Emmanuelle Urien

Quelle couverture magnifique !

Si ça n'avait pas été écrit sur le livre, je ne me serai jamais dit que c'était un thriller.

J'ai beaucoup aimé la construction de l'histoire et son évolution ainsi que les personnages.

Il y a du suspense, de la réflexion de l'action et j'ai hâte de lire la suite.

Je le conseille pour les plus de 12-13 ans.

Petit Plus : Un 8,5/10 pour ce roman

L'histoire est plutôt bonne et l'écriture aussi. Le thème est original et permet d'en apprendre plus sur les mines exploitées pour fabriquées les téléphones portables.

Ce troisième tome est dans la continuité des autres, il est super (même si le 2 reste mon préféré) ! j'ai vraiment hâte que le 4 sorte

Marie est la fille d'Irène, journaliste qui meurt dans un accident de la route. Un accident ? Pas si sûr. Car en triant les affaires de sa mère, Marie comprend que celle-ci s'intéressait à une société de fabrication de smartphone. Aidée de Léo, hacker, et de sa marraine, reporter, Marie va mener l'enquête.

J'étais très attirée par ce roman (écrit à 8 mains !!) grâce à son sujet : l'origine des composants des smartphones. C'est peu commun en YA, tout comme avoir pour cadre l'Afrique (du moins en partie). Et ça m'a beaucoup intéressée !

C'était une lecture sympathique : l'écriture est fluide, les chapitres alternant les points de vue ménagent le suspense, les personnages principaux sont attachants et les méchants bien méchants ^^

Petit point de réserve : je trouve le roman un peu court ce qui pour moi fait dérouler l'intrigue un peu vite et empêche un développement approfondi des personnages. C'est un peu dommage car l'histoire perd en crédibilité 🤷‍♀️

A contrario j'ai beaucoup apprécié l'enquête qui nous parle des conditions de travail dans les mines africaines, de la corruption, des guerres, de l'exploitation occidentale... Des sujets forts mais qui font froid dans le dos !

En bref : un petit roman mêlant écologie et enquête qui promet une saga intéressante sur des thèmes actuels !

Marie poursuit son envie de devenir journaliste après avoir réussi à dénoncer les agissements anti-écologiques de Luca Snyder. Mais ce dernier n'a pas oublié et tandis que Marie a décidé de s'attaquer aux méfaits de la fast fashion, l'homme d'affaires médite sa vengeance.

J'avais envie de lire ce second tome car il parle de l'industrie de la mode et surtout des dérives de la fast fashion, mode à petit prix renouvelée très souvent. Étant moi-même fan de mode, mais préférant la qualité à la quantité, je voulais lire ce petit roman enquête.

Concernant la longueur, ce sera la même critique que pour le premier tome. C'est un peu court pour vraiment être approfondi. C'est une première approche mais j'aurais préféré qu'on nous distille un peu plus les infos tout au long du roman plutôt que d'en lire la majorité dans un article de Marie à la fin.

Ce second tome se concentre un peu plus sur les personnages et fait le lien avec le premier grâce à la vengeance de Luca Snyder. J'ai retrouvé avec plaisir Marie et Léo et on découvre de nouveaux personnages, j'ai été particulièrement touchée par Sophan.

En bref : une écriture fluide, une intrigue avec assez d'action pour maintenir l'attention, une première approche qui choque sur la mode, sa production et sa consommation, mais un roman un peu court.

Le collectif Blackbone est désormais reconnu et Marie est confortée dans le choix de ses études de journalisme. Aussi, elle décide d'aller passer un semestre au Brésil, ce qui lui permettra d'écrire sur la problématique de la forêt amazonienne.

Je retrouve cette petite saga qui allie thriller et reflexions sur des sujets de société lié à l'écologie et je suis bien contente car le reproche que j'avais fait au tome précédent, à savoir que l'info était trop en bloc à la fin, était ici bien distillée dans tout le roman.

Le sujet est bien entendu vital, l'Amazonie étant le poumon de la planète, mais on nous parle aussi de notre rapport à la nature, des problématiques autour des sociétés indigènes dont on réduit toujours plus le territoire, de la corruption des politiques...

Ce tome 3 nous montre que le Brésil ce n'est pas que le carnaval, c'est aussi des cités modernes sorties ex-nihilo à grand renfort de déforestation face à des populations qui manquent de tout.

Mais ce tome est aussi plus intime. En effet, j'ai trouvé que nous avons plus d'éléments sur la vie personnelle et surtout sentimentale des personnages.

La saga suit aussi l'actualité. L'intrigue s'étale sur 2019-2020 : le covid arrive et cela est évoqué dans le roman. Peut-être un tome 4 sur l'industrie pharmaceutique/les laboratoires ou sur les scandales sanitaires ? Bref, hâte de savoir !

Alors que Marie fait son footing, elle est intriguée par un cours d'eau à sec. En le suivant elle découvre une décharge sauvage de plastique. Au même moment son amie Samira est en mission humanitaire dans le désert.

Un 4e tome sur un enjeu majeur du futur : l'eau. Une fois de plus les besoins essentiels se heurtent aux projets de grandes multinationales et j'avoue que ce que j'ai lu sur le gaspillage de cette ressource si précieuse fait peur.

De nouveau l'action prend un peu le pas et l'information est distillée avec parcimonie, ce qui, je trouve, donne un meilleur équilibre à l'intrigue. Les auteurs ont décidé de continuer avec ce format que je préfère.

Sinon je l'ai lu très vite, c'est fluide, intéressant et les personnages sont attachants.

Je regrette juste un peu qu'on n'ait pas eu un tome sur les laboratoires pharmaceutiques, étant donné la fin du tome 3 qui ouvrait sur le début du covid. Mais bon peut-être que le sujet est trop polémique...

Un super livre ! J'ai bien aimé l'intrigue et son sujet !!! A lire absolument

Mouaif.

🌎🌍🌏

C’était sympa mais pas dingue non plus 🤗 !

J’ai passé un moment agréable mais ça ne m’a pas vraiment donné envie de lire la suite…

Bon pour un public d’ados qui sont intéressés par tout ce qui est journalisme 🗞,fake News 📰 et compagnie !

Certaines nouvelles sont intéressantes, d'autres moins.