Patricia Cornwell

Un bon polar mais malheureusement une fin bâclée en 3 pages. L’écriture et le scénario est top. On ne se doute pas du meurtrier. Une lecture agréable.

Pas terrible …

L’histoire se passe en moins de 24h, termine pas vraiment et on a le droit à 445 pages où on subit un personnage principal qui se remémore son enfance et des souvenirs qu’on ne comprend, tout en se vantant à quel point elle est exceptionnelle et intelligente …

Passez votre chemin il y a d’autres policiers et thrillers beaucoup plus palpitants.

Bien que j'ai beaucoup aimé l’histoire, ce tome des aventures de Kay Scarpetta baigne dans un ton lugubre, morne et nihiliste. J'en suis ressortie avec une immense sensation de pesanteur.

Un polar un peu plat, un peu trop vague aussi et dont le narratif tourne trop court. Les personnages et les dialogues mettent parfois mal à l'aise. Bref, sans être totalement mauvais, c'est un roman acceptable quand on n'a rien d'autre à se mettre sous la dent.

"Et il ne restera que poussière" de Patricia Cornwell offre une plongée captivante dans l'univers fascinant de Kay Scarpetta, médecin légiste hors pair. Dès les premières pages, l'auteure nous entraîne dans une intrigue complexe où les mystères s'entremêlent avec une habileté narrative remarquable.

La force de Cornwell réside indubitablement dans sa capacité à donner vie à Kay Scarpetta, un personnage qui transcende les frontières de la fiction pour devenir une figure humaine crédible et attachante. Loin d'être une simple enquêtrice froide et détachée, Scarpetta se dévoile comme un être complexe, doté de failles et de qualités humaines qui la rendent authentique. La symbiose entre le lecteur et le personnage est telle que l'on ne peut s'empêcher de ressentir chaque émotion, chaque victoire et chaque défaite aux côtés de cette médecin légiste hors du commun.

Ce qui distingue ce roman, et la série dans son ensemble, est la constante évolution de Kay Scarpetta au fil des pages. Malgré la récurrence d'un schéma narratif relativement classique, Cornwell réussit à insuffler une dynamique nouvelle à chaque œuvre, permettant à Scarpetta de se développer de manière indépendante. Son parcours personnel et professionnel s'enrichit, apportant une profondeur supplémentaire à l'intrigue et rendant la protagoniste encore plus saisissante.

L'intrigue de "Et il ne restera que poussière" se déploie avec une tension croissante, mêlant habilement suspense, enquête médico-légale et psychologie. Cornwell excelle dans la création d'une atmosphère immersive, où le lecteur est happé par les détails minutieux des investigations de Scarpetta. Les rebondissements bien orchestrés et les révélations surprenantes maintiennent un rythme effréné, ne laissant aucun répit à ceux qui s'aventurent dans les pages de ce thriller captivant.

Patricia Cornwell réussit brillamment à transcender les limites du genre en offrant une expérience de lecture immersive, portée par un personnage principal inoubliable. Kay Scarpetta demeure une force littéraire indéniable, capable de captiver les lecteurs au-delà des barrières du temps et de l'espace, faisant de ce roman une contribution significative à la série à succès de l'auteure.

Ouah quel ennui ce livre !! Pourtant j‘ai lu la plupart des livres de cette série. Le scénario est sans intérêt on devine le meurtrier qu‘à la fin certes c’est pas un souci mais tout au long du livre aucune piste pour deviner les motifs du coupable et chercher un coupable parmi les personnages.

L’écriture est ennuyeuse, on assiste à des dialogues entrecoupé d’explications qui apportent rien au livre. Kay parle avec son mari et on a le descriptif de sa tenue quand elle s’habille. Kay fait à manger et on a droit à toutes les recettes de cuisine. Aucun intérêt. La fin est expédiée en quelques pages. Je ne recommande pas cette lecture.

Trop long avec trop de descriptions.

Mais quelle précision chirurgicale dans l’histoire, dans les détails, dans le suspens.

J’ai commencé ma lecture, peu convaincue mais en fait, dès le premier chapitre j’étais embarquée comme assistante du Dr Kay Scarpetta. Les descriptions sont si précises qu’on s’y croirait, les indices donnés avec parcimonie nous tiennent en haleine et l’enquête est juste fascinante.

Encore mieux qu’un épisode d’Esprits criminels !

C’est quand on a entre ses mains un roman policier des années 1990 que l’on prend pleinement conscience que les romans publiés à l’heure actuelle sont largement moins captivants qu’avant. C’est un véritable plaisir d’être plongé dans une intrigue auprès de personnages qui fonctionnent avant tout grâce à leur cerveau plutôt qu’à l’aide d’astuces ou d’outils nés bien des années plus tard.

Ce qui me plait aussi beaucoup dans les romans de Patricia Cornwell, c’est qu’elle parvient à instaurer un climat d’angoisse que l’on ne ressent nulle part ailleurs. En même temps, assister à une autopsie, même si c’est par écrit, n’est pas notre priorité dans la vie de tous les jours.

L’intrigue dépasse la statut d’enquête policière. L’auteur nous propose de suivre cette dernière aux côtés des personnages, un peu comme si nous étions en train de vivre leurs émotions, leurs craintes et leurs angoisses en temps réel.

Je suis également enchanté de retrouver les personnages secondaires qui apportent un véritable + aux romans de Patricia Cornwell et permettent de mettre en place un fil conducteur à travers les livres consacrés à Kay Scarpetta sans pour autant dénaturer les ouvrages, n’empêchant donc pas une lecture du dernier ouvrage de la série avant les autres.

Si l’on devait pointer du doigt un point dérangeant dans ce roman, on pourrait pointer du doigt la longueur des chapitres. Le texte n’a pas été découpé correctement où l’on assiste à des changements de lieux ainsi des périodes de temps assez longues entre deux paragraphes tandis que l’auteur nous propose un nouveau chapitre afin de débuter par la fin de l’action du paragraphe précédent. Un manque de cohérence dans le découpage du texte qui n’est pas cohérent.

J'ai trouvé ce livre un peu long même si l'histoire est intéressante et rempli d'éléments scientifiques. C'est intéressant mais un peu long.