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Illustrateur des textes de Pascal Teulade mais souvent aussi auteur-illustrateur, Jean-Charles Sarrazin a créé de nombreux albums quasiment tous parus à L’école des loisirs.
Ce parisien né en 1966 a suivi les cours de l'Ecole des Arts graphiques de la rue Madame à Paris, et ceux de l'ENSAAMA. Il a travaillé quelque temps dans la publicité et enseigne aujourd'hui le dessin.
Il a la passion des voyages et aurait parcouru pedibus cum jambis la Suède, l'Islande et l'Afrique.
Avec On tourne! il fait une brève incursion dans le monde du documentaire, mais c'est dans les récits de fiction illustrés, quasiment tous parus à L'Ecole des Loisirs, qu'il donne toute sa mesure. Il y pratique un anthropomorphisme qui renouvelle les conventions du genre, donnant aux animaux des rôles souvent à contre-emploi.
D'une grande générosité, il sait, sans pesanteur moralisante, aborder des problèmes comme le respect, voire la valorisation, des différences, ainsi dans Gaspard qui pue, le rejet par l'humour de l'agressivité dans Les nœudsla dédramatisation de l'angoisse des attentes parentales dans le si réussi Papa coq, minimise les affres de l'apprentissage de la propreté dans Le petit coin ou Qu'est-ce que c'est que ça?, transfère la peur de l'univers médical sur une peluche dans Solo à l'hôpital, exalte l'amitié dans Haut les mains, peau de lapin! ou La télévision, une histoire d’amour et la solidarité dans Double doudou ou Il faut sauver Carotte, la crainte de grandir dans Tétine mon amour, fait faire une exploration étonnée et étonnante de l'anatomie humaine par Agathe, la fourmi baladeuse, découvre les mystères de la sexualité avec Graine d'amour, rassure les enfants sur l'amour des parents dans Y-a-t-il quelqu'un qui m'aime ici? et les parents sur l'affection de leur progéniture dans Le plus beau de tous les cadeaux du monde ou Parce que je t'aime..., guérit Timothée gorille de son égoïsme et de sa misanthropie, ironise même sur la vieillesse dans Grand-mère et sur sa fin ultime dans Bonjour Madame la mort, album qui fut largement primé.
Un univers pudique, gai et optimiste, plein de tendresse et d’humour, exprimé avec des aquarelles ou des encres délicates et un trait tout en rondeur, qui enchante les petits lecteurs tout en répondant à leurs intimes interrogations.
Pancho, album paru aux éditions du Sorbier en 1998, marque un tournant esthétique et idéologique dans son parcours. Inspiré par sa découverte du Mexique d'où son épouse est originaire et où il a fait quelques séjours, il use d'un dessin plus réaliste, issu de carnets de voyage, quittant alors les animaux anthropomorphes ou les personnages stylisés avec fantaisie, pour entrer de plain-pied, à hauteur d'enfant, dans la réalité sociale de ce pays de contrastes.
Biographie
Illustrateur des textes de Pascal Teulade mais souvent aussi auteur-illustrateur, Jean-Charles Sarrazin a créé de nombreux albums quasiment tous parus à L’école des loisirs.
Ce parisien né en 1966 a suivi les cours de l'Ecole des Arts graphiques de la rue Madame à Paris, et ceux de l'ENSAAMA. Il a travaillé quelque temps dans la publicité et enseigne aujourd'hui le dessin.
Il a la passion des voyages et aurait parcouru pedibus cum jambis la Suède, l'Islande et l'Afrique.
Avec On tourne! il fait une brève incursion dans le monde du documentaire, mais c'est dans les récits de fiction illustrés, quasiment tous parus à L'Ecole des Loisirs, qu'il donne toute sa mesure. Il y pratique un anthropomorphisme qui renouvelle les conventions du genre, donnant aux animaux des rôles souvent à contre-emploi.
D'une grande générosité, il sait, sans pesanteur moralisante, aborder des problèmes comme le respect, voire la valorisation, des différences, ainsi dans Gaspard qui pue, le rejet par l'humour de l'agressivité dans Les nœudsla dédramatisation de l'angoisse des attentes parentales dans le si réussi Papa coq, minimise les affres de l'apprentissage de la propreté dans Le petit coin ou Qu'est-ce que c'est que ça?, transfère la peur de l'univers médical sur une peluche dans Solo à l'hôpital, exalte l'amitié dans Haut les mains, peau de lapin! ou La télévision, une histoire d’amour et la solidarité dans Double doudou ou Il faut sauver Carotte, la crainte de grandir dans Tétine mon amour, fait faire une exploration étonnée et étonnante de l'anatomie humaine par Agathe, la fourmi baladeuse, découvre les mystères de la sexualité avec Graine d'amour, rassure les enfants sur l'amour des parents dans Y-a-t-il quelqu'un qui m'aime ici? et les parents sur l'affection de leur progéniture dans Le plus beau de tous les cadeaux du monde ou Parce que je t'aime..., guérit Timothée gorille de son égoïsme et de sa misanthropie, ironise même sur la vieillesse dans Grand-mère et sur sa fin ultime dans Bonjour Madame la mort, album qui fut largement primé.
Un univers pudique, gai et optimiste, plein de tendresse et d’humour, exprimé avec des aquarelles ou des encres délicates et un trait tout en rondeur, qui enchante les petits lecteurs tout en répondant à leurs intimes interrogations.
Pancho, album paru aux éditions du Sorbier en 1998, marque un tournant esthétique et idéologique dans son parcours. Inspiré par sa découverte du Mexique d'où son épouse est originaire et où il a fait quelques séjours, il use d'un dessin plus réaliste, issu de carnets de voyage, quittant alors les animaux anthropomorphes ou les personnages stylisés avec fantaisie, pour entrer de plain-pied, à hauteur d'enfant, dans la réalité sociale de ce pays de contrastes.
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