intéressant que l'on mette en avant d'autres textes vampiriques que celui de Bram Stocker, et surtout que l'on présente ceux qui étaient là AVANT LUI. On a parfois l'impression que tout vient du célèbre texte Dracula, mais c'est faux. Aussi, j'ai apprécié découvrir qu'avant Stocker, le vampire était plutôt une vampire. Bref, je suis bien contente d'être tombée sur ce recueil, ce fut une lecture parfaite pour le 31 d'octobre !
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de Barbara Sadoul
Sortie Poche France/Français : 2014-10-22
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Biographie
Auteur jeunesse, spécialiste du fantastique, comédienne et professeur de théâtre, Barbara Sadoul alterne la scène et l’écriture. Elle a publié ses romans et anthologies thématiques chez différents éditeurs (Librio, Denoël, Bayard, Dervy, Syros, Atlantica-Séguier). Régulièrement elle se rend dans des écoles, collèges et lycée professionnels pour des rencontres et des animations d’ateliers d’écriture et/ou de théâtre – ateliers toujours ludiques, orientés vers l’Imaginaire.
Thèmes
Barbara Sadoul semble prédestinée à sa passion pour le fantastique. A l’âge de dix ans, un ami de ses parents, l’inventeur de Vampirella, lui offre un surprenant pendentif : un petit cercueil contenant « peut-être » les cendres de Dracula… A cette époque, Barbara rêve de devenir actrice ou vétérinaire.
Suite à ses recherches universitaires pour une maîtrise sur « La solitude du vampire » et un doctorat sur « Le loup-garou en littérature française et anglo-saxonne », Barbara commence à être publiée. Ses créatures mythiques préférées lui inspirent ses premières anthologies : Les cent ans de Dracula, Le bal des loups-garous et La dimension fantastique dont le quatrième tome vient juste de paraître. Dans cette série, Barbara présente différentes facettes du fantastique avec un choix de nouvelles souvent classiques.
Aucun loup-garou ne s’est glissé à la soutenance de thèse de Barbara, ni même un loup – et pourtant, sans cet animal et ses débuts au théâtre, elle n’aurait sans doute jamais osé écrire de fiction. C’est après deux stages passés à observer les loups en semi captivité dans le Gévaudan et à les suivre dans le Mercantour que Barbara rapporte la trame du Réveil du loup-garou, elle donne ensuite la parole à son favori, le vampire (La messagerie du vampire) et, à partir d’un souvenir d’enfance, imagine son premier album pour les tous petits (Singe Rouge apprends-moi des bêtises).
Cet album conduit Barbara au Salon du Livre où elle débute ses premiers ateliers d’écriture. Elle se plaît à répondre aux questions des enfants et leur fait écrire une histoire pour qu’ils gardent en souvenir le plaisir d’avoir réussi à imaginer ensemble.
Pour Barbara, pas question de terrifier son lecteur. Ses personnages fantastiques sont rarement des monstres, juste des êtres différents qui parfois éprouvent le besoin de se confier et d’échapper à leur solitude. L’humour est également un ingrédient essentiel que Barbara aime insuffler à certains de ses héros. Sa première pièce de théâtre en tant qu’auteur, « Pustules et sortilèges » réunit ses différentes passions et le vampire est là – mais il porte un patch qui devrait l’empêcher de mordre le public.
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