Don DeLillo
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Note moyenne : 5.73/10Nombre d'évaluations : 60
4 Citations 39 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Un livre assez spécial, difficile d'accrocher et d'entrer dans l'histoire mais au final une lecture intéressante.
Afficher en entierJ'ai lu pas mal de livre mais celui ci doit surrement faire partie des plus bizzare qui soit je n'ai vraiment pas accrocher avec ce dernier.
Afficher en entierUn bon mais frustrant roman qui comporte de bonnes idées et d'intrigues mais malheureusement trop nombreuses donc pas assez développées pour un si petit roman : critique du capitalisme sauvage, tableaux de la ville-monde qu'est New-York, etc, le tout dans un semi huis-clos qu'est la limousine. J'aurais aimé qu'il y ait plus de monologues d'Eric comme celui vers la fin... J'ai adoré, malgré tout.
J'ai écrit une chronique qui compare Cosmopolis à Vente à la criée du lot 49 de Thomas Pynchon...
https://mhaaswriter.wordpress.com/2018/01/15/chronique-lart-de-multiplier-les-intrigues-vente-a-la-criee-du-lot-49-face-a-cosmopolis/
Afficher en entier~ Lu en anglais ~
L'ayant lu en vo pour les cours, je peux dire que la compréhension a été facile et le vocabulaire ne m'a pas gênée. Je dirais qu'il est donc plutôt facile à lire.
C'est un livre très différent que ce que je lis d'habitude. La façon dont il est écrit est différente. C'est un livre qui invite à la réfléxion sur la vie et la mort, surtout la mort et la représentation que l'on 'en fait. Les personnages sont plutôt attachants et sont pleins de complexité, Babette et Jack sont parfois même plutôt marrants. Leurs enfant m'ont semblé très intelligents pour leur âge. Ils se posent déjà des questions sur la vie et son but, tout comme leur parents qui sont, eux, déjà adultes.
C'est un livre très perturbant mais dans le bon sens du terme que je recommande !
Afficher en entier" Zéro K " de Don Delillo ( 297P)
Ed. Acte Sud
Bonjour les fous de lectures ….
Cela n'arrive pas souvent mais voici un livre que j'abandonne en cours de route.
Est-ce du à la narration très décousue ?
Est-ce du à la traduction ?
Zéro k c'est le Zéro absolu. Température à laquelle peut se réaliser la cryogénisation.
Nous sommes dans une clinique bunker d'Asie centrale.
Jeffrey, est invité par son père milliardaire à assister à la fin de vie de la seconde épouse de celui-ci, atteinte de sclérose en plaques.
Dans ce bunker, on choisi sa mort, on choisi de congeler son corps en attendant que les progrès scientifiques permettent de les ramener à la vie et leur offrent de vivre plus longtemps.
Le problème est que je n'ai rien compris au livre, les propos philosophiques sont décousus. Tout n'est quesous-entendus et métaphores, on y perd son latin !
Les phrases alambiquées n'arrangent rien.. on tourne en rond, on s'ennuie.
C'est froid. Peut-être réservé à certains lecteurs ?
Dommage car le résumé était alléchant ... grosse déception.
Le livre présenté comme une histoire de science fiction, se révèle être plus une histoire de réflexions .. mais tellement décousues qu'on s'ennuie très vite et on perd le fil
Et de réflexion... il n'y apoint.
On se surprend à bailler, l'esprit s'égare;
Qu'a voulu prouver ou démontrer cet auteur ?
Il m' aurait peut-être fallu poursuivre jusqu'au bout ... le courage m'a manqué.
Afficher en entierLu pour les cours et qui est très intéressent sur l'univers du cinema, des personnages qui semble vide mais qu'on comprends quand même.
Afficher en entierDeçu, par ses ecritures une pâle copie d écriture de paul auster. Les chapitres intéressants sont courts avions tours catastrophe, 20, 30 pages. Le reste des histoires psychologique très flou...
Afficher en entierIl ne me restait plus que quelques pages pour terminer ce livre, je me suis forcé mais à quoi bon chasser le naturel. J'ai abandonné sans regret !
Afficher en entierJe ne sais pas quoi penser de ce livre qui est complètement lunaire ou complètement "pété" au choix.
L'auteur nous livre ici des scènes et dialogues singulier ou Éric personnage principal et ultra riche s'auto annihile si je puis dire. Le résumé avait tout pour me plaire, mais Don DeLillo à choisi de faire un livre qui frise le burlesque, et je suis rarement fan de ce genre de récit.
Afficher en entier"L'homme qui tombe" titre de ce livre, figure humaine, et symbole de l humanité...11 .09. 2001 une date gravé au cœur de l'éternité.
L'auteur nous livre ici, au travers de personnages-synthétique une autopsie qui s"enfonce dans les méandres de la nature humaine. Comment se relève t on après une telle chute ?
Un examen clinique, méticuleux...difficile à lire tant les mots sont chargés, intériorisés...catharsiques ?
L'action des personnages est liquide, morcelée, désintégrée, floue ! Qui est qui ? Comment survivre à l 'après ?
Perdues, ils tentent de donner du sens à leur présence au monde, présence à l'autre...
Sont-ils vivants ou morts ?...leur propre mémoire leur fait défaut...
Un livre dur, dérangeant...une plongée dans "le" traumatisme, l'hébétude qui en résulte...
Pour mieux s'en délivrer ? Pas si sûr...
Afficher en entierOn parle de Don DeLillo ici :
2017-07-12T14:04:57+02:00
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Dédicaces de Don DeLillo
et autres évènements
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Editeurs
Actes Sud : 16 livres
LGF - Le Livre de Poche : 3 livres
J'ai lu : 2 livres
Lemeac : 1 livre
Biographie
Ecrivain américain
[Littérature étrangère]
Né à New York City, New York le 20 novembre 1936
Enfant du Bronx de New York, fils d'immigrés italiens, Don DeLillo a reçu une éducation catholique à l'université de Fordham. Il a travaillé d'abord comme concepteur-rédacteur dans une agence de publicité. Son premier roman, 'Americana', témoigne de sa volonté d'analyser le substrat social, en montrant la psychologie de personnages hors norme intégrés dans des microcosmes à la manière de Dos Passos ou de Kerouac. Les récits fantasmagoriques de Don DeLillo révèlent une perspective postmoderniste sans appel pour l'Amérique contemporaine. Véritable pionnier de la littérature américaine, il a exploré les domaines du football (' End Zone', 1972), de la musique rock (' Great Jones Street', 1973) et les coulisses de l'assassinat de J. F. Kennedy, qui l'a fortement marqué dans 'Libra' (1988). A travers 'Cosmopolis', paru en 2003, il livre une nouvelle fois sa perception pessimiste d'un monde chaotique et complexe, en pleine déréliction. Il écrit encore 'Judarores', 'Livra' en 2005 puis 'Coeur-saignant-d' amour' en 2006. Deux ans plus tard, Don DeLillo publie un nouveau roman : 'L' Homme qui tombe', un livre dont les événements du 11 Septembre 2001 constituent le point de départ. Encensé par la critique, l'écrivain fait une fois de plus preuve de talent.
Evene.fr
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