Alison Goodman
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Note moyenne : 8.23/10Nombre d'évaluations : 2 618
0 Citations 1 052 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Lady Helen et Callisto, vous allez devoir tenir bon contre tous vos problèmes !
Afficher en entierJe ne sens pas du tout le duc de Selburn, il cache quelque choses...
Afficher en entierAu cœur d'une Chine impériale mythique, Eon s'entraîne avec d'autres jeunes garçons pour être choisi comme apprenti par l'un des douze dragons qui protègent le pays. Mais il porte un dangereux secret. Dans ce monde plein de fausses identités, d'alliances incertaines mais aussi d'amitiés loyales, Eon est en grand péril. Un récit fascinant, une aventure flamboyante, dans la tradition du Clan des Otori de Lian Hearn.
Afficher en entierEon a décidé de révéler sa véritable identité : Eona. Elle est la première femme œil de dragon depuis des centaines d’années. Accompagnant les rebelles et Lady Dela, elle fuit le puissant Lord Sethon et son armée. Les renégats partent à la poursuite de Dillon, l’apprenti drogué du seigneur Ido, qui a volé le très puissant livre noir. Ils doivent aussi trouver Kygo, le jeune empereur des Perles, qui a besoin du pouvoir d’Eona et du livre noir s’il veut renverser son oncle, Sethon, l’usurpateur du trône. Enfin Eona doit arriver à gérer sa nouvelle identité d’œil de dragon et son nouveau pouvoir. Elle doit aussi apprendre à supporter l’angoisse des dix autres dragons dont les apprentis et seigneurs ont été assassinés. Tandis qu’ils concentrent leur pouvoir à travers elle, elle devient un dangereux conducteur pour leurs plans.
Afficher en entierEn commençant ce livre, il m'a très vite fait penser au film "Pride and Prejudice and zombies". Un parfait mélange alliant romance du 19ème et personnages fantastiques.
👩🏻🧑🏻🦱 Lady Helen est une jeune fille entrant dans le monde de la haute société anglaise. Elle est douce, intelligente et intrépide. Elle m'a très vite fait penser à Elisabeth Bennet, par son côté rebelle qui ne plaît pas à tout le monde.
Lord Carlston est un homme mystérieux, revenant à Londres après plusieurs années sur le continent. Sa femme ayant disparue, tout le monde se méfie de lui, sauf quelques téméraires. J'ai beaucoup aimé ces deux personnages et j'ai hâte de les retrouver dans les tomes suivants.
Les personnages secondaires sont très présents et bien décrits. J'ai une légère aversion pour Lady Maragaret à cause de son jugement constant. A contrario, j'étais un peu triste que l'autrice ne develope pas plus le personnage de Mr Quinn. Peut-être dans la suite, qui sait?
❤️ Romance il y a, même si très légère. C'est clairement du (very) slow burn, il ne se passe pas grand chose dans ce premier tome. Un petit triangle amoureux se développe doucement et personnellement, j'ai déjà fait mon choix!
🗺️ Concernant l'univers de ce livre, on part sur le Londres du 19ème siècle (Bridgerton et tout le tralala). On sent que ce premier tome sert à poser le décor, à nous expliquer le contexte du livre. L'action n'apparaît que vers la moitié du livre, mais ça compense sans aucun doute les difficultés de lecture du début.
🖋️ L'écriture est pompeuse dans ce livre. J'ai parfois vraiment eu l'impression de lire un livre de Jane Austen. J'ai eu du mal à m'y faire au début, car mes dernières lectures avaient une écriture très moderne. Mais honnêtement, une fois plongé dedans, on s'y fait. Et je trouve que ce genre d'écriture apporte un plus dans ce type de livre. J'ai déjà eu l'occasion de lire des livres avec un univers du 19ème, le tout avec une écriture moderne et personnellement, j'avais détesté.
J'ai beaucoup apprécié ce livre et je le conseille vivement.
Afficher en entierLe début de ce tome, que j'ai trouvé lent (comme les deux précédents en réalité), mais paru très long à cause de la frustration. J'étais aussi frustrée qu'Helen de revenir à un stade où elle a des bâtons dans les roues à tous les niveau, à cause de sa condition féminine. Ses fiançailles signifient pour Helen un retour à la vie mondaine, où elle doit être respectable et rester à sa place de femme, pas du tout compatible avec une vie de Vigilante. Et le retour de sa famille, qui la surveille de près, n'arrange rien !
Une fois cette partie dépassée, dès que l'action reprends (un peu tardivement dans ce tome par rapport aux deux précédents j'ai trouvé), j'ai été de nouveau happée par ma lecture. Le suspens est à son comble, la tension entre Helen et Carlston aussi ! Et les retournements de situations étaient bien exécutés, je ne les avais pas vu venir, personnellement. Une fin de saga à couper le souffle ! Mais peut-être passé un peu trop vite par rapport au reste de l'histoire. Les problèmes de rythme est sans doute le seul point qui fait que cette saga n'a pas été un coup de cœur !
La romance revient dans ce tome également, mais Helen doit se marier au Duc, et elle met ses sentiments pour le comte sur le compte du lien alchimique entre eux. Pourtant,Spoiler(cliquez pour révéler) à la première occasion, Helen est prête à tout abandonner pour lui. Et quand leur lien s'éteint, les sentiments sont toujours présents, presque plus forts, à cause de leurs péripéties mais aussi à cause du manque créer par la disparition de leur lien magique.
J'ai beaucoup aimé également la découverte des pouvoirs d'Helen. Si je lis de la fantasy, c'est pour la magie ! Et là j'ai été servie. Elle est tellement forte et badass, tout ce qu'elle ne DEVRAIT pas être aux yeux de la société, et cela la rend encore plus incroyable à mes yeux.
De très bons moments passés sur cette trilogie. Un grand merci à ma meilleure amie qui me l'a vivement conseillée, parce que je crois vraiment que je ne les aurais jamais lu si elle ne m'y avait pas poussé (voire forcer ;p). C'était une belle découverte de retrouver mêlée la Régence, la bonne société, à un univers de fantasy très sombres et violents, des pouvoirs alchimiques, qui lie les âmes. Le tout est très bien intégré à l'époque.
Afficher en entierJ'ai adoré découvrir le point de vue de Carlston lors de sa rencontre avec lady Helen. J'aurais tellement aimé en avoir plus pour le connaître davantage.
Afficher en entierJ'ai pris un plaisir fou à me replonger dans cet univers que j'ai tant aimé, même pendant un temps très court qui n'a duré que quelques pages.
Afficher en entierJ’ai trouvé ce livre vraiment ennuyant… je n’étais pas du tout en empathie avec Helen, prisonnière de sa condition de femme, et amoureuse de deux hommes très différents… j’avoue que c’est une situation que j’ai trouvé peu originale, ainsi que le dénouement final, que j’avais vu venir de très loin… après je suis adulte, je ne suis pas le public cible, mais franchement, je pense qu’il y avait moyen de faire mieux avec les bases de l’histoire…
Afficher en entierJ'ai adoré l'ambiance avec d'un côté les bals et les régences, qui rappelle l'ambiance de la Chronique des Bridgerton, et de l'autre de la magie qui amène cette dose d'aventures et dangers.
On a un début un peu lent, qui nous fait encore plus plonger dans l'intrigue et nous y accroche. Et une fin, paradoxalement géniale et abominable. De plus, l'histoire est très intéressante, on explore tous un aspect psychologique du personnage tiraillé entre deux avenirs. J'ai hâte de découvrir la suite, et d'en apprendre plus sur le monde des "Vigilants".
Du côté des personnages, je trouve en Lady Helen une superbe héroïne qui a de la grâce et beaucoup de courage. Toute aussi pleine de courage, on a Darby qui est aussi très investi. Enfin, on a Lord Carlston qui renvoie une image froide et mystérieuse que l'on a envie de percer. Un mot pour les personnages secondaires, je les ai tous adorés (sauf Benchley) notamment Lady Pennworth qui malgré son époux a aidé de son mieux Helen.
Afficher en entierOn parle de Alison Goodman ici :
2019-01-21T13:57:50+01:00
2019-01-21T13:47:34+01:00
2018-05-25T10:13:28+02:00
2018-03-07T09:49:59+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Alison Goodman
et autres évènements
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Editeurs
Gallimard Jeunesse : 11 livres
Viking Children's Books : 3 livres
Firebird : 2 livres
Gallimard : 1 livre
Editions de La Table Ronde : 1 livre
David Fickling Books : 1 livre
cbj : 1 livre
Blanvalet : 1 livre
Biographie
Melbourne, 18 août 1966, Alison Goodman naît sous le signe du Cheval dans l’astrologie chinoise. «Certes, je trouverais plus adéquat d’être Dragon, explique l’auteur d’Eon et le douzième dragon. Néanmoins, je suis très heureuse d’être Cheval, car ce signe est très créatif et passionné. Mieux, il est associé, cette année-là, au feu, ce qui dope encore ma passion! Jadis, les filles nées sous le signe du Cheval une année de feu étaient souvent noyées à la naissance, car elles étaient synonymes de troubles, de chaos partout où elles passaient. Finalement, c’est peut-être pour cela que je déteste nager…»
Après une première incursion dans la science-fiction avec Singing the Dogstar Blues puis un polar noir sur fond de complot, Killing the Rabbit, l’Australienne plante le décor de son dernier roman dans une Chine ancestrale mythique, où les femmes n’ont pas accès à la magie. Mais derrière l’infirme Eon, 12 ans, candidat au rang d’œil de dragon (pacte alliant un homme et un des douze dragons énergétiques), se cache une jeune fille, Eona. Tout en préservant son secret, elle va s’opposer au chef de guerre Sethon complotant pour éliminer l’empereur. «Je me suis beaucoup documentée en bibliothèque, en voyageant aussi au Japon et à Hongkong. J’ai également pris des leçons de sabre, de manière à ressentir les sensations d’un guerrier… Feu ma tante Nachie, qui était Japonaise, m’a initiée à sa culture, une passion qui ne m’a jamais quittée. Un de mes souvenirs les plus anciens, c’est de m’asseoir dans sa cuisine à manger des lichettes d’algues emballées comme du chewing-gum. Cela explique sans doute mon goût très prononcé pour l’unami (mot japonais désignant la cinquième saveur fondamentale avec le sucré, le salé, l’amer et l’acide). Je préférerai toujours un nori (algue rouge) à une barre chocolatée.»
Cette fascination pour la culture orientale rebondit dans son récit. «Je ne suis pas dans l’autobiographie. Néanmoins, je tire de ma propre vie émotionnelle les éléments psychologiques de tous mes personnages, y compris le méchant Sire Ido! Comme Eon-Eona, j’aime observer, questionner. Toutes deux, nous sommes curieuses de comprendre pourquoi les gens agissent, comment ils négocient les conséquences de leurs actes.»
A l’évidence, Alison Goodman plonge dans le passé pour mieux parler du présent, notamment sur les abus de pouvoir, et pose un regard féminin sur un monde de brutes. «Les aspects féministes viennent d’Eona. Cette jeune femme se déguise en garçon pour survivre à une société dominée par les mâles. Ce subterfuge induit immédiatement l’idée d’explorer les sexes. De plus, un des personnages est transsexuel, un autre est eunuque, deux protagonistes essentiels à l’intrigue. A posteriori, ces cas de figure appartiennent aussi au débat contemporain de la nature des sexes.»
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