Bill Mantlo
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Note moyenne : 6.92/10Nombre d'évaluations : 66
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Les derniers commentaires sur ses livres
Dans la première histoire nous découvrons l'enfance et les origines de Ororo ou Tornade. Ses origines à Harlem puis au Caire avec sa famille. Il faut se dire que cette magnifique femme est née au début des années 1950. Elle avait 6 mois en 1952.
Afficher en entierPour ce numéro et à la suite de l'arrêt de la série "Les Eternels" c'est Daredevil qui à l'honneur d'ouvrir les hostilités. Dans cette aventure il partage la vedette avec sa compagne La Veuve Noire, mais ils vont avoir besoin de l'aide de L'Araignée qui se trouvait par hasard à San-Francisco parce que Peter Parker devait interviewer Daredevil.
Afficher en entierUn numéro exceptionnel pour un magazine mythique. Pour le centième numéro, cent pages d'aventure. Le contenu est en rapport avec l'annonce, c'est à dire sensationnel. Un petit exemple, Peter Parker est obligé de se trouver un masque chez un costumier. Et oui, les auteurs étaient pleins d'humour en plus d'être très créatifs.
Afficher en entierDans ce numéro, Iron-Man va avoir fort à faire pour lutter contre le Mandarin. Et va t-il respecter sa promesse de ne plus jamais tuer un ennemi. Quel sera le plus grand signe de force ?
Afficher en entierDaredevil va rencontrer les quatre Fantastiques et ensemble ils vont faire la connaissance du Spectre Noir. Avec La Chose il va se faire hypnotisé et vaincre par cet ennemi. S'en sortiront-ils ?
Afficher en entierDes X-men bien différents de ce qu'on pourrait penser par rapport aux livres... Les intrigues sont plutôt originales, l'action est bonne. La Chose est un personnage intriguant, bien loin des standards. Son aventure sort du lot, avec un certain degré de bons sentiments pas gênants.
Afficher en entierDaredevil : Beaucoup de bagarre dans cet épisode, mais une intrigue tout de même intéressante à laquelle on ne s'attend pas.
Iron-Man : Un épisode de transition, on obtient la conclusion de l'histoire précédente, une autre commence et m'a intéressée.
Spider-Man : Deux épisodes très bons, avec un développement dans les sentiments du héros, en plus de nouvelles idées toujours aussi intéressantes.
Le dernier épisode de Spider-Man est celui que j'ai préféré.
Afficher en entier3 épisodes sans lien entre eux, sans Stan Lee ni Kirby ou John Buscema aux commandes : ça sent le bouche-trou.
Le premier arc semble se situer dans la continuité : les FF sont désormais expulsés du Baxter Building, le SHIELD ayant mis les machines de Richards sous scellés. Réfugiés pour un temps chez Alicia Masters, la jolie sculptrice aveugle, ils vont assister à une vague d'enlèvements et de disparitions étranges dans New-York, qui vont jusqu'à alerter Daredevil. Bien que réticents à intervenir au début, ils devront s'employer ensuite lorsqu'ils découvriront qui se cache derrière tout cela et surtout lorsqu'Alicia elle-même sera victime d'un rapt.
Bill Mantlo signe un script honnête, évitant les temps morts et se référant à l'univers étendu (on y cite les Avengers et Jameson du Daily Bugle) et Sal Buscema est bien aidé par Joe Sinnott pour la partie graphique. Il n'empêche que la résolution tourne en eau de boudin et qu'on tombe de haut, littéralement, après l'énorme arc sur Mastermind.
La suite est autrement plus risible, frôlant le ridicule et mettant deux fois en scène le Titan vert. Dans un premier épisode, Ben est fou de rage en voyant qu'Hollywood réalisait une série avec Hulk. Il décide d'aller démarcher un producteur sur place afin de vanter ses propres capacités d'idole de l'écran, mais il ne sait pas que Hulk lui-même va intervenir, désireux de mettre un terme à cette abomination grotesque. Au même moment, trois individus décident de kidnapper Karen Page dans le studio où elle tourne. Evidemment, tout cela va se terminer en pugilat et destruction de décors. Alan Kupperberg signe le scénario et les dessins de cet infâme épisode à la conclusion foirée dont aucun héros ne ressort grandi.
Le reste est un poil meilleur, déjà d'un point de vue graphique puisqu'on y retrouve le grand Jim Starlin, pas encore dégrossi, mais qui délivre des planches agréables bien encrées par l'inusable Sinnott. L'auteur Len Wein nous présente un duel orchestré par un ancien despote extraterrestre et... le Leader, qui vont s'opposer par l'intermédiaires de champions dûment choisis. Evidemment, ça ne pouvait tomber que sur Hulk et la Chose qui vont s'affronter dans une ville fantôme sous un faux prétexte. Ca manque d'explosivité et d'impression de puissance, d'autant que le combat est truqué sans qu'ils le sachent. Et ne vous fiez pas à la couverture, il n'y aura ni ring, ni Reed Richards ou Johnny Storm dans les tribunes (image qui renvoie à un précédent duel où l'esprit des deux adversaires avait été inversé). Décevant dans son déroulement, l'épisode se suit malgré tout sans déplaisir.
Un album sans intérêt.
Afficher en entierVoilà ! Le fascicule et l’album sont bons !
Intrigues, personnages qui ont une utilité, je reconnais l’univers des X-men et de Spidey. Le professeur Xavier a une vraie place, chose qui a souvent manqué dans les films alors qu’il a un des pouvoirs les plus utiles et la puissance qui va avec.
Les couleurs sont pop, beaucoup des vieilles histoires, la fin pour les plus récentes sont bien plus contrastés. Rien d’inédit.
Afficher en entierL’histoire bonus a une intrigue, c’est assez rare pour être souligné. Le tome principal, c’est le seul des 10 volumes dans lequel j’ai préféré les anciennes versions de 1976 et ça tombe bien car il y en a 4 sur les 7. Un changement de costume qui fait toujours son effet et un Iron man qui prend de plus en plus le melon en sachant rester un héros attachant.
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