Carmine Infantino

DareDevil :

Beaucoup de bagarre voire trop, les enjeux de cette aventure sont là, mais ils sont secondaires. La détermination de DareDevil paraît souvent fausse.

Iron Man :

Il y a toujours de jolis dessins. Pour ce qui est du flash-back, il y a tous les éléments des débuts d'Iron Man, mais euh, juste les éléments. Ça ne rajoute pas grand chose à la série d'aventures en cours.

Spiderman :

J'aime pas beaucoup les dessins de Diablo. D'ailleurs, dans la BD, c'est pas précisé ce qui le pousse à aller rencontrer Spiderman. Pour la deuxième aventure, c'est un combat contre un gang de méchants, pas grand chose de plus. L'identité de Peter Parker est plutôt absente dans ces deux épisodes.

L'une de mes époques préférées pour Iron Man, avec un Michelinie qui maîtrise bien le personnage et un jeune Romita Jr bien aidé par Bob Layton dans le design d'un héros davantage orienté "high-tech" et dont la dualité sera soumise à des tensions irrésistibles : perdant peu à peu le contrôle de l'armure qui lui avait sauvé la vie et donné un nouveau sens à son existence, Stark voit également son entreprise lui filer entre les doigts. C'est alors que, pour tenter de surnager dans ces eaux de plus en plus troubles, il va commencer à s'adonner à la boisson, jusqu'à ce que le "Démon" de l'alcool devienne son ennemi le plus implacable.

Un style clair, fin et dynamique, un design recherché et une histoire à tiroirs remarquablement écrite et dont la fin hantera à jamais la série.

Toujours un plaisir de posséder un exemplaire de Strange. Les dessins des années 1980 sont parmi mes préférés.

Une histoire de Dardevil, un peu courte. De même pour celle d'Iron-Man.

Pour L'Araignée, histoire en deux parties, où l'on retrouve Diablo des X-Men. Symphatique.

C'était une autre époque. Celle où les débuts du comics en VF étaient réservées aux adultes.