Hiromi Ebira

Jusqu'ici, je n'avais encore jamais craqué pour une one-shot shôjo d'Akata. Ceux précédemment proposés ne m'avaient pas attirée plus que ça, que ce soit par le résumé ou le graphisme. Mais j'ai cette fois été plus tentée par "Sous la Lune de Taisho", car la dimension historique et la couverture m'ont rapidement séduite.

Ben je regrette pas du tout, car, même si je loin d'être une férue de romance, j'ai beaucoup aimé la relation entre Terashima et Tamako. L'aspect historique n'est pas réellement présent, il sert avant tout à accentuer les différences de rangs sociaux entre le médecin roturier et l'héritière noble (mais ça ne m'a pas gêné, car il s'agit d'un one-shot et que le contexte n'a pas réellement besoin d'être trop développé). La romance arrive rapidement, en sens unique dans un premier temps puis partagée. La relation reste cachée, taboue, à cause de la différence de rang, mais aussi de la relation initiale entre Tamako et Terashima (un médecin et sa patiente).

Je crois que j'ai beaucoup aimé ce one-shot, car la romance ne s'étire qu'en un seul tome. Il n'y a donc pas de blabla inutile, de tergiversations sans fin, d'obstacles infranchissables entre les protagonistes… et ça faut du bien. Car on peut apprécier la romance malgré cela, il y a des personnages secondaires pour apporter plus de profondeur et de tension au manga, les événements surprennent… Bref, c'était une lecture très sympa, fluide, qui fait ressentir diverses émotions et met en scène les amours impossibles, l'émancipation de la femme, la cruauté dont peut faire preuve un individu envers un autre par jalousie…

Question graphisme, c'est très joli, les visages sont fins et expressifs, les décors soigneusement travaillés… le trait s'accorde bien à l'ambiance du manga !

Bref, c'est pas une romance cucul qui n'en finit plus, les personnages sont à la fois tendres et violents entre eux, la pression sociale et l'époque apportent une dernière touche de suspense et de frustration pour le lecteur.

Ce manga, étant un one-shot, j'étais préparée à ce qu'il ne soit pas des plus aboutis. Comme je m'y attendais, c'est le cas...

En un seul tome, on a pas le temps de s'attacher aux personnages, tout se déroule extrêmement vite et l'intrigue n'est pas des plus originales. De plus, l'aspect historique ne sert pas à grand chose si ce n'est à accentuer le thème de "différence de classe".

Cependant, le graphisme est très beau et bon, c'est une histoire dont on peut très bien se passer mais elle fonctionne tout de même.

Le docteur Terashima est un homme sans histoire, presque austère sa vie aurais pu continuer tranquillement sont cours si un jour, il n'avait pas eu dans son cabinet la visite de Tamako unique héritière d'une grande fortune souffrant d'un étrange mal. Commence alors entre eux une relation tumultueuse.

Grosse déception pour ce titre qui partait dans plusieurs directions et si a la fin l'histoire avait gagner un peut en intérêt le final ma définitivement déçut.

Sous la lune de Taisho.

Une histoire d’amour étrange et tragique.

Une fin trop rapide dommage.

J’en aurais voulu plus ...

Sinon le graphisme et superbe.

Un one shot que j’ai apprécié à 90% les 10% restants sont dûs à ce bon temporel qui clôture l’histoire et dont je ne vois pas l’utilité. J’ai l’impression de perdre un bout d’histoire alors qu’elle était cohérente jusqu’à lors. Dommage.

Un conte léger a l’eau de rose, où deux êtres purs sont attirés par l’interdit.

Petite romance agréable à lire pour passer le temps. En revanche ce qui m'a déplu, et je pense que c'est d'un avis général, est la fin avec ce saut dans le temps. Pour moi, elle ne sert pas d'autant plus que je ne la comprends pas. Spoiler(cliquez pour révéler)L'auteur aurait du s'arrêter au moment où le médecin regarde le ciel étoilé.

Je sort plutôt déçue de cette lecture, peut-être parce que j'en attendais beaucoup 🤔 J'ai trouvé la narration vraiment plate et ennuyeuse. Il se passe pourtant beaucoup de choses et il y a de nombreux rebondissement mais à cause de la narration la lecture semble lente et fade.

Les dessins sont particulier. Ils sont très fins et doux, on s'y habitue au fil de la lecture, mais malheureusement ça n'aide pas à instaurer une ambiance dynamique au manga. Les dessins plus la narrations n'amènent pas assez de peps.

Comme la saga est terminée en deux tomes, on a comme souvent peu de temps pour s'attacher aux personnages et surtout la romance est beaucoup trop rapide. Il n'y a casi aucun développement autour de l'héroïne et de l'empereur.

Après, l'histoire est vraiment intéressante. Elle et l'univers auraient mérité beaucoup plus de temps pour se développer, c'est dommage.

C'est le cœur rempli de tristesse que Sarannah quitte son peuple pour rejoindre la cours impériale pour signer un traité de paix.

Mais sur place, les origines de la jeune femme sont vite remises en question et c'est avec mépris que les autres concubines la traitent.

Pourtant, Sarannah, réussis a attiré l'attention de l'empereur qui est loin de l'image qu'elle avait de lui.

Dans un monde où les origines du sang prédominent Sarannah fait figure de roturière, pourtant elle va découvrir que les origines ne fait pas tout et se rapproche, peut, a, peut de l'empereur. Un premier tome ou manipulation et légende se mêlent.

Je n'ai vraiment pas accroché plus que ça. Les deux "chapitres" s'enchaînent mal et il faut attendre la toute fin du tome pour comprendre en quoi ils sont liés, j'ai même cru qu'il s'agissait d'une anthologie de récits courts. Le relationnel est mal géré et ne provoque aucune émotion. Je verrai ce que ça donne au tome 2 mais pour l'instant je ne pense pas les garder.