Wada Takashi

Kinuyo doit continuer à prouver son savoir-faire, et pour ça, elle n'hésite à partir à l'aventure une fois de plus pour satisfaire les exigences de N'Didi. Une fois, cela fait, elle se retrouve face à des nouveaux soucis pour maintenir sa boutique à flot.

Un tome toujours excellent, c'est toujours un plaisir de découvrir les différentes techniques utilisées par Kinuyo pour chaque vêtement.

La chasse aux matériaux pour le mariage de la princesse Pamillana commencé. Kinuyo se retrouve à faire face des situations inédites qui vont mettre ses amies en danger.

Mais notre héroïne va devoir faire preuve d'ingéniosité et de son talent de couturière pour venir aux bouts des obstacles qui se dressent devant elle.

J'adore ce manga et son univers, vivement le prochain tome.

Graphiquement le style est particulier mais il reste néanmoins plaisant.

Quant à l'histoire, Kinuyo, notre héroïne, se décide à reprendre l'atelier de sa grand-mère et se doit donc de faire face à des soucis d'approvisionnement en tissus et autres matériaux tout en se frottant à d'anciens apprentis rancuniers.

Cela mis à part j'apprécie beaucoup le sous-texte concernant la fast mode et la mise en avant de solutions pérennes quant au prélèvement des matériaux.

C'est avec plaisir que je continuerai de suivre les aventures de Kinuyo et d'Henriette...

J'ai adoré suivre Kinuyo, Hariette et Cléa durant la modernisation de la boutique. Et les pages du bestiaire sont très belles.

Encore une fois je note le sous-texte d'une mode toujours changeante tout en étant pérenne et des fournisseurs de matière première respectueux des ressources.

En bref, un mode utopiste où il fait bon poser son cerveau durant une petite heure.

Assez déçue de ce tome comparitivement au premier.

Si j'ai encore bien aimé le solde de l'histoire avec N'Didi (et sa robe est trop belle !!), je me suis fermement ennuyée dans les deux histoires suivantes, que j'ai trouvé très enfantines et pas vraiment magiques. Quant à la dernière, il y un trou énorme dans l'histoire, ce qui m'a carrément perturbée. Le bonus est également super chelou !

Par contre on va attaquer la compétition donc je lirai le tome 3 !

Kinuyo est finaliste pour créer la robe de la princesse Pamilla, en entrant en contact avec celle-ci, elle se rend, peut, a, peut compte de la robe qu'elle aimerait créer.

Un dernier tome plein d'aventures pour Kinuyo et Hariette.

J'ai beaucoup aimé ce manga qui offre une très belle approche de la mode à travers ces créatures fantastiques et une héroïne pleine de conviction.

Chronique complète :

https://sunread26.wordpress.com/2023/02/18/dress-of-illusional-monster-tome-3/

Extrait :

Avant dernier tome pour cette petite série fantastique autour de la couture. Kinuyo a réussie et peut participer à la compétition afin de réaliser la robe de mariée pour la famille royale. Toujours accompagnée d’Hariette et de Cléa, elle fera tout pour réussir, mais comme toujours, tout ne se passera pas comme prévu, Kinuyo va devoir redoubler d’efforts afin de réussir !

L’épreuve consiste à réunir trois ingrédients indispensable pour confectionner la fameuse robe. Les participants sont donc transportés sur une île, appartenant à la famille royale, afin de les trouver. Comme l’île est privée, personne ne peut s’y rendre en temps normale, quant à la faune et la flore, et bien, elles sont également bien particulière, voire endémique de l’île. Ils sont ainsi six à participer à cette épreuve, qui je pense, est la première d’une petite série, puisqu’il ne faut pas oublier qu’il reste encore un tome. D’ailleurs, à mon humble avis, le dernier tome conclura avec cette intrigue autour de la robe de mariée et n’ira guère plus loin.

Le premier ingrédient est vraiment original, et m’a bien fait rire pour le coup. Pour l’originalité, je pense autant au design, qu’à la manière de l’obtenir. Et pour notre protagoniste, on peut dire que ça commence plutôt mal, les autres participants semblent en effet y arriver assez rapidement là, où elle, met plus de temps pour comprendre, en plus de sa maladresse. Je ne m’attendais pas à voir des Sphinx et leurs énigmes également, c’est une créature assez connue, mais introduite avec un peu d’originalité également, puisque c’est un jeune Sphinx (qui a encore des choses à apprendre visiblement) qui sera mit en avant. Et c’est ainsi qu’apparaît également le second ingrédient, mais aussi la réelle difficulté des épreuves, qui va en grandissant.

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Chronique complète :

https://sunread26.wordpress.com/2023/02/19/dress-of-im-t4/

Extrait :

Dernier tome de la série, le moment décisif est enfin arrivé pour Kinuyo, la princesse choisira t-elle sa robe ? Mais avant, tout, quel design lui plairait ? Grâce à un certains hasard, elle arrive à se rapprocher de la concernée, et à mieux la comprendre, mais est-ce que se sera suffisant ? Des manigances semblent émerger de l’ombre afin d’avantager son adversaire.

J’avoue que pour ce dernier tome, je n’ai pas grand chose à dire… Après tout, il ne se passe pas grand chose d’intéressant et le peu dont je pourrais vraiment parler reviendrais à tout vous spoiler… La chronique risque donc d’être un peu plus courte, ou alors de ressembler à un résumé de mes avis et un bilan sur cette série, afin de vous laisser une pleine découverte de ce dernier tome, si la série vous tente. La note finale concernera malgré tout uniquement ce dernier tome, ça vous permettra au moins de vous en faire une petite idée.

Dommage que l’auteur n’est pas pris le temps de nous montrer les retombés sur le magasin de Kinuyo avec sa participation à la compétition royale, ou encore si certaines relations se sont vraiment améliorées. Au final, la fin est vraiment juste autour du résultat de la compétition et ne va pas plus loin. La trame reste assez simple et en devient moins intéressante, même si j’ai eu plaisir à lire ce tome, je n’ai eu aucune réelle surprise. Là où j’étais plus étonnée dans le premier tome par exemple, l’approche reste au final toujours la même, et je pense que j’ai finie par m’en lasser un peu…

[...]

En bref, dans la globalité j’ai quand même bien appréciée cette petite série, elle commençait vraiment bien, mais on ressent tout de même qu’à partir du troisième tome, l’auteur commence à avoir du mal et il finit par nous laisser avec une histoire assez banale, c’est dommage. Toutefois, pour une si petite série, je pense qu’elle a le mérite d’être lu, peut-être en format numérique où le prix sera plus abordable.

Un tome tout aussi feel good avec une faune et une flore (?) toujours aussi exotique et fantaisiste.

J'apprécie que les challenges soient résolus par l'observation et/ou la connaissance de la nature. Même si, je dois l'avouer, le fait que Hariette ait toujours réponse à tout gâche un peu mon plaisir.

Cette marotte mise à part, j'apprécie que le scénario fasse en peu peau neuve et se focalise, non plus sur Kinuyo mais sur la famille royale et ce fameux mariage qui traîne en trame de fond depuis le tout début. Ça fait plaisir !

Clap de fin pour cette série sans prises de tête axée sur l'écologie.

Comme à l'accoutumée, le prélèvement des matières premières se fait en symbiose avec le cycle de vie des vouivres - les animaux de ce monde imaginaire - sans que cela ne raccourcisse ou ne porte atteinte à leur existence. Si seulement cela pouvait être le cas pour notre consommation également...

D'un point de vue scénaristique, je trouvais que le concept commençait sérieusement à s'essouffler. Il y aurait peut-être eu plus de choses à raconter si on avait rencontré Kinuyo à l'école plutôt que fraîchement diplômée. Ou alors si les commandes de la part des clients étaient plus diversifiées plutôt que de se focaliser sur la robe de mariée de la Princesse Pamilla... Ou encore si la couture en elle-même avait été plus mise en avant plutôt que la récupération des matériaux.

C'est à propos de ce dernier point que se trouve mon plus grand regret. Quand on regarde les différentes jaquettes, on s'attend à une immersion totale dans le monde de la mode sur mesure et si le premier tome s'y prête pas trop mal, ce n'est pas le cas de la série dans son ensemble. Les animaux fantastiques que sont les vouivres et la magie permettent de s'affranchir des contraintes habituelles de la couture, tant et si bien que les prouesses de Kinuyo ont l'air d'être accessibles à tout un chacun. Et là encore, heureusement que Hariette est présente pour expliquer en détail les procédures nécessaires à l'élaboration des tissus.

À quoi lui a donc servi cette école s'il lui manque encore tant de connaissances ?

Enfin, pour en revenir à ce dernier tome en particulier : les explications données aux différents mystères des tomes précédents sont excessivement brèves. Sans parler de la résolution, à la limite du "Deus ex machina", de la rivalité entre Pamilla et Hiramiya. Même reproche avec Christoph.

Je me demande si la publication n'a pas été stoppée avant l'heure et s'il n'a pas fallu tout conclure en un seul tome. En tous cas je l'espère, parce que sur ce point, j'ai été plutôt déçue.