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Mehdi Omaïs a poussé son premier cri à Dakar en 1983. Sénégalais d’origine libanaise, il prend son envol à 18 ans en rejoignant Paris afin d’y poursuivre des études supérieures de commerce. C’est l’occasion pour l’auteur de confronter les traditions qui ont bercé son enfance à l’ouverture d’esprit et la richesse culturelle de la ville lumière. Tout récemment diplômé d’un MBA de production audiovisuelle, il se consacre désormais en grande partie à l’écriture. La mort est belle et Le troisième enfant, ses deux premiers romans, sont parus respectivement en 2007 et 2008.
C’est en 1998, alors qu’il perd son grand-père le jour de ses 15 ans, que Mehdi Omaïs décide de noircir des pages. Bouleversé par cet événement, il se réfugie dans l’écriture et griffonne à tout va : des bribes d’histoire, des poèmes, des petits textes... Arrivé à Paris pour ses études en 2001, il tombe amoureux de cette ville qui devient rapidement sa source d’inspiration. A l’âge de 19 ans, l’auteur se lance corps et âme dans la préparation de son premier roman, La mort est belle. Ses influences sont puisées dans la diversité de son patrimoine culturel mais aussi dans la littérature contemporaine (Rowling, Salinger, Selby Jr., Easton Ellis...).
Elevé dans la « société de l’image », son style d’écriture, cinématographique et alerte, est très représentatif de sa passion pour le septième art.
Biographie
Mehdi Omaïs a poussé son premier cri à Dakar en 1983. Sénégalais d’origine libanaise, il prend son envol à 18 ans en rejoignant Paris afin d’y poursuivre des études supérieures de commerce. C’est l’occasion pour l’auteur de confronter les traditions qui ont bercé son enfance à l’ouverture d’esprit et la richesse culturelle de la ville lumière. Tout récemment diplômé d’un MBA de production audiovisuelle, il se consacre désormais en grande partie à l’écriture. La mort est belle et Le troisième enfant, ses deux premiers romans, sont parus respectivement en 2007 et 2008.
C’est en 1998, alors qu’il perd son grand-père le jour de ses 15 ans, que Mehdi Omaïs décide de noircir des pages. Bouleversé par cet événement, il se réfugie dans l’écriture et griffonne à tout va : des bribes d’histoire, des poèmes, des petits textes... Arrivé à Paris pour ses études en 2001, il tombe amoureux de cette ville qui devient rapidement sa source d’inspiration. A l’âge de 19 ans, l’auteur se lance corps et âme dans la préparation de son premier roman, La mort est belle. Ses influences sont puisées dans la diversité de son patrimoine culturel mais aussi dans la littérature contemporaine (Rowling, Salinger, Selby Jr., Easton Ellis...).
Elevé dans la « société de l’image », son style d’écriture, cinématographique et alerte, est très représentatif de sa passion pour le septième art.
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