Ellie MacDonald
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Note moyenne : 7.06/10Nombre d'évaluations : 32
0 Citations 14 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Je n’ai pas été très emballée par le premier couple surement dû au fait que l’histoire est vraiment trop courte. Donc je ne m’attarderais pas sur Claire et Jacob. Par contre j’ai apprécié le deuxième couple Bonnie et Stephen ainsi que les deux enfants, l’histoire est plus longue mieux détaillée on s’attache beaucoup plus aux personnages. La petite enquête bien que l’on soupçonne dès le départ le coupable est bien menée tout en laissant la part belle à la romance.
Afficher en entierL'entrée en matière de ce livre est intéressante : une jeune femme timide, réservée (qui a été élevée durement par sa mère très pieuse) rencontre un jeune noble cynique, agressif et assez mal élevé, il faut bien le dire. Surprise : le héros va se révéler délicat et "gentleman" et l'héroïne plus dévergondée que prévu en acceptant l'aventure sexuelle proposée par ce dernier, ce qui est assez surprenant compte tenu de son éducation puritaine. La romance est bien décrite.
Afficher en entierPour ma part c'est une suite quelque peu décevante, Sara m'a franchement agacé à de nombreuses reprises, je l'ai trouvé fade et sans intérêt surtout quand elle fait la timide quand ça l'arrange! J'ai trouvé cette suite bien différente des 2 premiers tomes et c'est bien dommage...
Afficher en entierJ'ai bien le début de l'histoire : une jeune femme arrive dans une auberge, complètement trempée et frigorifiée. Le propriétaire l'accueille avec bienveillance, lui propose le gîte et le couvert. Mais je n'ai pas du tout apprécié le caractère de l'héroïne. Je l'ai trouvée dure, cynique, égoïste, bref antipathique, comparé au héros qui est son antithèse !!!!
Afficher en entierVoilà qui conclu donc la série: un tome 4 bien long et bof bof c'est dommage! J'ai toutefois apprécié le personnage de Johnny plus même que Louisa et le fait de revoir (relire ;D) quelque passage avec tous les anciens perso!
Afficher en entierDans l’ensemble, ce fut une lecture facile et assez plaisante quoique, étrange par certains aspects.
Je peux vous conseiller cette histoire si vous êtes curieux et que vous ne vous attendez pas à un mâle alpha et une héroïne complaisante dans une histoire qui vous fera chavirer le cœur. Ici, il faut dire, c’est quand même assez plat. Dommage.
Afficher en entierJ’ai failli ne pas le lire, et ça aurait été bien dommage car c’est mon préféré des 3 pour l’instant (et je pense qu’il va quand même rester mon préféré car je ne suis pas fan du personnage de Louisa).
On a affaire à Sara : jeune et gentille gouvernante au passé un tout petit peu plus compliqué que tout le monde a l’air de penser, toujours affable et discrète, jamais un mot plus haut que l’autre, et Dieu la préserve de refuser n’importe quelle requête. Mais voilà, Sara, au fond, eh bien ce n’est pas ça ! Elle n’est pas que gentille et affable : elle a une volonté, elle n’a pas toujours envie de faire ce qu’on lui demande et ça, Nathan Grant l’a bien compris. Et il va l’aider. Et c’est beau.
Je n’en dis pas plus, c’est mieux de le découvrir car ce n’est pas comme s’il y avait déjà beaucoup de suspense dans ce genre de livre, autant garder le peu qui reste.
Sinon, cet épisode reste dans la lignée des deux premiers : une jolie histoire mignonne et romantique sans grande originalité avec une écriture pas inoubliable mais facile à lire. J’ai eu l’impression qu’il y avait plus de sensualité que dans les deux autres. Et le constat est là : c’est quand même celui que je préfère.
Afficher en entierBon… j’y suis d’abord allée à reculons (oui ça m’arrive souvent) parce que je n’aimais pas la Louisa des tomes précédents, ensuite je me suis dit que le livre commencerait bien que finalement je réussirais à m’attacher à elle. Et en fait non.
Par contre j’ai adoré John Taylor, ça doit être mon héros préféré des 4 tomes donc il sauve le livre.
Louisa est tout ce que je déteste chez une femme féministe : « moi je n’ai besoin d’absolument personne absolument jamais et encore moins des mâles qui sont le mal incarné, par contre ils sont bien pratiques pour satisfaire les désirs sexuels, de toute façon c’est bien connu ils ne pensent qu’à ça ». Voilà comment je résume son personnage. Oui c’est trop simpliste, oui elle a quelques nuances et certaines choses dans son passé qui font que… mais il faut arrêter avec le passé, ça ne pardonne pas tout. D’autant plus qu’elle reporte très facilement les erreurs sur les autres et n’assume jamais RIEN. Voilà… plus j’écris à son sujet, plus je m’énerve en fait, donc je vais arrêter.
Sinon, en soi, pour prendre un peu de recul, l’histoire d’amour est vraiment mignonne et super bien développée (j’ai juste pas du tout compris pourquoi John tombait amoureux d’elle… ahem… mauvaise foi).
Je ne suis pas une grande fan du style d’écriture d’Ellie MacDonald, je trouve souvent les dialogues un peu trop empesés et manquant de naturel. Toutefois ce n’est pas désagréable à lire et c’est fluide. Je trouve que le mieux écrit des 4, c’est le tome 3 avec Sara.
Comme je l’ai dit plus haut, John est génial : il est adorable, intelligent, patient, perspicace, attentionné, ai-je déjà dit patient ? Ah et il est patient aussi !
Mais bon, Louisa quoi… niet pour moi.
Donc une lecture plutôt mitigée mais pas désagréable.
Afficher en entierCLAIRE
Alors… je constate que les Harlequin Victoria ressemblent beaucoup au style des J’ai lu A&P donc c’est un bon point.
J’ai bien apprécié le tome 1 de cette série qui en annonce 4. Il y avait de l’humour, de la sensualité, du romantisme et de la passion. Je ne peux fermer les yeux sur les nombreux clichés : les quiproquos de 100 pages, j’en suis lassée depuis la fin du lycée, on apprend la com-mu-ni-ca-tion dans un couple, merci ! Et les quelques anachronismes : il est absolument inenvisageable qu’une gouvernante emmène les filles de ses employeurs se baigner, qu’elle se baigne elle-même et qu’en plus de tout cela elle tolère la présence des frères de ces demoiselles et le précepteur de ceux-ci qui se déshabille devant elles !!! Non ! Voilà, non ! Les paysans du coin, ok peut-être, et encore, mais les domestiques d’une grande maison, ce n’est pas possible ! L’autre anachronisme qui m’a choquée, c’est le fait qu’une servante (ou le narrateur je ne me souviens plus très bien) explique que si les relations sexuelles hors mariage étaient interdites chez les gens de la haute, elles sont limite « tolérées » pour les personnes de plus basse extraction, comme les domestiques justement. Mais NON ! Cent fois NON ! La religion avait énormément de place à l’époque et le paraître était encore plus important. Certes, il se passait sans doute des choses pas claires dans les mansardes des domestiques, mais les chambres des hommes et des femmes étaient séparées et s’ils se faisaient prendre ou si une femme de chambre se retrouvait enceinte, ils n’étaient pas clairs. Bref, c’était mon petit agacement pour ce bouquin. Ah et m’est d’avis que les enfants ne s’exprimaient paaaas du tout ainsi à l’époque.
Outre ces détails, j’ai passé un moment de lecture plutôt sympathique, j’ai bien ri et la fin est mignonne. Enfin, lui est mignon, elle est agaçante, mais je ne me suis pas ennuyée en tout cas.
BONNIE
Bien sympathique aussi celui-là. Les personnages m’ont moins agacée et il y a à peine un tout petit quiproquo à la fin, vite réglé, donc j’étais contente.
L’histoire était jolie, Bonnie était une héroïne agréable et Sir Stephen un héros adorable, plein de subtilité.
Les enfants apportaient une touche mignonne à l’histoire. La petite intrigue n’est ni originale, ni surprenante mais elle n’est pas mauvaise non plus.
J’ai passé un bon moment à cette lecture.
Afficher en entierCe premier tome d’une série de romance historique propose deux longues nouvelles… Et j’ai peiné pour finir la première. Autant vous dire que je m’arrête là et que j’abandonne la série.
L’intrigue est construite sur le principe d’un personnage qui cache sa vraie identité : en Angleterre au XIXe siècle, un comte se terre loin de Londres en devenant précepteur, et entame une relation avec la gouvernante.
Hormis le scénario qui recèle bien des failles (par exemple, la raison pour laquelle ce noble se cache est peu convaincante, et surtout elle est contredite par la conclusion), le principal défaut de ce roman est la narration qui survole les événements ou les personnages eux-mêmes. Rien n’est approfondi : ni les caractères ou leur évolution, ni les actions des personnages, ni le cadre dans lequel ils vivent. Résultat : on lit l’histoire sans vraiment y entrer, et à aucun moment le récit ne suscite d’intérêt.
C’est plat et fade.
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