Graham Swift
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Note moyenne : 6.9/10Nombre d'évaluations : 49
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Les derniers commentaires sur ses livres
J'avoue avoir été déçue par ce livre, notamment par la fin. Si c'est un joli récit d'introspection, c'est également parfois compliqué à suivre et redondant. Néanmoins, j'ai tout de même apprécié cette lecture notamment pour la qualité de l'écriture de l'auteur qui rend le tout assez agréable.
Afficher en entierLe dimanche des mères est un roman étonnant, difficile à saisir au départ.
L'auteur pose une écriture philosophique, invitant son lecteur pas à pas à se questionner sur le sens des mots. Jane, l'héroïne, est un personnage assez étonnant, d'une fragilité apparente, faisant preuve d'une certaine résilience mais qui semble renfermer un feu puissant de sensualité, de perspicacité et un besoin grandissant de découvrir toute la beauté et la richesse que renferment ses lectures. Je me suis longtemps demandé où Graham Swift voulait amener son lecteur, l'histoire mêlant les souvenirs de son héroïne à différentes époques. Puis finalement j'ai compris que la finalité du roman n'était pas (seulement) de conter les aventures d'une jeune servante mais de vraiment suggérer au lecteur d'ouvrir son esprit face à la force des mots et de ressentir là force d'une observation. Ma seule déception serait que le côté historique vanté par la quatrième de couverture ne soit pas suffisamment développé, je n'ai pas réellement ressenti le changement d'état d'esprit de la population post première guerre mondiale ni l'impact que cet événement nommé Dimanche des mères pouvait réellement impliquer.
Je ressors néanmoins agréablement surprise de cette lecture qui m'a permis de diriger mon esprit vers des questionnements intéressants.
Afficher en entierLe grand jeu est un court roman, dont l'action principale se déroule sur 2 mois mais en intégrant le passé et le futur de certains personnages. Comme dans Le dimanche des mères, l'auteur ne s'embête pas avec des détails superflus sur l'histoire, on va à l'essentiel, ce qui rend les personnages et leurs décisions parfois assez irréelles. J'ai bien aimé la petite touche de mystère à la fin du roman
Afficher en entierJ'ai un avis très mitigé sur ce livre. Parfois, j'aimais beaucoup la façon de raconter - et parfois je détestais. J'ai également eu assez de mal à m'approprier certains sujets, et certains points de vus m'ont assez dérangés. Une lecture difficile, que je n'aurais sans doute pas poursuivit si il ne s'était pas agit d'une lecture obligatoire dans le cadre de mes études.
Afficher en entierLu en 2019. Cette lecture ne m'avait pas procuré autant d'enthousiasme qu'à certaines de mes connaissances. J'avoue m'être ennuyée dans la première partie du roman, malgré la sensualité de la plume, agacée par trop de répétitions. La seconde partie avait trouvé plus de grâce à mes yeux, autour de l'écriture et du travail d'écrivain.
Certes, le sujet n'était pas déplaisant : une société anglaise meurtrie par la première guerre mondiale, avec le constat du déclin de tout un ancien monde.
Il s'agit du récit de cette fameuse "journée des mères" (congé dominical traditionnellement accordé aux domestiques), vécue particulièrement, un jour de mars 1924, par Jane, une jeune bonne à la fois humble et lucide, amoureuse, libre et ambitieuse...
Afficher en entierEncore une lecture ancienne que j'avais résumée à l'époque en 5 mots clés :
* EAU : comme motif incessant, envahissant, celle qu'on ne réussit pas à dominer, à soumettre, le marécage permanent (cf. l'exergue tiré de « Les Grandes Espérances » de Charles Dickens : « Car nôtre était le pays des marais... »)
* SEXUALITÉ : affaire de curiosité, vilain défaut, on ne peut pas non plus la dominer définitivement. Elle se réveille tardivement, sublimée en religion et enlèvement d'enfant.
* ALCOOL : au début la bière rend prospère. Au moment du déclin, elle rend fou les Atkinson et alii.
* DÉCLIN : c'est aussi celui de la Grande-Bretagne thatchérienne, avec une résistance qui passe par l'Histoire.
* HISTOIRE : celle qui rassemble les pièces du puzzle patiemment, qui archive, qui déduit. l'Histoire de l'historien.
Afficher en entierCe dimanche, établi pour que les servantes rendent visite à leurs mères, et qui deviendra plus tard la fête des mères. Jane, orpheline passera cette journée avec son amant depuis 7 ans, et qui par sa bourgeoisie doit se marier dans 15 jours. Ce RV, pour la première fois, aura lieu chez lui. Un drame surviendra que Jane se remémora jusqu'à la fin de sa vie. L'histoire est belle, mais c'est surtout l'ambiance qui est sublime, pleine de sensualité et finesse. Une belle lecture.
Afficher en entierHistoire surprenante mais il faut s'accrocher !
Afficher en entierJ'essaye de temps en temps de lire des classiques.
Une histoire asse surprenante, rapide, court.
Un roman qui rend hommage à l’imagination.
Afficher en entierJ’ai peiné à finir ce livre qui pourtant n’est vraiment pas long. D’un ennui total, les phrases qui s’étirent et les répétitions de mots en on fait une lecture des plus ennuyeuses à mes yeux. Le fond de l’histoire me plaisait, son écriture pas du tout. Un flop total… 🥱
Afficher en entierOn parle de Graham Swift ici :
2017-05-26T19:00:14+02:00
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Biographie
Graham Swift est un écrivain britannique né le 4 Mai 1959 à Londres. Certaines de ses oeuvres ont été adaptées en films comme Last Orders ou encore Waterland.
Last Orders a d'ailleurs était le co-vainqueur du Booker Prize en 1996.