Aude Fieschi
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Note moyenne : 7.4/10Nombre d'évaluations : 5
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Je n'avais jamais vraiment lu de littérature japonaise mais celle-ci ne m'a pas particulièrement plu.
Afficher en entierUne plongée dans le Japon du 18-19ème siècle aux côtés de Hokusaï.
L'écriture est bonne, et on découvre une facette du pays du Soleil levant qu'on n'a pas l'habitude de voir : point de vue d'un artiste, fils d'artisan. Pas d'un samouraï.
Je le recommande, tant pour l'aspect découverte du pays de l'époque que pour le divertissement de l'histoire.
Afficher en entierUn recueil de trois nouvelles composant l'histoire de trois couples entre rencontre et souvenir ou encore séparation qui bouleversent leur vie tout en abordant des sujets tel que le suicide ou l'avarice. Des textes écrits avec beaucoup de profondeur et de délicatesse avec une pointe de poésie.
Afficher en entierEssayons de nous familiariser avec l'un des facettes de la culture nippone : les samourais. Oublions pour un temps ces mythes illustrés par le cinéma et concentrons nous sur la vraie, la grande Histoire.
Tout samouraii se doit de respecter une règle de conduite, un code du guerrier appelé le bushido. Quelle que soit l'époque du XIIe au XIXe siècle, chaque clan avait le sien. le plus célèbre de tous, en tout cas aux yeux des Occidentaux, sont les préceptes de Yamamoto (1700) du clan Saga, sous le titre Hagakure. Maîtrise des armes courage vont de soi, le plus important étant le culte et la fierté pour les ancêtres, devoir et loyauté envers son seigneur.
La caste des samourais repose sur une sorte de féodalité à la japonaise. Mais contrairement à l'Europe, les paysans pouvaient devenir des guerriers.
La formation commençait tôt, dès l'âge de 6 ans. Les enfants étaient coupés de leur mère. Ils pratiquaient l'équitation, maniaient l'arc et utilisaient deux sabres : un long le katana, et le court le wakizashi. L'art de la calligraphie, la chasse et le jeu de go complètaient leur formation en aiguisant leur concentration.
Les chapitres sont courts mais denses. Pour ma part, il m'a fallu m'habituer au vocabulaire. Il y a une certaine confusion par rapport aux sources qui sont autant japonaises qu'occidentales.
Je n'ai pas abordé tous les sujets et j'ai parlé de ceux qui m'avaient le plus intéressés. Il y aussi une bibliographie très détaillée.
Afficher en entierJ’ai beaucoup aimé ce court recueil de nouvelles : les histoires sont singulières et intéressantes et la plume de Yasushi Inoue est limpide.
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Éditions Picquier : 7 livres
Biographie
Née au Sénégal en 1952 a passé la plus grande partie de sa vie à l’étranger. Diplômée de l’Institut de Langues Orientales en Langue et Littérature japonaise, n’a jamais cessé de travailler sur la civilisation japonaise dans les divers pays où elle a été amenée à résider, en Europe Orientale et en Australie. A publié aux éditions Philippe Picquier des traductions littéraires : Maruya Saiichi « L’ombre des arbres », Inoue Yasushi « La mort, l’amour et les vagues » et « Nuages garance », Miyabe Miyuki « Une carte pour l’enfer » et aux éditions Stock , de Fujiwara Tomomi « Le conducteur de métro » et « Ratage ».
Plus récemment, elle est l’auteur d’une petite histoire du kimono « le Kimono d’art et de désir » éditions Philippe Picquier (2002), et d’un essai historique « Le masque du Samouraï » éditions Philippe Picquier (2006
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