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Nouvelliste, romancier, essayiste, homme de théâtre, critique littéraire et scénariste, Jakob Elias Poritzky (1876-1935) est l’auteur d’une oeuvre victime des drames de l’Histoire. Avec Mes Enfers, il est pour la première fois traduit en français.
Le destin de Jakob Elias Poritzky semble lié à son œuvre, tombée dans l’oubli à sa mort en 1935. Quelques années après sa naissance en 1876 à Lomza, dans une Pologne occupée par la Russie et où sévissent famine et pogroms, sa famille émigre et s’installe dans le pays de Bade, près de Karlsruhe. Les éditions de La Dernière Goutte, dont le catalogue recèle décidément bien des trésors, ressuscite en 2008 une œuvre jamais traduite en français jusque ici, Mes Enfers, publié en Allemagne en 1906. De ce livre inclassable s’élève une voix puissante, désespérée et révoltée, dont pourtant l’ironie n’est pas absente : un cycle infernal et douloureux, mais aussi burlesque parfois. L’auteur, lorsque paraît ce texte, n’a qu’une trentaine d’années. Il y relate une descente aux enfers, dans un mouvement à la fois spiral et cyclique : en effet, chaque chapitre décrit un nouveau cercle de l’enfer dans lequel s’enfonce le narrateur, chacun plus étroit et plus étanche que le précédent ; cependant, le dernier, « Révolte », cet appel rageur s’adressant à un Dieu hypothétique, répond au second qui évoque l’enfance du narrateur dans un environnement qui ressemble beaucoup à celui qu’a connu Poritzky.
Biographie
Nouvelliste, romancier, essayiste, homme de théâtre, critique littéraire et scénariste, Jakob Elias Poritzky (1876-1935) est l’auteur d’une oeuvre victime des drames de l’Histoire. Avec Mes Enfers, il est pour la première fois traduit en français.
Le destin de Jakob Elias Poritzky semble lié à son œuvre, tombée dans l’oubli à sa mort en 1935. Quelques années après sa naissance en 1876 à Lomza, dans une Pologne occupée par la Russie et où sévissent famine et pogroms, sa famille émigre et s’installe dans le pays de Bade, près de Karlsruhe. Les éditions de La Dernière Goutte, dont le catalogue recèle décidément bien des trésors, ressuscite en 2008 une œuvre jamais traduite en français jusque ici, Mes Enfers, publié en Allemagne en 1906. De ce livre inclassable s’élève une voix puissante, désespérée et révoltée, dont pourtant l’ironie n’est pas absente : un cycle infernal et douloureux, mais aussi burlesque parfois. L’auteur, lorsque paraît ce texte, n’a qu’une trentaine d’années. Il y relate une descente aux enfers, dans un mouvement à la fois spiral et cyclique : en effet, chaque chapitre décrit un nouveau cercle de l’enfer dans lequel s’enfonce le narrateur, chacun plus étroit et plus étanche que le précédent ; cependant, le dernier, « Révolte », cet appel rageur s’adressant à un Dieu hypothétique, répond au second qui évoque l’enfance du narrateur dans un environnement qui ressemble beaucoup à celui qu’a connu Poritzky.
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