Sandrine Collette

L'écriture est magnifique. L'histoire est bouleversante et il est difficile de se détacher des personnages. Le roman se lit d'une traite. Un très bon moment de lecture.

Un roman que vous n'êtes pas prêt d'oublier. Les personnages deviennent votre famille. L'écriture magnifique de l'autrice rend d'autant plus bouleversante et glaçante leur histoire. Très noir mais très actuel.

Très belle écriture. Un scénario efficace. Un bon moment de lecture. Roman noir.

Dans la même veine que juste après la vague. Roman noir. Une histoire glaçante mais actuelle. L'écriture est toujours magnifique et les personnages extrêmement attachants. Très bon moment de lecture. Suspens jusqu'à la fin.

Waouh, quelle angoisse ! Il n'y a pas à dire, cette autrice sait maintenir le suspens. Impossible de lâcher ce récit anxiogène, écrit dans un style télégraphique, ce qui ajoute un sentiment d'urgence, de panique. Une histoire incroyable, où on se demande quand va finir le cauchemar vécu par les membres de cette famille, obligés de faire des choix inhumains pour survivre.

Un roman que j'ai dévoré malgré l'horreur ressentie à certains moments. En fait, on y est avec cette famille ! La fin est un peu écourtée, dommage. À éviter, tout de même, aux thalassophobes...

C'était mon premier collette. Apres avoir lu de superbes critiques, je me suis lancée... je n'ai pas du tout apprécié. J'en tenterai un autre pour être sûre, mais pas tout de suite.

Je suis soufflée par cette histoire, comme ce vent qui souffle dans le titre... quant aux cendres, ah ! ces cendres ! Je vous laisse découvrir leur importance.

Ce thriller m'a prise aux tripes, impossible de le lâcher. C'est dingue comme l'autrice installe une tension qui monte, qui monte, qui monte au fil des pages jusqu'au dénouement ! En peu de mots, elle parvient à créer une atmosphère, une ambiance et des personnages très attachants, bien construits.

On est avec eux entre ces vignes où se jouent des sentiments très forts, si humains et à la fois si effrayants ! Pourtant, l'idée de base est très simple : un groupe de personnes vient faire les vendanges chez un riche propriétaire au passé sombre. Il n'était question que de travail saisonnier, mais entre eux vont se jouer des choses beaucoup plus importantes.

Brillant et époustouflant ! Avec toujours une grande et belle place accordée à la Nature, comme dans tous les livres de Sandrine Colette qui est à présent, pour moi, une valeur sûre dont je vais m'empresser de découvrir les ouvrages que je ne connais pas encore...

« C’est le jour où elle est morte que j’ai compris que le monde sans quelqu’un pour qui on donnerait tout c’est l’enfer, et pour moi l’enfer c’est quand il n’y a plus de sens, où que tu ailles ça sonne creux. »

Comment accepter l’inacceptable quand il se présente à vous ? C’est toute la réflexion qui émane de ce roman, et qui nous entraîne dans une quête d’humanité.

J’ai voyagé aux côtés de Liam, éternel solitaire, habitant avec sa femme dans une ferme isolée aux abords de montagnes enneigées, vivant modestement au rythme des saisons. De cette union naquit Aru, tant désiré par Ava, malgré un mari sceptique à l’idée d’élever un enfant dans un environnement si primaire, loin de tout.

Cinq années se passent où chacun trouve sa place au sein du foyer, Ava et Aru étant inséparables, si fragiles face à la dureté d’un chef de famille qui peine à accepter pleinement son rôle de père. Jusqu’à ce que le destin en décide autrement, et que la mort vienne prendre Ava.

La tristesse, le deuil, le poids des responsabilités, le chamboulement d’un quotidien déjà établi, sont autant de raisons qui vont pousser Liam à chercher à se séparer d’Aru, à fuir son rôle de parent. À travers un voyage initiatique, nous allons découvrir ces deux personnages que tout semble opposer, la complexité de créer un lien père-fils quand la seule personne qui les unissait n’est plus présente.

Comment transmettre de l’amour et de la bienveillance, ayant soit même grandit dans une famille où les gestes tendres étaient prohibés, rejeté par son propre père ? Cette figure paternelle, signe de stabilité, qui est censé nous protéger, nous transmettre, nous conseiller.

Tout au long de ce périple, j’ai été très émue de partager cette culpabilité grandissante de ce père démuni, assaillit de doutes face aux événements, mais aussi de constater la dureté avec laquelle il se rabaissait, ne se sentant pas légitime dans ce rôle.

À travers des paysages époustouflants, tenez-vous prêt à chanter avec les loups cette douce mélodie au clair de lune, celle de la résilience et de l’espoir.

« Le chant des loups nous appelle parce que c’est notre chant et aussi loin qu’on puisse remonter il y a l’éclat d’un animal en nous, c’est pour ça que ça m’émeut et que des larmes viennent brûler le bas de mes yeux. »

Un huis clos parfaitement bien mené.

Un roman qui devient vite oppressant. C'est noir, très noir mais pourtant très addictif.

Dès le départ on est pris dans cette histoire où la douleur, la folie ne font qu'augmenter à chaque chapitre.

L'autrice joue parfaitement entre les moments d'abandon, de défaitisme, et ceux où l'espoir semble renaître.

Ici on plonge dans la folie pure et inconcevable où la manipulation est au premier plan, toujours là.

Des situations qui pourraient paraître improbables mais qui sont si bien amenées qu'elles n'en semblent que plus réelles, et du coup toute l'horreur nous éclate à la figure.

On voudrait pouvoir entrer dans l'histoire et intervenir auprès de Théo, le sortir de là.

C'est excessivement prenant et j'ai eu beaucoup de mal à reposer mon livre.

Plus on avance plus on s'aperçoit que l'autrice sait parfaitement faire ressortir ce que notre cerveau peut faire, ou pas, dans une situation aussi extrême.

Une lecture que je ne regrette pas et qui va me marquer un certain temps.

À noter que ce roman est le premier de Sandrine Collette et au vu de cette réussite je vais rechercher d'autres titres de cette autrice.

Liam est un chasseur de cerfs ,seuls au monde dans cette nature sauvage avec sa femme Ava il vivent au grès des saisons et de ce que la nature leur apporte.

C'est dans la vie la plus simple qu'il élève leur fils Aru . Si pour Ava c'est une évidence il en est de rien pour Liam.

Un enfant n'a pas sa place dans cet espace si brut si aride et puis lui n'a pas cette facilité à s'attacher à son enfant, à partager avec lui des moments des sentiments.

Pourtant de retour d'une longue chasse tout ce bouscule dans sa tête en voyant sa femme agonisante dans la neige.

Que s'est-il passé ?

Où est son fils ?

Sera-t-il faire face à son destin ?

Un homme peut-il changer ?

Quel lecture ! Sandrine Collette tape fort avec ce petit roman si dense d'émotions.

Le décor est bien planté la nature,les animaux,les montagnes et ses habitants si peu soient-ils.

Des hommes rustres un peu sauvages,qui vivent en harmonie avec la nature.

Liam est confronté à des choix qui ne lui appartiennent pas enfin c'est ce qu'il croit,lui qui s'est construit tout seul sans vraiment de repères familiaux.

Un homme a qui on incombe des responsabilités qui vont créer des failles en lui,un homme sûr de lui qui s'effrite qui doute.

L'auteur nous fait passer par beaucoup d'émotions,une tempête émotionnelle que vous n'êtes pas prêt d'oublier.