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Gila Lustiger

Auteur

18 lecteurs

Activité et points forts

Thèmes principaux

ajouté par anichinabe 2011-05-13T11:33:15+02:00

Biographie

Gila Lustiger est née en Allemagne en 1963 et a vécu en Israël avant de s’installer à Paris. Elle a publié L’Inventaire (Grasset, 1998), Quel bonheur ! (Grasset, 2000) et Nous sommes (Stock, 2005). Un bonheur insoupçonnable est son premier roman philosophique.

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0 Citations 3 Commentaires sur ses livres

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Commentaire ajouté par soizig 2017-02-01T13:50:50+01:00
Les Insatiables

En 1984, Emilie Thévenin, jeune escort-girl parisienne, avait été sauvagement assassinée, un meurtre jamais élucidé à l’époque. Vingt-sept ans plus tard, la presse annonce l'arrestation d'un employé de banque sans histoires, Gilles Neuhart, dont l'ADN correspond à celui trouvé sur la scène du crime. Marc Rappaport est journaliste, son rédacteur en chef, son ami d’enfance Pierre, lui demande seulement d’écrire un court article sur le sujet.

Le journaliste, homme complexe et tourmenté, éternel insatisfait, suit son intuition et décide, envers et contre tous, d’en savoir davantage sur le destin de la jeune femme. Pour comprendre l’attitude de Marc, il faut connaître son histoire. Marc Rappaport est le petit-fils d’un grand industriel, Hubert Bourgueil. Cet homme dont la vie, la carrière et les enseignements a marqué l’existence de Marc, apparait régulièrement tout au long du le livre, en filigrane. Ce modèle l’a aidé à se construire, à aiguiser son raisonnement. Marc vient d’un univers bourgeois dont le père méprisé par le grand père est un intellectuel juif réfractaire au monde de la finance, un libre penseur.

Rapidement, Marc comprend que ce meurtre est bien plus qu’un simple fait divers. Son enquête le mène à Charfeuil pour interroger ceux qui ont connu la jeune femme au lycée, avant qu’elle ne parte à Paris et se prostitue. Il rencontre ses camarades de classe peu enclins à parler, son ex-petit ami, sa professeur d’anglais et va même se faire passer pour un neveu afin d’essayer d’extirper des souvenirs à sa mère malade d’Alzheimer. Il découvre que cette famille a un lien avec le groupe industriel Nutrissor, premier employeur des hommes de la région, dont une quarantaine d’ouvriers sont morts de cancer du rein. Marc Rappaport met au jour un scandale sanitaire mêlant hommes politiques, industriels, médecins, un scandale connu de tous mais que beaucoup ont tout intérêt à taire. Le scandale évoqué dans le roman est bien sûr fictif, mais il résonne de tristes échos avec la réalité : ne serait ce qu’en France avec les scandales de l’amiante, du Distilbène, du sang contaminé et plus récemment encore du Mediator … Son enquête le confronte à des « Insatiables » qui, tout en haut de l’échelle sociale, œuvrent dans l’ombre. La vie, la santé d’êtres humains n’ont que peu de valeur par rapport aux bénéfices engrangés par les industriels.

A la toute dernière page, le lecteur découvre enfin qui est derrière toute cette histoire. Le suspense est total et le journaliste décontenancé … Excellente fin, suspense jusqu’à la fin, bien que je l’aie soupçonné assez vite au cours de ma lecture mais me demandant toujours comment l’auteur réussirait à faire les rapprochements.

Une belle histoire d’amitié avec Pierre. Une confiance inébranlable entre eux qu’importe les évènements.

Une belle histoire d’amour avec Rebecca, faut il qu’elle l’aime pour accepter son comportement !

Ce roman social est saisissant de justesse et de perspicacité. Gila Lustiger avance par petites touches, distille les informations avec parcimonie. Ce roman pourrait également être classé comme un policier.

Un roman engagé qui rend hommage aux journalistes d’investigation.

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Commentaire ajouté par soizig 2017-02-01T13:51:38+01:00
Les Insatiables

Wendy, treize ans, vit à New York. Le 11 septembre 2001, Janet, sa mère, est partie travailler dans une des tours jumelles, elle ne reviendra jamais, portée disparue... L’espoir s’amenuise jour après jour. Le lecteur suit la lente et terrible prise de conscience de Wendy et de sa famille, ainsi que leurs tentatives pour continuer à vivre.

Wendy s'en veut tout d'abord d'avoir été désagréable avec sa mère juste avant sa disparition. Elle décrit longuement leur relation fusionnelle. Lorsque Garrett, son père biologique, qu'elle connait à peine, débarque sans prévenir et propose de l'emmener en Californie, elle saisit cette opportunité pour s'éloigner de l'ambiance mortifère qui règne à New-York, où tout lui crie l'absence de sa mère. Son beau-père Josh et son petit frère Louie la laissent partir le coeur lourd, avec l’espoir que cette expérience lui sera salutaire. Certains passages sont poignants, notamment une des lettres que Josh écrit à Wendy au moment de Noël.

Assaillie par les souvenirs, Wendy est tiraillée entre cette vie californienne et son foyer new-yorkais. Jeune fille raisonnable à New York, Wendy flirte avec les interdits en Californie avec l’accord implicite de son père beaucoup plus laxiste que sa mère. Elle pratique l’école buissonnière. Changer d'endroit, modifier les habitudes, apprivoiser un père, rencontrer des gens – Caroline, une belle-mère attachante passionnée de cactus ayant abandonné son enfant à la naissance, Violet, une adolescente fille-mère qui se débat tant bien que mal avec son bébé, Todd, un jeune garçon solitaire et sensible à la recherche de son grand frère, Alan un libraire bienveillant, Tim, le fils autiste du libraire... –, pour apprendre à se connaître elle-même et prendre conscience de ce qui lui arrive.

Wendy se reconstruit non seulement par ces rencontres, mais aussi par la lecture de quelques grands textes, par l'écoute de musiciens de jazz et par l'évocation de quelques comédies musicales dont sa mère, danseuse dans sa jeunesse, lui avait donné le goût. Émouvante histoire de reconstruction, “Les règles d’usage” évoque la perte d’un être cher, l’adolescence et la complexité des rapports familiaux. L’on suit l'évolution de Wendy, généreuse et intelligente, vers une maturité, qui, sans effacer la douleur de la perte et du manque, lui permettra d'aimer à nouveau la vie et de se projeter dans l'avenir.

J’ai particulièrement été touchée par le passage où elle ouvre un paquet reçu pour son anniversaire. Il contient des cadeaux achetés avec soin par sa mère. Un message de l’au-delà ...

La réussite de ce roman tient au personnage de Wendy, une adolescente forcée de grandir en une journée et qui va s'interroger sur ce qui est important dans sa vie, maintenant que sa mère a disparu. Son beau-père, son véritable père et son frère en font partie mais elle mettra longtemps à franchir le cap du retour à New York et à une vie sans sa mère.

Les analyses psychologiques sont très pertinentes et Joyce Maynard nous offre de magnifiques portraits. On ne peut s’empêcher d’avoir de l’empathie pour Wendy.

Joyce Maynard excelle dans l’art de se mettre dans la peau d’une adolescente, de décrire leurs affres, leurs turpitudes, leurs états d’âme, leurs questionnements. Dans tous ses romans, elle met en scène des adolescents.

« Les règles d’usage », un roman plein d'émotion et de profondeur.

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