Dorit Rabinyan

Un roman d'amour plein de tendresse et d'humanité. Un Roméo et Juliette moyen- oriental. Une fin inattendue. À lire absolument.

C'est un beau livre, je ne peux pas dire le contraire, mais j'ai trouvé l'écriture trop fouillis, on passe d'un sujet à l'autre très rapidement, et la narratrice emmêle des flashback au présent, on s'y perd un peu... Je m'attendais aussi à des dialogues plus touchants entre les personnages ou plus profonds, concernant leurs deux religions respectives. Un peu déçue donc mais comme je l'ai dit c'est un joli roman qui vaut quand même d'être lu

Un livre qui a fait énormément parler de lui, mais dont j'attendais peut être plus de chose... trop de choses.

Ce roman est une belle histoire d'amour passionné, mais fragile, entre deux âmes sœurs que tout oppose.

Néanmoins, j'ai eu du mal avec le style d'écriture, les flashbacks qui manquaient, à mon sens, de fluidités, des dialogues qui m'ont quelques peu déçues, car à mon sens, ils manquaient d'un poils d'humanité...

Pourtant, le côté amour impossible, l'histoire qui pourrait être celle d'une juive et d'un musulman de nos jours est intéressante, mais je pense que je m'attendait à plus de batailles et de romance.

J'ai également eu du mal avec les personnages, un trop ancrée dans la réalité, dans la peur de la religion, la peur de l'avis de ses proches, et l'autre trop rêveur et qui se laisse un peu portée... néanmoins, je pense que c'est un livre à lire principalement pour appréhender le conflit israélo-palestinien d’une façon bien plus humaine que ce que nos offrent les médias.

Sous la même étoile. Ce titre, si bien choisi, semblait déjà présager la douceur et la poésie qui émanent de ce roman. Dorit Robinyan nous expose dans son ouvrage une réalité rarement abordée sur les conflits israélo-arabe. Elle nous y détaille une vérité sans artifices, cruelle à certains moments. En particulier sur les relations entre les peuples d’Israël et de Palestine, et ce, sur un léger fond de politique.

Dorit Robinyan a su manier sa plume avec une justesse et une tendresse désarmantes pour nous laisser loin de nos préjugés et de nos idées préconçues. L’écriture est délicate et patiente quand elle décrit la relation naissante de ‘Hilmi et Liat, qui n’est pas sans rappeler celle de Roméo et Juliette. Ces procédés rendent les personnages si tangibles qu’ils auraient pu être une de nos connaissances. Elle nous décrit les hésitations des personnages liées à leurs origines respectives avec une infinie justesse.

Cet ouvrage est une perle de la littérature israélienne, et ce, d’autant plus que ce roman fit polémique en Israël pour avoir mis en scène une histoire d’amour entre une israélienne et un palestinien. Je vois là une raison de plus pour le lire.

Pff déjà le titre. Très beau et original en français mais pour une bluette. Le titre original moins vendeur je l'admets mais beaucoup plus juste. Et puis encore une fois ce sujet Israëlo-palestinien vu revu.

Aucune surprise donc. C'est dommage

J’ai choisi ce roman pour découvrir la littérature israélienne, vers laquelle j’allais un peu à reculons. Mais sa quatrième de couverture m’a convaincue : une histoire d’amour entre une Israélienne et un Palestinien, qui se rencontrent à New York… Cela me semblait correspondre à mon envie de romanesque.

Malgré toutes leurs différences, avant tout politiques, Liat et ‘Himli s’aiment. Leur histoire a une date de fin : celle du visa de Liat… Pour elle, qui se languit de son pays natal, ce n’est pas plus mal, car leur amour est tout simplement impossible. Pour lui, qui se voit bien vivre aux Etats-Unis, c’est plus compliqué. Mais comme c’est surtout le point de vue de Liat que nous aurons dans le roman, difficile de savoir ce que lui en pense vraiment.

Le roman commençait très bien. Malheureusement, je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages. Dans une romance, c’est important de comprendre ce que chacun aime chez l’autre… et je ne l’ai pas vu ici.

De plus, si j’ai apprécié en savoir un peu plus sur le conflit israélo-palestinien, j’aurais aimé que ce ne soit pas biaisé. Ou plutôt, je déplore que le roman soit faussement neutre : il donne l’impression de donner la parole aux Palestiniens, mais j’ai cru comprendre que cette parole retransmise était faussée…

Après, tout n’était pas si mauvais. J’ai bien aimé découvrir les deux cultures, comprendre aussi qu’elles étaient proches sur certains points.

C’est malheureusement une lecture que j’oublierai assez rapidement, je pense.