Julien Heylbroeck
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Note moyenne : 8.59/10Nombre d'évaluations : 17
0 Citations 19 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Un polar qui brasse les différents genres du roman populaire, les détectives amateurs, la SF, l'espionnage... Avec un improbable trio de gueules cassées pour mener la danse, dans une société des années 1930 qui se dirige inexorablement vers une nouvelle catastrophe. C'est enlevé, plein d'humour et de clins d'oeil, plein d'idées originales et amusantes, dont celle qui est au centre de l'intrigue.
http://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.fr/2017/12/un-billet-pour-le-cimetiere-drole-de.html
Afficher en entierHeylbroeck délaisse un temps l'imaginaire pour nous proposer un polar de facture très classique, mais avec de vrais intérêts : d'une part, un antihéros mène l'enquête, un assistant social en charge de dossiers de demandes d'asile ; d'autre part, un gros plan sur un pays qu'on connaît mal, l'Erythrée, terrible dictature africaine. Un polar à la fibre sociale en prise directe avec notre actualité.
http://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.fr/2018/02/ce-sont-des-gamins-qui-ont-fui-leur.html
Afficher en entier15 nouvelles imaginaires sur le thème de l'exil et de l'immigration, par des plumes réputées du genre nous apporte ce recueil créé via une cagnotte en ligne communautaire au profit d'une association.
Chaque nouvelle, signée d'un auteur différent apporte à ce livre un souffle d'humanité dans ces récits, parfois ancrés dans notre monde, qui traitent de thèmes difficiles. Chacune de ces nouvelles propose une approche différente de la problématique de l'immigration, tout en la mettant en scènes avec de la SFFF. Le recueil en ressort extrêmement humain, parfois pessimiste, parfois optimiste, mais dans l'ensemble juste et écrit très finement.
Afficher en entierUn polar très référencé, qui assume parfaitement son côté série B, et propose une enquête impliquant une galerie de personnages haute en couleur (coucou aux frères Coen). Atticus va se mettre dans les ennuis jusqu'au coup, avant de se trouver une vocation de justicier. Un roman qui évoque aussi la culture khmère, lien très fort qui unit les réfugiés de la diaspora cambodgienne à leur terre natale.
https://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.com/2019/08/si-tu-ne-me-crois-pas-tu-nas-qua-me.html
Afficher en entierTrès bon livre
Afficher en entierRécit à plusieurs voix qui plonge brutalement dans les affres de la cité pourrissante de Karkastaad. Addictif mais le body-horror étant omniprésent ayez le cœur bien accroché: les descriptions sont merveilleusement écrites
Afficher en entierUn grand plaisir de plonger dans ce livre. L'univers viscérale peut en refroidir plus d'un, mais pour les plus téméraires, c'est un délice. Les descriptions sont saisissantes, l'intrigue prenante et bien dosée. un livre de plus dans ma catégorie Or !
Le petit bémol qui empêche le diamant : Les noms des personnages. Pour le moins originaux, ils sont complexes et bien souvent difficiles à lire. C'est un freins pour la lecture quand on bloque régulièrement sur le nom d'un personnage.
Afficher en entierL'idée de base est très originale, voire surprenante. J'ai personnellement peu l'habitude de lire des uchronies datant de la 1ère guerre mondiale. Les personnages sont atypiques, attachants et bien construits, humains. C'était un plaisir de les suivre au fil des pages et au fil de leur enquête pour trouver l'auteur de certains meurtres bien précis.
Le style est fluide, riche et soutenu ; les descriptions sont vraiment superbement bien amenées, quelque chose d'appréciable surtout dans le contexte de cette époque.
Ce que j'aurais à reprocher à ce livre provient surtout du rythme du récit. On est parfaitement tenu en haleine pendant une bonne première moitié, les personnages sont introduits, les faits sont exposés, etc... Mais on sait trop vite ce qu'il se passe. On apprend trop rapidement les desseins du meurtrier. J'ai été surpris de le constater alors que je n'en étais qu'à la moitié de ma lecture... Je me suis dit : "Il n'y a plus rien à raconter", parce qu'à partir de là, l'histoire ne pouvait que tourner en rond. Et, en effet, elle a commencé à tourner en rond.
La fin était lente, et un peu décevante également malgré la richesse de l'écriture et des descriptions.
L'auteur a un excellent potentiel mais le scénario aurait mérité d'être un peu écourté à mon sens...
Afficher en entierJ'avais un peu peur de tomber sur un style un peu trop compliqué pour moi, mais je me retrouve à adorer ce roman. L'ambiance putride, nauséabonde, essoufflée de Karkasstad est pour moi un écho cynique de la société actuelle, avec l'exploitation des ouvriers dans cet environnement minable. Un miroir diabolique des problématiques de notre monde. Je suis peut-être allée trop loin mais j'adore lire des univers alternatifs (mené d'une main de maître dans cet ouvrage) aussi proches de nous.
Afficher en entierDifficile d'entrer dans ce roman. Un monde étrange avec pas mal de noms inventés. Il faut donc se familiairiser avec les termes. Mais une fois que c'est fait, tout s'enchaine. On suit les périgrinations de chaque intervenant et on se laisse happer par le roman.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Julien Heylbroeck
et autres évènements
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Editeurs
Les moutons électriques : 5 livres
Black coat press : 4 livres
Rivière Blanche : 2 livres
ActuSF : 1 livre
Le Carnoplaste : 1 livre
Editions Deleatur : 1 livre
Les Saisons de l’Étrange : 1 livre
Otherlands : 1 livre
Biographie
Nationalité : France
Né(e) à : La Rochelle , 1980
Biographie :
Passionné d’Histoire et d’histoires, Julien Heylbroeck commence à écrire dans le domaine du jeu de rôle, participant à plusieurs gammes, chez divers éditeurs. Il franchit le pas vers les littératures populaires en 2011.
Depuis, il a publié une douzaine de nouvelles, chez Rivière Blanche et Malpertuis notamment et il a écrit trois fascicules (courts romans dans un format désuet et original) chez le Carnoplaste, dont, notamment, les aventures de Green Tiburon, catcheur mexicain comme au bon vieux temps des films de Santo.
Il passe ensuite de l’autre côté de l’édition en fondant, avec ses camarades TRASH Éditions.
Il signe, sous le pseudonyme de Degüellus, Pestilence, une enquête médiévale.
Il est également co-anthologiste, avec Romain d’Huissier, des deux tomes de Dimension Super-Héros et a été sélectionné sur l’anthologie l’Amicale des jeteurs de sorts, l’anthologie du festival Zone Franche de Bagneux 2013 ainsi que dans Total Chaos, l’anthologie polar d’ImaJn’ère 2013, où il est arrivé premier ex-æquo au concours de nouvelles.
Dans la vraie vie, celle des factures et des loyers à payer, il est assistant social auprès des demandeurs d’asile.
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