Manel Loureiro
Auteur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 7.9/10Nombre d'évaluations : 69
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Assez déçu dans l'ensemble. Le début avec la mise en place et la propagation de l'épidémie est un peu longuet mais la lecture reste sympa avec pour cadre l'Espagne. Pas de gun à profusion à chaque coin de rue. Et un Ukrainien inattendu ... Sans parler de Luculus !
Néanmoins je ne suis pas vraiment entré dans l'histoire et ne pense pas lire les suites. Peut-être du fait de la narration au format Blog ? Je ne sais pas trop.
Dans le genre zombie en Europe, j'ai largement préféré Pandémie de Alexandre Lang.
Afficher en entierLe premier tome de cette trilogie post-apocalyptique est une vraie bombe dont on ne peut que difficilement se détacher.
En effet l'auteur déroule son histoire avec brio, et nous entraîne dans un terrible cauchemar dans lequel le héros se trouve être un avocat dont les instincts de survie jusqu'alors insoupçonnés, ainsi qu'une bonne part de chance, le sauvent à de multiples reprises.
Manel Loureiro écrit son histoire sous forme d'un blog rédigé par le héros principal, puis par la suite sous forme d'un journal, l'électricité s'arrêtant définitivement. Ce personnage que l'on peut considérer comme un citoyen parmi d'autres, n'a rien d'exceptionnel sinon une rage de vivre et une résistance que lui-même n'imaginait pas jusqu'alors. Empli de sentiments tout à fait humains avec ses forces et ses faiblesses, ce personnage attachant reste loin des clichés, et apporte un surcroît d'intérêt à l'ensemble de l'œuvre.
Ce désastre démarre presque de manière banale (l'attaque d'une base russe par des terroristes), puis s'amplifie pour finalement devenir totalement incontrôlable et laisser la place en à peine quatre semaines aux morts-vivants.
Il n'est pas si facile d'être original avec ce genre de sujet tant le phénomène est à la mode. Cependant l'auteur réussi pleinement la première partie de sa trilogie, avec un scénario qui tient très bien la distance et des passages de tension bien écrits.
Afficher en entierAprès un premier tome passionnant et original malgré un sujet à la mode en ce moment, l'auteur propose un deuxième volume hélas nettement moins bon.
On peut comprendre qu'il faille renouveler et faire évoluer l'aventure, et que traiter le cas d'une communauté de survivants paraisse inévitable. Malheureusement l'intensité retombe, et la terreur si bien décrite dans la première partie n'est plus qu'un lointain souvenir malgré quelques bons passages.
Manel Loureiro s'accorde donc quelques facilités afin de sortir son héros de situations difficiles lors de confrontations face aux infectés, mais surtout face à d'autres survivants aux profils stéréotypés et donc sans grand relief.
Certes l'ensemble se lit bien, mais avec nettement moins d'enthousiasme et une pointe de déception.
Le scénario de la première partie est excellent, et il y avait matière me semble-t-il à maintenir ce cap encore un moment. L'auteur a choisi d'orienter son récit de manière plus conventionnelle et au final propose une suite peu originale.
Afficher en entierEncore moins bon que le deuxième qui lui-même est inférieur au premier, ce dernier tome est une réelle déception avec des scènes à peine crédibles et une intrigue à bout de souffle et d'inspiration.
Certaines scènes et certains personnages sont totalement ridicules et stéréotypés.
On a même du mal à croire qu'il s'agit du même auteur qui lors de la première partie proposait un roman original avec une ambiance malsaine et terrifiante, ainsi que des personnages crédibles et attachants. Où est donc passé tout cela ?
Les morts-vivants sont relégués au deuxième plan tant ils sont devenus de simples accessoires peu dangereux, et la majeure partie de ce volume est donc consacrée à une guérilla entre différents groupes, ce qui en plus d'être interminable ne sert strictement à rien. Les chapitres s’enchaînent sans passion, et comme l'on peut le présager, la fin est bâclée avec un manque évident d'explications.
Au risque de me répéter, seul le premier opus est digne d'intérêt, et peut-être aurait-il fallu rester sur ce scénario de départ
Afficher en entierUn avocat espagnol publie des posts sur son blog et relate comment, suite à une attaque terroriste dans un laboratoire secret, le monde sombre en peu de temps. Il décrit l'incompréhension, la peur, la défiance vis à vis de l'état et des médias, complètement débordés par la vitesse de prolifération des zombies. En peu de temps la population humaine semble pratiquement disparaître laissant quelques rares survivants.
Bon divertissement, l'action laisse peu de répit au lecteur!
Afficher en entierUn zombie très efficace pour ce premier tome d'une trilogie annoncée avec Les jours sombres et La Colère des Justes (et peut être même une trilogie en cinq volumes comme cela se fait de plus en plus).
Notre héros est avocat (quoi ? ce n'est pas un militaire ?) espagnol de surcroît (quoi ? il n'est pas Américain ?) vivant en Galice (Espagne) (et il ne vit même pas aux USA).
Confronté à l'épidémie du Xième virus zombiesque livresque, il va, en se calfeutrant dans un premier temps chez lui, réussir à survivre. Par un heureux hasard concours de circonstances à base de coupures fréquentes d'électricité, de répugnance à faire les courses régulièrement et du besoin d'intimité de feu sa femme (oui il est veuf, cela pourra servir plus tard s'il rencontre de jolies filles pas zombies), sa maison fait office de havre survivaliste bien pratique.
Contraint de prendre la route, de mauvaises en bonnes rencontres, (dans tout bon livre du genre, il est obligatoire de rencontrer, et des méchants et des gentils humains, en plus des zombies), il fera son chemin cahin-caha réussissant à se sortir de tous les traquenards qui s'imposeront à lui.
Il est difficile de se renouveler en matière de zombie et cette oeuvre reste d'une facture très classique. Elle se présente sous la forme de post très courts (au début, avant de se rallonger) écrit dans un premier temps sur ordinateur puis poursuivi sous forme de journal (les zombies ont bouffé les câbles d'internet et le wifi ne marche plus) à la première personne. Tout à fait dans la lignée des chroniques de l'Armageddon.
L'originalité tient dans le personnage principal, pas un superman surarmé, mais un quidam, pas particulièrement doué avec les flingues, qui trimbale son seul lien qui le rattache au passé : Son chat.
Ne nous méprenons pas. j'ai adoré l'histoire. Style très fluide, très accessible, histoire cohérente, pas trop de deus ex machina. Les 60 premières pages qui décrivent l'expansion internationale de la maladie sont bien tournées et à base de tamiflu et peurs actuelles (Ebola, grippe aviaire) font très européennes ancrant le récit mieux qu'aux éternels USA. le reste est à l'avenant, addictif, sanglant.. Tous les ingrédients sont réunis et la mayonnaise a bien pris.
Une bonne trouvaille : La combinaison de plongée en néoprène. Très efficace contre les morsures et actrice principale de la survie de notre héros.
Le zombie, apparemment lent, mais très rapide en réalité (c'est un leitmotiv dans le livre) nous fait passer un bon moment de détente post-apocalyptique espagnol.
Afficher en entierUn sentiment mitigé pour ce second tome de la trilogie après l'excellent le début de la fin et en attendant La colère des Justes.
Nos quatre sympathiques personnages à bord de l'hélico, se rendent aux îles Canaries dans l'espoir d'un retour salvateur à la civilisation. Espoir exhaussé, mais à quel prix ? Et oui, pour l'intérêt du lecteur aussi, il va falloir retourner au jus pour nos deux héros mâles, pendant que Lucia vivra ses propres aventures dans la sécurité très « relative » de Tenerife.
On oublie le format journal intime pour une narration plus classique mélangeant les points de vue avec plus ou moins de bonheur d'ailleurs. Revenant sur le vécu et le ressenti de plusieurs personnages pour une même scène on a souvent l'impression de redite voire de remplissage, accentué par le long résumé du début et les piètres (car trop classiques) explications sur la globalisation de la pandémie.
Autre fausse bonne idée d'alterner les scènes entre Lucia et notre avocat narrateur. En plein rush, cela coupe un peu l'action. Sans compter que la scène du zoo, histoire de couper nos héros de toute base arrière, n'est pas très crédible (si tant est que l'on puisse l'être dans un univers post-apocalyptique zombiesque).
Le retour de la guerre civile en Espagne est originale et classique du genre, où même aux portes de l'enfer, l'humanité arrive toujours à se diviser et se combattre.
L'action reste bien présente (même si notre maître du chat (qui va bien merci) n'y brille pas particulièrement).
Un tome de transition ? (je sais, c'est moi qui ne suis pas original là). Disons un tome moyen ou plutôt un tome qui ne tient pas les promesses du premier.
Afficher en entierDernier tome de la trilogie après le début de la fin et les jours sombres.
Après leur désastreuse expérience de Tennerife, nos trois héros (quatre, car il faut bien compter le chat) se retrouvent sur un voilier à affronter la tempête du siècle. Sauvé in extremis ils rejoignent le nouveau continent, dans une communauté au système politique et humain particulièrement inique. Pendant ce temps, la Corée du Nord qui a survécu en tant qu'entité, cherche à survivre voire à étendre sa désormais hégémonie sur le reste du monde.
Elle revient souvent la Corée du Nord dans les pandémies zombiesques comme possible unique pays à survivre, mais rarement pour plus d'un paragraphe. Ici plus développée, était-elle pour autant nécessaire à l'histoire ? Non. D'autant que l'auteur n'a pas été jusqu'au bout de son récit.
Quant à Gulfport, fanatisme religieux et racisme apocalyptique, il en a fallu bien des coïncidences et des heureux (ou malheureux selon le côté où l'on se place) coups du sort pour en arriver là.
La narration façon journal intime, déjà abandonnée pour le second tome ne refait pas surface, mais l'auteur abandonne les multiples points de vue (allez, presque complètement). du coup, un récit plus fluide à défaut d'être crédible.
La fin aurait également méritée un développement plus complet. On a vraiment l'impression que l'auteur avait hâte d'en finir. Dommage.
Afficher en entierCe second tome m'a moins plu que le premier... Plus ça va, moins les personnages me plaisent. L'histoire reste intéressante et prenante.
Afficher en entierBonne découverte. Le fait que le personnage principal rédige ce qui lui arrive sous forme de posts sur un blog rend cette histoire très prenante. On a vraiment envie de savoir ce qui va lui arriver.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Manel Loureiro
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Panini Books : 2 livres
AmazonCrossing : 2 livres
Panini : 1 livre
Eclipse : 1 livre
Orbit : 1 livre
Biographie
Manel LOUREIRO signe la série zombie APOCALYPSE Z.
Romancier au succès international, Manel Loureiro est né à Pontevedra, en Espagne. Il étudie le droit à l’université de Saint-Jacques de Compostelle. Après avoir obtenu son diplôme, il travaille à la télévision, à la fois devant la caméra (sur les plateaux de la Televisión de Galicia), et dans les coulisses en tant que scénariste.
Apocalypse Z : LE DÉBUT DE LA FIN, son premier roman, a d’abord vu le jour sous la forme d’un blog. Une fois publié, l’ouvrage est devenu un best-seller dans plusieurs pays, dont l’Espagne, l’Italie, le Brésil et les États-Unis. Surnommé « le Stephen King espagnol » par La Voz de Galicia, Manel a par la suite publié deux romans dans la série Apocalypse Z (Le tome 2, LES JOURS SOMBRES, est paru le 11 juin et le tome 3, LA COLÈRE DES JUSTES est annoncé pour la fin de l'année).
Il réside actuellement à Pontevedra, en Espagne, où, parallèlement à sa carrière d’écrivain, il continue d’exercer son métier d’avocat.
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